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Trafic de drogue à Grenoble : après la manifestation quartier Saint-Bruno, que faire maintenant ?
ici Isère
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25/11/2024
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News
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00:00
7h46, vous avez la parole ce matin, venez nous dire comment le trafic de drogue pèse sur votre quotidien.
00:06
On attend vos témoignages au 04-76-46-45-45 et on en parle avec votre invité Théo.
00:11
Oui, Bruno Delescure, bonjour.
00:13
Bonjour.
00:13
Merci d'être en studio avec nous ce matin, président de l'union de quartier Berria-Saint-Bruno.
00:18
Je vous propose d'écouter, pour commencer, des habitants de Saint-Bruno qu'on a entendus ce week-end
00:23
à la manifestation qui a rassemblé, je le disais, près de 300 personnes.
00:27
Écoutez leur exaspération.
00:29
C'est une place qui est gangrénée par le trafic et c'est pas normal parce que c'est une très belle place pour enfants
00:34
et nos enfants sont obligés de changer leur trajet pour aller à l'école le matin.
00:39
On n'ose plus sortir de chez nous, on demande à nos enfants de ne plus se rendre sur la place,
00:42
de contourner la place pour se rendre aux écoles et c'est un quartier qui ne nous appartient plus.
00:47
On sent effectivement de l'exaspération chez ces habitants.
00:49
Vous avez le sentiment qu'il y a un cap qui s'est passé, une violence supplémentaire là,
00:54
depuis la rentrée peut-être, depuis quelques mois ?
00:56
Oui, effectivement, il y a un cap qui a été franchi par les fusillades multiples,
01:01
par les agressions multiples, par les revolvers sortis en plein espace public.
01:06
Oui, c'est clair.
01:07
Le Dauphiné libéré d'ailleurs évoque un mouvement de foule samedi après-midi
01:10
en parallèle de la manifestation à cause de deux hommes à scooters
01:14
dont l'un portait une arme, c'était au niveau de l'arrêt de Trump.
01:17
Vous confirmez, c'est ça ?
01:18
Oui, non, moi j'ai comme vous lu le Dauphiné libéré
01:23
mais par contre ça pose la question de la réponse actuelle des pouvoirs publics.
01:27
C'est ça qui a été soulevé par le collectif, dont nous avons soutenu totalement l'appel.
01:32
Alors nous ne sommes pas d'accord sur les solutions, sur toutes les solutions en tout cas,
01:35
il y en a une sur laquelle nous sommes entièrement d'accord,
01:38
c'est le retour de la police de proximité dans les rues et dans l'espace public.
01:41
Et que ça fasse l'objet d'une action concertée entre l'État, la préfecture et la municipalité.
01:48
On va revenir dans un instant sur les solutions,
01:51
en tout cas ce que vous réclamez effectivement aux pouvoirs publics.
01:53
Je vous propose d'abord d'aller au Standard de France Bleu Isère pour trouver Jérémy Lenne.
01:58
Bonjour Monsieur Lenne.
02:00
Bonjour.
02:00
Merci d'être en ligne avec nous, vous êtes représentant responsable de FCPE,
02:06
donc de l'association de parents d'élèves au collège Fantin-Latour.
02:09
Parce que désormais ce trafic pèse aussi sur les enfants et sur les parents d'élèves, expliquez-nous.
02:16
Alors en fait le collège est situé juste à proximité, en retrait de la place Saint-Bruno,
02:21
mais donc il y a une proximité qui est très importante.
02:24
Il y a des élèves qui doivent traverser la place,
02:26
soit parce qu'ils y habitent, soit parce qu'ils habitent de l'autre côté de la place par rapport au collège.
02:31
Et puis il y a une extension de plus en plus importante, et notamment ces derniers temps,
02:36
soit du trafic, de la présence de guetteurs ou autres au-delà de la place,
02:41
et puis d'événements qui surviennent au-delà de la place.
02:44
On parlait du tram-bay à Saint-Bruno, il y a eu, je crois que c'était samedi,
02:50
pas avant-hier mais samedi d'avant, il y a eu un événement dans un parc pour enfants au-delà de la place,
02:56
voilà, au parc New York.
02:58
Donc en fait, si vous voulez, ce n'est plus seulement le périmètre restreint de la place,
03:03
mais c'est aussi des événements qui surviennent à côté.
