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Nouveau Premier ministre : le député Sacha Houlié décidera s'il le soutien ou non François Bayrou "à l'aune du discours de politique générale" en janvier
franceinfo
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18/12/2024
Sacha Houlié, député de la Vienne, était l'invité de franceinfo soir le mercredi 18 décembre 2024.
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France Info Soir, l'invité Agathe Lambret.
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Bonsoir Sacha Ollier.
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Bonsoir.
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Vous êtes députée de la Vienne, vous étiez députée macroniste, vous avez quitté le
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groupe macroniste en juillet dernier.
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C'est une première sous la Vème République, un ancien président devra porter un bracelet
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électronique.
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Nicolas Sarkozy a été définitivement condamné dans l'affaire des écoutes à trois ans
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de prison dont un ferme sous bracelet donc il dit qu'il assumera ses responsabilités
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mais il dénonce l'injustice profonde qui lui est faite.
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Est-ce que selon vous la justice est trop sévère avec la classe politique ?
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Ce serait quand même une nouveauté de considérer pour des politiques y compris de droite que
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la justice est laxiste.
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Moi je constate qu'il a épuisé les voies de recours en droit national puisque c'est
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la Cour de Cassation qui a rejeté son pourvoi, qu'il fait l'objet d'une condamnation
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définitive donc exécutoire et qui doit s'appliquer, que par ailleurs les peines dont il fait l'objet
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sont aménagées puisque c'est un bracelet électronique alors que les peines de prison
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ferme ont été prononcées, elles sont aménageables puisque inférieures à un an et que ces dispositions-là
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elles avaient été contestées par Nicolas Sarkozy alors homme politique.
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Donc moi je ne pense pas que d'abord la justice décide librement des peines qui sont
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prononcées, je n'ai jamais pensé que la justice était laxiste et donc elle vient
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de le prouver et ça donne aussi la lumière sur l'intérêt d'aménager certaines peines
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pour l'intéresser.
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Il a dit qu'il exercerait un recours devant les juridictions européennes dont acte mais
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là aussi encore je constate qu'il y a aussi une forme de cynisme ou d'hypocrisie parce
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que ces mêmes juridictions européennes, ils n'en reconnaissent pas pour beaucoup
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de dirigeants politiques ni l'intérêt ni la pertinence puisque ce sont les mêmes dirigeants
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de droite qui avaient appelé à sortir la France de la Convention européenne des droits
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de l'homme.
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Il y a beaucoup de cynisme qui fait qu'au fond, moi je pense que les règles s'appliquent
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à tous, y compris à tous les politiques parce que tous les politiques sont avant
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tout des citoyens.
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Laurent Wauquiez parle d'une décision profondément incompréhensible.
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Oui mais vous voyez ce qui est incompréhensible c'est que les politiques critiquent les décisions
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judiciaires lorsqu'elles s'appliquent à eux, ça c'est incompréhensible pour nos
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concitoyens.
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À peine nommé déjà au cœur des polémiques, comment jugez-vous les premiers pas de François
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Bayrou à Matignon ?
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D'abord on ne va pas se cacher derrière notre petit doigt, la période elle est difficile.
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Elle est difficile pour tous les partis politiques, elle est difficile pour le Premier ministre,
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elle est difficile parce qu'il rencontre la plus grave catastrophe naturelle que notre
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pays a pu connaître dans les, je n'ai même pas de référentiel, 10 dernières années,
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30 dernières années, avec potentiellement un bilan humain absolument catastrophique,
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d'une île qui était déjà, enfin d'un archipel pour être plus précis, qui a été
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frappée par toutes les difficultés, de la surpopulation, de la très grande précarité,
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de l'habitat indigne, des services publics sous-dimensionnés à commencer par l'hôpital
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et donc c'est extrêmement difficile.
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Après il y a les polémiques sur les choix qui sont faits par le Premier ministre de
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se rendre au conseil municipal plutôt que d'aller à Mayotte.
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Ou plutôt que d'aller en présentiel à la réunion de crise.
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Ce qui est extrêmement important c'est que le Premier ministre suive ce dossier et qu'il
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apporte ensuite des solutions.
