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  • 28/02/2024
TOUCHE PAS À MON POSTE : 100% médias, 100% darka ! 


Du lundi au vendredi à 18h45 sur C8.


Tous les extraits et émissions de "Touche pas à mon poste" sont à retrouver sur MyCANAL : https://www.canalplus.com/c8/tpmp/touche-pas-a-mon-poste




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Transcription
00:00 Merci Christophe Combarieux d'être avec nous avant de voir le témoignage.
00:04 Merci d'avoir le témoignage du docteur El Hassan.
00:08 Elle m'a dit merci d'être avec nous encore ce soir.
00:09 Vous avez été entendus 9h par la policière, c'est un truc de fou.
00:12 Et merci à maître Claude Mésrail d'être avec nous.
00:15 Merci d'être avec nous parce que c'est vraiment une affaire incroyable qui se trame là-bas.
00:20 Alors juste, Christophe Combarieux, des personnalités politiques,
00:24 c'est vrai qu'on a toujours entendu des choses de fous,
00:26 par exemple que tous les présidents étaient infidèles.
00:28 À part Emmanuel Macron, je n'ai jamais entendu un truc sur lui.
00:31 C'est vrai, Emmanuel Macron, on n'a jamais entendu.
00:33 Après François Hollande, on savait que c'était croissant et zizi.
00:36 On apprendra peut-être plus tard.
00:39 Oui, mais bon, là il est...
00:40 Oui, ça va.
00:42 Emmanuel Macron, je vous le dis, il n'y a jamais rien.
00:47 Je vous le dis franchement, il n'y a rien.
00:50 J'ai toujours entendu des trucs sur des gars.
00:52 Emmanuel Macron, rien depuis.
00:54 Je vous le dis, c'est vrai, c'est un truc de fou.
00:57 Bernard, c'est un truc de fou.
00:58 Et ils ont pourtant cherché.
01:00 Oui, mais je te jure, c'est rien.
01:01 Répond Pompidou.
01:02 Il n'y a même pas de rumeur.
01:03 Je n'ai jamais même entendu une histoire d'un truc,
01:05 rien, le début d'un truc.
01:06 C'est un truc de fou.
01:07 C'est le seul président où je n'ai jamais entendu le début d'un truc.
01:09 Autant François Hollande, j'entendais tous les jours des bails.
01:12 Dès qu'il allait chercher un chausson aux pommes, c'est vrai.
01:16 On disait, il va se passer un truc.
01:19 Raymond parle de Pompidou justement, c'était assez drôle
01:21 parce que toute la période pompidolienne, j'ai envie de dire,
01:25 vous aviez quand même la rumeur que Claude Pompidou était très amateur,
01:28 amateurice de Partouze.
01:30 Ah oui ?
01:31 Donc, oui, oui, oui.
01:32 Ça, ça a été promis.
01:33 C'était largement des l'héros.
01:35 C'était largement des mentis, c'est faux.
01:36 C'était une horreur de se voir.
01:37 Ils ont mal entendu, c'était Jean-Michel Maire.
01:39 Je ne peux pas s'en faire.
01:40 Mais c'est faux, ça c'est l'histoire.
01:42 Juste, s'il vous plaît, parce que là, c'est un peu vieux,
01:44 Claude Pompidou, là, c'est bon.
01:45 Oui, merci.
01:46 Toutes les personnalités politiques ont des casseroles ou pas ?
01:49 Bah, beaucoup, beaucoup.
01:51 Vraiment ? Ah oui ?
01:52 Déjà, je ne sais pas si vous vous souvenez de ce livre de Raphaël Baquet,
01:54 de ce journal que vous adorez, Le Monde.
01:56 Bien sûr.
01:57 Où, effectivement, elle disait que chaque député avait eu une fois
02:02 une histoire avec son assistante parlementaire.
02:04 Ce n'est pas un député sur dix.
02:06 Chaque député a eu un jour affaire à une relation avec son assistante parlementaire.
02:12 Donc, forcément, bon.
02:13 Et puis, vous avez tous les autres.
02:15 Vous avez tous les autres.
02:16 Je me souviens d'une petite phrase de, comment il s'appelle, de Luc Ferry,
02:23 qui avait dit, c'était sur le Grand Journal à Canal+.
02:27 Il avait dit, voilà, il a vendu la mèche.
02:32 Un ancien ministre s'était fait poisser dans une partouze avec des petits garçons à Marrakech.
02:37 Et il disait qu'il tenait l'affaire du Premier ministre.
02:40 Donc, bon, quand même.
02:41 Il a balancé ça, hein ?
02:42 Il a balancé ça pendant le Grand Journal.