03:05
Et ça c'est nouveau ?
03:06
Forcément. Et ça c'est nouveau, ça c'est nouveau.
03:09
Le fait que ça soit aussi en pleine journée, alors je ne saurais pas dater exactement,
03:13
mais on est depuis quelques semaines, quelques mois,
03:15
c'est quelque chose qui a pris de l'ampleur, et une fréquence et une régularité qui inquiètent aussi.
03:20
Ce n'est plus un épiphénomène une fois par an comme ça,
03:23
c'est vraiment quelque chose dont on a l'impression que ça peut se dévenir à n'importe quel moment,
03:27
à n'importe quel endroit, et du coup, concerner n'importe qui,
03:31
évidemment même des gens qui ne sont pas concernés directement par les événements,
03:34
et du coup des enfants, voilà.
03:36
On a des établissements scolaires qui sont en perpétuel alerte par rapport à ça,
03:41
que ce soit au collège, mais aussi les écoles primaires alentours.
03:44
Et voilà, c'est particulièrement inquiétant,
03:47
parce qu'on a toujours l'appréhension d'un événement, d'une balle perdue ou quelque chose,
03:52
qu'on peut difficilement anticiper en fait.
03:56
On comprend votre inquiétude.
03:57
Merci beaucoup, Jérémy Lenne, d'avoir été en ligne avec nous ce matin,
04:01
représentant donc FCPE au collège Fantin-Latour.
04:04
Je reviens vers vous, notre invité, Bruno Delescure,
04:07
président de l'union de quartier Saint-Bruno-Berria.
04:09
Quand vous entendez effectivement ce trafic qui s'étend et qui touche désormais les enfants,
04:16
quel est votre sentiment ?
04:18
Le même, que ce soit pour les enfants ou pour les adultes,
04:21
c'est le même problème de toute façon.
04:23
C'est l'espace public qui devient finalement difficile à pratiquer et à vivre.
04:28
Mais moi j'aimerais quand même qu'on tire un peu le bilan d'un an d'action des pouvoirs publics,
04:34
qui a consisté à faire...
04:36
Il y a eu des réunions avec le procureur de la République notamment.
04:38
En fait la stratégie était assez claire,
04:40
c'est-à-dire d'abord de la justice et de la police,
04:44
c'est-à-dire par des enquêtes,
04:45
et ça personne ne dira qu'il ne faut pas le faire.
04:47
Et deuxièmement, enfin deuxièmement et troisièmement,
04:50
c'est deuxièmement une arrivée massive de policiers à une heure donnée,
04:55
dans des cars dans lesquels les CRS restent,
04:57
et donc qui est inefficace finalement.
05:00
Le deal se passe en continuant de se passer à côté.
05:03
Et puis troisièmement, une demande de la part des pouvoirs publics,
05:05
que ce soit les habitants eux-mêmes qui culpabilisent les acheteurs.
05:11
Cette politique manifestement, elle ne marche pas.
05:14
Donc en fait il faut passer à quelque chose qui soit plus efficace,
05:18
enfin en tout cas il faut remettre en cause, faire le bilan,
05:20
voir combien ça coûte,
05:21
et ensuite partir sur une autre politique.
05:24
Et donc nous ce qu'on pense en fait à l'union de quartier,
05:27
c'est qu'il faut une politique à la fois de prévention,
05:30
il faut une politique de santé,
05:32
il faut évidemment une politique de police et de justice,
05:34
mais il faut aussi une politique sociale.
05:36
C'est-à-dire que nous, nous avons invité un sociologue en décembre,
05:39
qui nous a clairement décrit la manière dont aux Etats-Unis,
05:42
on avait pu résorber, non pas annuler,
05:45
les méfaits entre guillemets de la vente de drogue dans un quartier.
05:49
Le problème c'est que les pouvoirs publics considèrent en fait en gros
05:53
que c'est la consommation qui est le problème,
05:55
et force est de constater que la consommation ne fait qu'augmenter.
05:58
Donc il faut être lucide là-dessus, il ne faut pas prendre...
06:01
C'est pour ça que nous nous demandons,
06:03
comme le sénateur qui a fait un rapport
06:06
dans une commission d'enquête sénatoriale en mai 2014,
06:11
c'est que la question de la légalisation du cannabis pour les majeurs
06:14
soit mise sur la table.