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Et là encore on peut prendre aussi le point pour nous tous des solutions qui n'ont pas
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été données toutes ces dernières années à Mayotte.
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Une loi a été proposée par Sébastien Lecornu, alors ministre des Outre-mer en 2022, elle
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n'a pas pu aller au bout pour créer des infrastructures de bim, de snow à Mayotte.
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Une loi était en préparation en 2024, elle a été à nouveau arrêtée par la dissolution.
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Pour Mayotte, c'est le territoire le plus pauvre de France, il mérite des investissements
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à la hauteur des enjeux qui s'y préparent et qui sont ceux que la France rencontre dans
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ce territoire.
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Donc vous appelez à reprendre ces chantiers alors que le Président sera demain sur place
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à Mayotte ?
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Il faut aujourd'hui reconstruire l'intégralité de Mayotte, ce qui n'est pas une mince affaire.
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Vous disiez être dans l'opposition à Michel Barnier, est-ce qu'aujourd'hui vous êtes
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dans l'opposition à François Bayrou ?
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J'avais pris cette décision d'opposition à Michel Barnier après qu'il ait nommé
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des ministres LR en nombre au gouvernement alors que ce n'était pas le résultat des
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élections législatives celles que je le lisais.
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Et puis après son discours de politique générale où il annonçait notamment une loi immigration
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nouvelle, les mêmes causes produisant les mêmes effets.
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Si François Bayrou renommait des gens comme Bruno Retailleau et s'il s'engageait à
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nouveau à faire une loi immigration, alors je serai dans l'opposition.
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C'est Bruno Retailleau plus une nouvelle loi immigration ou c'est juste la présence
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de Bruno Retailleau qui est une idée ?
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Non, je ne suis pas de procès d'intention.
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Il pourrait rester s'il renonce à une nouvelle loi immigration ?
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Pourquoi les gens sont là ?
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Oui, pour vous donner un peu une idée sur cette loi immigration dont on nous bassine
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les oreilles depuis maintenant un bon bout de temps, 27% des décrets de la précédente
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loi qui a un an, 27% des décrets ont été adoptés.
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Ça vous montre l'urgence qu'il y a aujourd'hui d'adopter un nouveau texte à part de fâcher
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l'intégralité des élus entre eux et de créer un nouveau débat complètement stérile
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et délétère à l'Assemblée nationale.
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Donc le Premier ministre a dit qu'il ferait un discours de politique générale le 14 janvier.
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Et c'est à l'aune de ce discours de politique générale et du gouvernement qu'il compose,
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que je déciderai de savoir si je suis en soutien ou non de sa politique.
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Vous avez d'autres lignes rouges ?
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Vous n'avez pas dit nouvelle loi immigration, vous avez des lignes rouges sur la réforme
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des retraites ?
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C'est moins des lignes rouges.
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Moi, je pense que s'il voulait tendre la main à la gauche, alors il faudrait discuter
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à la fois de la dette publique, mais aussi du financement de la protection sociale et
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du financement des retraites, ce qui implique peut-être une pause ou un gel dans la mise
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en œuvre de la réforme qui a déjà commencé à s'appliquer.
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Vous, l'ancien député macroniste qui avez endossé totalement cette réforme à l'époque,
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vous dites aussi qu'il faut la geler.
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Je pense qu'il y a un problème de financement qui n'a pas disparu.
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Je pense que ce problème de financement peut être réouvert, y compris avec les organisations
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syndicales.
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Je pense que l'âge légal était une modalité du financement.
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Aujourd'hui, nous n'en avons pas trouvé d'autres.
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Mais si nous voulons que participent les élus socialistes ou qu'ils soutiennent sans participation
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ou qu'ils adoptent une posture de non-censure, alors il faut faire des pas de la même façon
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qu'il faut reprendre des mesures de justice fiscale, de contribution des plus hauts revenus
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ou des plus grandes entreprises, comme l'avait défendu le Modem dans l'examen du projet
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de loi de finances.
