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  • il y a 1 an
Les obsèques de Philippe Coopman, 22 ans, tué la semaine dernière dans un guet-apens, ont eu lieu ce mercredi à Grande-Synthe, avec plus de 500 personnes sur place. Et pour le journaliste Éric Revel, «aujourd’hui, ce sont les parents qui apportent les roses blanches pour leurs enfants massacrés».

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Transcription
00:00 Oui, sans doute, mais je vais vous choquer, Laurence.
00:04 Non, sans doute pas, mais allez-y.
00:06 Moi, je veux bien écouter toutes les explications de cette dame,
00:09 même si c'est son enfant meurtrier va en prison et qu'elle va s'en vouloir.
00:13 Mais surtout, quand je vois les images de ce cercueil,
00:15 moi, je pense... -Celui de Philippe.
00:18 Celui de Philippe, de ses parents.
00:20 Je pense d'abord et avant tout aux parents,
00:23 parce que la douleur, elle est primaire, l'émotion, elle est primaire.
00:26 Et puis ça me faisait penser à quelque chose, Laurence.
00:29 Vous voyez ces roses blanches, là ?
00:30 Il y a quelques années, pour les plus anciens,
00:32 moi, mon père écoutait beaucoup cette chanson,
00:34 c'était Berth Silva qui chantait les roses blanches.
00:36 Et les roses blanches, c'était un enfant qui apportait des roses
00:38 à sa maman décédée à l'hôpital.
00:40 Bien aujourd'hui, les roses blanches, c'est les parents qui les apportent
00:43 pour leurs enfants massacrés.
00:44 Sous-titrage ST' 501
00:47 [Sous-titres réalisés para la communauté d'Amara.org]

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