06:17
Le sénateur en question n'y est pas favorable,
06:19
mais il dit qu'il faut qu'il y ait un débat.
06:20
Et donc effectivement, la question se pose.
06:22
Parce que ce qui engendre tout ça,
06:24
c'est la puissance financière de tous ces réseaux.
06:27
C'est clair, il y a des rivalités effectivement,
06:29
des marchés qui attisent, les convoitises.
06:31
Et paradoxalement, c'est la mise à bas des réseaux,
06:34
c'est-à-dire le travail efficace de la police et de la justice,
06:37
qui crée en fait la situation
06:39
où les autres réseaux viennent, veulent mettre la main sur le réseau
06:43
et commencent à tirer dans tous les sens.
06:45
Et donc c'est ça en fait, à un moment donné, il faut se dire
06:47
si on produit ça, est-ce que c'est finalement la bonne solution ?
06:50
On ouvre le débat ce matin sur France Blizzard,
06:53
n'hésitez pas à nous appeler Mathieu.
06:55
On pose la question, est-ce que vous constatez
06:56
ce trafic de drogue autour de vous ?
06:58
Alors même si vous n'habitez pas à Grenoble,
06:59
c'est un problème beaucoup plus important dans notre département.
07:02
Quel impact ça a sur vous ?
07:03
Est-ce que ça vous pousse à changer vos habitudes ?
07:05
Et qu'est-ce que ça peut amener au quotidien ?
07:07
On a eu un témoignage anonyme, c'est vrai qu'on ne le précise pas,
07:08
mais vous n'êtes pas obligé de passer à l'antenne,
07:11
on peut changer les prénoms, etc.
07:12
qui nous raconte qu'hier matin, une dame qui nous dit sa fille
07:15
part au travail à Échirol, donc près d'un point de dîle,
07:17
et qu'un homme a menacé son amie avec une arme
07:19
et a tiré dans les vitrines.
07:21
Donc autre conséquence au quotidien de ce climat.
07:24
Donc 04-76-46-45-45, vous nous appelez les 7h53
07:28
et on continue de parler de cette situation, Théo.
07:31
Et au Standard, nous sommes en ligne avec Akima Nessib, bonjour.
07:34
Bonjour.
07:36
Merci d'être en ligne avec nous, je précise ancienne élue,
07:39
socialiste aussi à Grenoble.
07:41
Quand vous voyez ces mobilisations,
07:43
notamment ce week-end au niveau de la Place Saint-Bruno,
07:46
votre sentiment ?
07:48
Alors mon sentiment déjà, dans un premier temps,
07:50
je suis habitante en fait sur le quartier,
07:53
sur le cours Berria depuis plus d'une vingtaine d'années.
07:57
Je suis aux côtés en fait de ce groupe d'habitants mobilisés.
08:01
Moi, je me sens complètement désespérée en fait,
08:06
la peur aussi de recevoir une balle.
08:09
Je suis comme un grouillon d'habitants
08:12
dans une stratégie d'évitement de la Place Saint-Bruno.
08:16
Moi, ce que je constate,
08:18
c'est que notre quartier est gangréné effectivement
08:21
depuis de nombreuses années par le trafic.
08:24
Nous avons alerté l'union de quartier,
08:27
je salue M. Bruno Lescure qui est à l'antenne,
08:31
la ville également.
08:33
Ce que je perçois,
08:34
c'est qu'il y a quand même une perte de l'autorité de l'État.
08:37
On dit en pleine journée, en bas de chez moi,
08:40
je n'ai pas vu mais les habitants et mes voisins me l'ont dit,
08:43
puisqu'ils l'ont vu,
08:45
ce jeune en scooter sur les voies du tram avec une arme,
08:48
des choses qu'on n'a jamais vues.
08:52
Effectivement, même le syndicat du transport MTAG alerte.
08:57
Il y a un droit d'alerte ce matin sur l'arrêt de tram Saint-Bruno.
09:00
Tout à fait.
09:01
Je tiens quand même à les remercier
09:03
puisqu'ils sont dans une démarche de soutien à l'égard du collectif.
09:07
Moi-même, prenant les transports en commun,
09:10
je ne prends plus la ligne A.
09:11
Je fais tous mes déplacements en vélo.
09:15
On perçoit cette montée de la violence.