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C'est-à-dire qu'en réalité, aujourd'hui, nous sommes contraints, si nous voulons que
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ça dure, et je pense que beaucoup de Français en ont marre de l'instabilité, en ont marre
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du spectacle que nous donnons jour après jour à l'Assemblée nationale, nous sommes
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contraints, si nous voulons que ça dure, à faire des pas les uns vers les autres.
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Et ça ne peut pas être toujours dans le même sens, ça ne peut pas toujours être en faveur
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de la droite, qui est extrêmement minoritaire, aujourd'hui, à l'Assemblée nationale.
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Vous qui connaissez bien Emmanuel Macron, est-ce que vous estimez que les choses n'ont
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pas très bien commencé entre lui et François Bayrou ? Certains disent que le chef de l'État
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s'est fait tordre le bras.
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Le chef de l'État est libre de nommer qui il souhaite.
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Moi, ce que je constate, c'est que François Bayrou est allé le convaincre, de façon
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plus ou moins, avec force, en tout cas, c'est ce que j'ai lu, j'ai constaté, je n'ai
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pas le récit de cette histoire, ça m'amuse non, parce que ce serait amusant si on pouvait
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en rire.
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Je ne pense pas qu'on puisse en rire.
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Ce que je constate, c'est que Bernard Cazeneuve n'a pas été nommé au prétexte peut-être
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qu'il aurait imposé une cohabitation au président de la République, et qu'en réalité
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Michel Barnier comme François Bayrou agissent d'eux-mêmes, c'est-à-dire que ce n'est
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pas les pleins pouvoirs du président de la République, mais ça, c'est l'effet très
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simple d'une élection qui s'est tenue en juillet dernier, et qui fait que tous les
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blocs de l'Assemblée Nationale, les trois blocs, sont privés d'une majorité absolue.
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Et comme personne n'a la majorité absolue, alors personne ne peut décider seul, tant
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que les élus, dans leur ensemble, ne se sont pas mis ça dans la tête, on n'avancera
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pas beaucoup.
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Et pour vous, Emmanuel Macron a tiré les leçons de cette élection ? Vous dites qu'il
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n'a pas nommé Cazeneuve, mais Barnier, aujourd'hui ?
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Je continue de penser, je l'ai dit dès juillet, que des trois blocs qui se sont constitués,
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celui qui est le moins minoritaire, c'est celui de la gauche, et qu'un premier ministre
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issu de la gauche, pas du NFP, issu de la gauche, c'est différent, aurait pu être
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nommé pour constituer un gouvernement.
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Il aurait fallu élargir ?
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C'est ce que je pense, c'est ce que j'ai défendu, et c'est une des raisons pour
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lesquelles, par ailleurs, je n'ai pas rejoint le groupe macroniste.
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En tout cas, Marine Le Pen s'appuie notamment sur cet épisode de la nomination de François
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Béraud pour juger que la fragilité d'Emmanuel Macron, c'est fini ou presque, dit-elle
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dans Le Parisien, et elle se prépare aussi, dit-elle, à une présidentielle anticipée.
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C'est un scénario qui semblait encore absurde il y a quelques mois.
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Est-ce que c'est désormais ce qui guette le pays et le chef de l'État ?
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Vous avez dans cette histoire deux passagers clandestins de l'intérêt général, Jean-Luc
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Mélenchon et Marine Le Pen.
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Parce que ce sont ces deux passagers clandestins, ce qui les intéresse, ce n'est pas la vie
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des Français, ce ne sont pas les mesures que nous pourrions adopter, ce ne sont pas
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les budgets que nous pourrions élaborer, c'est leur sort personnel, qui est très
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contraint pour l'un par son âge et pour l'autre par l'hypothétique décision des
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juges qui interviendra au premier trimestre 2025 et qui pourrait la rendre inéligible.
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Et dans cette course contre la montre, ces deux passagers clandestins veulent absolument
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la démission du Premier Ministre, qui a été élue pour cinq ans, il l'a rappelé.
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Et c'est le droit, c'est la démocratie, c'est la légitimité populaire qu'il a
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acquise en mai 2022 et de cette façon-là, il n'y a pas à convoquer ou il n'y a pas
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à revendiquer une élection anticipée puisque le Président a un mandat qui court et qui
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doit s'appliquer.