02:44 C'est fou, ça.
02:45 Donc, bon, il faut oser, hein ?
02:47 Bien sûr, je vous en prie, il faut oser.
02:49 Pourquoi il y a autant de scandales sexuels chez les politiques ?
02:52 Et puis, rappelez-vous, il y avait aussi, on n'en parle plus tellement parce qu'il a quitté la politique,
02:56 mais Robert Rochefort, vous vous souvenez de Robert Rochefort ?
02:58 Jean Rochefort.
02:59 Robert Rochefort, député modem, qui avait fini dans les allées du Castorama,
03:03 en train de se faire plaisir tout seul.
03:06 Et puis, vous saviez, vous vous en souvenez ?
03:08 Eh, chez Casto, il y a tout ce qu'il faut.
03:10 Il y a tout ce qu'il faut.
03:12 Il était venu avec sa boîte à outils.
03:14 Non, mais c'est un truc de fou, c'est vrai.
03:16 On s'en souvient de Robert Rochefort qui a quitté la politique,
03:18 nous autres, plus cette affaire.
03:19 On ne s'en souvient pas de fou, mais bon...
03:21 C'est vrai, non, mais c'est vrai.
03:22 Effectivement, alors après, il y avait eu toutes les affaires de DSK, de Griveaux, de Georges Tron, de Giscard,
03:30 qui étaient, paraît-il, alors Bernard, peut-être... Est-ce vrai ou pas ?
03:34 Giscard, c'est un vrai séducteur, alors, Giscard Destin, monsieur le Président.
03:39 Il y avait Giscard, il y avait Chirac...
03:42 C'est Giscard qui avait dit qu'il était sorti avec Lady Di...
03:44 Oui, donc qu'il l'avait draguée, qu'elle n'était pas sensible.
03:48 Mais bon, c'était un mytho, je suis n'importe quoi.
03:51 Mais est-ce que Chirac était vraiment à Claudia Cardinal, par exemple ?
03:54 Oui, c'est vrai, ça, c'était une rumeur, ça, qu'il y avait.
03:55 Ah, c'était une rumeur, ça.
03:56 Alors, ça, c'est faux.
03:57 C'est faux aussi.
03:58 Alors, ça, je vais vous dire, le reste, je ne sais pas.
04:00 Claudia Cardinal, que je connais très bien, elle a reçu une lettre de monsieur Chirac en disant
04:05 "Je suis tout à fait honteux et navré de toutes ces rumeurs et je regrette que ce soit faux."
04:10 Voilà.
04:11 Alors, ça, c'est quand même assez clair.
04:12 Et Chirac, il était surnommé "5 minutes d'où je comprise", il a multiplié les infidélités ou pas ?
04:17 Je pense, enfin, c'était un séducteur.
04:20 Donc, je crois qu'en politique, quoi qu'il arrive, on est des séducteurs, on séduit,
04:24 on fait de la politique pour être justement séduit, je pense que c'est...
04:28 Il y a un ancien président, Félix Faure, qui a fait des cuisines maintenant,
04:33 qui aimait tellement les femmes qu'il est mort après une relation sexuelle avec l'une de ses maîtresses.
04:36 C'est vrai ?
04:37 - Directement. Il est mort comme ça, à l'Elysée.
04:39 - Vous connaissez la phrase.
04:40 - Il voulait être César, il a fini pompé.
04:43 - C'est la phrase, c'est la phrase.
04:45 - C'est vrai, exactement.
04:47 - Ah, moustache.
04:48 - Oui, c'est normal.
04:50 - Alors, on va revenir sur...
04:51 - Il y avait une autre affaire, parce que c'est une artiste qu'on aime tous beaucoup,
04:54 qui est Lio, qui avait eu une histoire avec Michel Charras à l'époque du ministre de...
04:58 Il était ministre de...
04:59 - Ah oui ?
05:00 - Exactement.
05:01 - Vous ne comptez pas pour des prunes ?
05:03 - Exactement.
05:04 Et elle avait accusé Charras de l'avoir dragué et courtisé avec insistance.
05:09 Et elle aurait évoqué elle-même une passe à 3,7 millions, on parlait en francs,
05:14 parce qu'elle aurait eu un petit rabais fiscal.
05:17 Voilà.
05:18 Alors, lui, Michel Charras, a eu une autre explication.
05:21 Mais bon, l'affaire existe.
05:23 - C'est incroyable.
05:24 - Charras était un très grand séducteur, je dois dire.
05:26 - Il y a quoi comme autre histoire, là ? On aime bien, là.
05:28 - On est notamment en France.
05:29 - Il y a une autre histoire ? C'est moi, c'est moi. Merci.