09:18
Et pour lutter contre le narcotrafic,
09:21
effectivement, M. Bruno Lescure l'a dit,
09:23
il faut fluidifier les liens entre les services de l'État, la ville,
09:27
accorder plus de moyens à la police et la justice.
09:31
Mais il y a quand même urgence à agir.
09:33
On l'entend, effectivement.
09:35
Je suis désolé, je vous coupe un petit peu
09:37
parce qu'on arrive au bout de l'interview.
09:39
Je voudrais redonner la parole à M. Lescure.
09:41
Merci beaucoup à Kimane et Sib
09:43
d'avoir été en ligne avec nous ce matin.
09:45
Bruno Lescure, président de l'union de quartier Berria-Saint-Bruno.
09:49
Quand on entend, effectivement, cette exaspération,
09:52
il y a eu quand même des choses qui se sont passées,
09:55
vous l'avez dit, il y a eu des réunions avec le procureur de la République,
09:57
il y a eu un renforcement tout récent de la police nationale.
10:00
Ça, est-ce que ça suffit aujourd'hui ?
10:02
En fait, ce qui ne suffit pas,
10:04
on a rencontré aussi le directeur de cabinet,
10:07
le sous-préfet de la préfecture.
10:10
Il y a des échanges ?
10:11
Oui, mais il y a le maintien de la stratégie
10:14
qui consiste à dire, finalement,
10:17
c'est la culpabilisation des consommateurs
10:19
qui va résoudre le problème,
10:20
puisque c'est ce qui nous a été proposé.
10:22
Et ça, en fait,
10:24
très sincèrement, tous autour de la table,
10:26
on n'y croit pas.
10:27
Ce à quoi on croit,
10:28
c'est à ce qu'il y ait une police de proximité
10:30
qui fasse des rondes
10:32
qui soient, en fait, dans l'espace public.
10:34
Donc on répond quoi, quand vous demandez ça ?
10:36
On ne nous répond pas, en fait, pour tout vous dire.
10:39
Donc si, on nous renvoie sur la question
10:42
de l'armement ou pas de la police municipale,
10:45
mais ce n'est pas la question.
10:46
La question, c'est que tant...
10:48
C'est pour ça que c'était assez justement dit
10:50
dans le tract du collectif,
10:52
c'est-à-dire tous les pouvoirs publics,
10:54
à la fois l'État, la préfecture, autrement dit,
10:56
et puis la municipalité.
10:58
Et nous, on rajoute aussi,
11:00
dans ce que je vous ai dit tout à l'heure,
11:01
c'est-à-dire prévention, santé,
11:03
c'est d'autres services de l'État,
11:05
et puis aussi social.
11:06
C'est-à-dire qu'en fait, à un moment donné,
11:08
ça ne se résoudra qu'en allant voir
11:10
ceux qui font le chouffle, les dealers eux-mêmes.
11:12
Et alors, c'est très compliqué,
11:13
parce qu'en fait, les chefs de réseau,
11:17
en bons libéraux sauvages qu'ils sont,
11:19
ont bien compris, en fait,
11:20
qu'il fallait faire venir des gens d'ailleurs
11:22
pour pouvoir, en fait,
11:23
qu'il n'ait aucune pression,
11:25
ni familiale, ni sociale, en fait, localement.
11:28
Mais ça n'empêche pas d'essayer de travailler ça.
11:31
Et ça, c'est de la responsabilité
11:32
de ce que je viens de vous dire,
11:33
c'est les compétences et de la métropole,
11:35
la santé, et aussi du département.
11:37
Donc il faudrait, en fait,
11:38
que tous les acteurs publics concernés
11:40
se mettent autour de la table.
11:41
Et moi, je tiens à dire aussi, quand même,
11:43
je vais aller très vite,
11:44
je pense que la réfection de la place
11:46
n'est pas une solution.
11:47
L'exemple de l'ALMA a montré, en fait,
11:50
que ça n'aboutit à rien.
11:52
La place de l'ALMA a été refaite en 2021
11:54
et ça s'est conclu par des tirs en 2024,
11:57
dont 13 balles pour une seule et même personne.
12:00
Le message est passé.
12:01
Merci beaucoup, Vardan, de vous couper.
12:03
Merci, Bruno Lescure,
12:04
de l'escoeur d'avoir été avec nous ce matin,
12:06
président de l'Union de quartier Saint-Bruno-Berria.
12:08
Belle journée, merci.
12:09
Merci.
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