09:22
Je pense que notre pays est suffisamment déstabilisé pour ne pas qu'on ajoute à cela une crise
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de régime avec une élection présidentielle anticipée.
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Vous avez quitté le groupe Macroni, je le disais, vous avez essayé de former un nouveau
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groupe de centre-gauche, en attendant, vous êtes indépendant et vous vous êtes rapproché
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de Raphaël Glucksmann.
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Vous étiez début octobre à l'université d'été de son mouvement Place Publique.
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Qu'est-ce que vous attendez pour prendre votre carte chez Raphaël Glucksmann ?
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D'abord, je crois qu'il y a un congrès pour Place Publique avec des orientations
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politiques qui doivent être décidées et moi, je respecte l'avis interne des partis
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de sorte qu'on discutera de tout cela à ce moment-là.
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Vous voulez dire que vous n'avez pas assez d'éléments pour vous engager ?
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Non, ce que je veux dire, c'est que dans la position dans laquelle je suis avec le
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collectif qu'on a, le collectif dit social-démocrate à l'Assemblée, qui réunit une vingtaine
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de députés de différents groupes, on a suffisamment de liberté et de force pour
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ne pas se revendiquer d'une seule des chapelles, mais essayer d'unir qui de Carole Delgar,
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Raphaël Glucksmann, Bernard Cazeneuve ou d'autres qui, ensemble, pourraient faire
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de grandes choses.
10:23
Raphaël Glucksmann, il ferait un bon candidat en 2027 ?
10:26
Vous savez, on est à des années-lumières de l'élection présidentielle et si on
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se référait...
10:33
On a vu que l'élection présidentielle était très présente dans tous les essais
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ces derniers mois.
10:36
C'est un période quasiment identique dans les deux précédents quinquennats.
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C'est comme si on se retrouvait en novembre 2019, avant la première réforme des retraites,
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ou 2014, avant même les grands attentats terroristes qu'a connus la France, ce qui
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donne un peu de distance par rapport à l'élection présidentielle et chacun devrait avoir ça
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en tête et être un peu plus serein avec ce rendez-vous-ci.
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Vous ne répondez pas vraiment.
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Est-ce que le contact est rompu aujourd'hui avec Emmanuel Macron ?
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Il ne peut pas l'être totalement, puisque c'est le président de la République en
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exercice pour encore 30 mois.
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Et donc, il a une place institutionnelle.
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Mais entre vous et le président ?
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Disons qu'il a toujours la possibilité de discuter, ou en direct ou par intermédiaire.
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Certaines de ces décisions n'ont pas été comprises ces derniers temps.
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C'est un euphémisme entre la dissolution, la quête du Premier ministre sous l'œil
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des caméras.
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Quelle est votre grille de lecture de ces derniers événements ?
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Ce que ça illustre, c'est que la dissolution a été décidée pour éviter la censure,
11:36
et que la censure sur le budget est quand même advenue.
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Donc, la dissolution a été vaine, au fond, c'est le premier élément.
11:44
Ensuite, c'est que la dissolution a été créée pour clarifier, c'est-à-dire trouver
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une majorité qui soit plus confortable, et qu'il n'y en a plus du tout pour aucun
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des trois groupes.
11:55
Et enfin, c'est que, pour le coup, on peine aujourd'hui, politiquement, à s'unir sur
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des choses qui pourraient pourtant être très faciles.
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Au premier trimestre de l'année 2025, si vous proposez une loi sur l'orientation
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agricole de notre pays, avec les mesures fiscales qui étaient contenues dans le budget,
12:10
si vous proposez une loi sur la fin midi, ou si vous proposez un texte sur le narcotrafic,
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sur ces trois textes, vous avez des majorités très larges.
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De sorte que faire fonctionner le pays et répondre aux urgences, ça n'est pas si compliqué
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pour autant qu'on veuille un peu surlever les manches.
12:22
Merci beaucoup Sacha Ollier, député de La Vienne, d'avoir répondu aux questions de France Info.
12:26
Et merci Agathe Lambré.
12:27
On se retrouve à 20h pour les informer.
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