05:30 - Ah, vous êtes...
05:31 - Il y a une autre histoire ou pas ? Comme ça, j'aime bien.
05:33 - Il y en a plein, des histoires de politique.
05:35 C'est vrai que...
05:36 - Vous aviez entendu parler de cette histoire du Sénat ou pas ?
05:39 - Bien sûr, bien sûr.
05:40 - Sérieux ?
05:41 - Ah oui ?
05:42 - Ah bah non, mais c'est insensé.
05:44 - Alors, justement, on est avec vous, docteur El Hassan.
05:46 Elle m'a dit merci d'être avec nous.
05:48 Vous sortez de 9 heures d'audition hier par la policière.
05:51 Vous allez avoir des nouvelles révélations incroyables.
05:54 C'est vrai que c'est fou, cette histoire.
05:56 Vous vous auditionnez pendant 9 heures.
05:58 On va rappeler l'affaire.
05:59 Michel, tu peux nous rappeler l'affaire ou tu veux que Gilles le fasse ?
06:02 - Oui, oui, oui.
06:03 - Vas-y, Gilles.
06:04 - Donc, c'est l'affaire de la sextape du Sénat.
06:06 Monsieur le médecin est avisé qu'une sextape est détenue par l'une de ses assistantes médicales.
06:13 Et cette assistante médicale se vante de pouvoir faire la pluie et le beau temps au Sénat,
06:17 d'être protégée et d'ailleurs d'avoir, pour preuve,
06:20 obtenu une augmentation de 45 % de son salaire en 2 ans.
06:23 Donc, le médecin est effrayé.
06:25 Et puis, il va prévenir la présidence du Sénat.
06:28 Et l'affaire est révélée ensuite par le canard enchaîné le 6 février,
06:32 l'existence de cette sextape qui déclenche une véritable tempête.
06:35 - Voilà. C'est un truc de fou.
06:36 Merci en tout cas, docteur, d'être avec nous.
06:39 Merci également, maître Claude Mésraillé, d'être avec nous.
06:41 Donc, votre client a été entendu hier à 9 heures par la police.
06:45 - Oui. C'est un cas normal.
06:47 Si vous voulez, il y a un article 40 qui a été déclenché.
06:49 C'est une procédure d'indice.
06:50 - Alors, l'article 40, c'est détention ou diffusion de la vidéo ?
06:53 - Oui. Enfin, l'article 40, c'est quand il y a un signalement.
06:55 Et après, ça déclenche.
06:56 - Vous avez la vidéo, puisque la jeune fille, la dame,
06:59 vous a envoyé la vidéo de la sextape.
07:01 - Absolument.
07:02 - Vous avez fait une soirée sur un écran géant ?
07:05 - Non, ça a été beaucoup moins glamour.
07:08 - Bien sûr. Dans quel cas ?
07:09 - Oublié de cette démarche, en tout cas de cette procédure.
07:12 Tant qu'il y en a d'autres avec d'autres motivations,
07:14 c'était en l'état de ce que j'ai pu comprendre,
07:17 pour établir ou non s'il y avait une violation des privés.
07:20 - C'est ça. Vous avez été auditionné comme témoin assisté.
07:23 - Voilà.
07:24 - Est-ce que vous pouvez nous raconter ce qu'on vous a demandé
07:26 lors de votre audition ?
07:28 Parce que c'est fou, cette histoire,
07:30 parce que c'était une de vos assistantes,
07:33 qui avait été choisie pas par vous,
07:35 qui a été augmentée en deux fois de 45 %,
07:38 une première fois, et donc à la fin,
07:40 ça fait 45 % d'augmentation en tout,
07:43 qui arrivait le matin quand elle voulait,
07:47 qui vous mettait des rendez-vous à 8h,
07:49 15 rendez-vous en même temps, c'est ce que vous nous avez dit,
07:53 et qui était apparemment avec un des...
07:57 - Les casteurs.
07:58 - Les casteurs, exactement, du Sénat,
08:01 et donc ce sont un peu les...
08:03 C'est quoi, c'est les tauliers, les casteurs, c'est ça ?
08:05 - Alors, les casteurs du Sénat, ce sont eux qui tiennent
08:08 la caisse du Sénat, c'est-à-dire qu'ils ont la trésorerie,
08:12 350 millions d'euros par an à gérer.
08:15 Ce sont des sénateurs.
08:17 Ils sont nommés ou élus par leur père,
08:20 et ils gèrent aussi l'administration,
08:22 c'est-à-dire qu'en gros, c'était nos patrons.
08:24 - C'est ça.
08:25 Alors, vous nous disiez la dernière fois,
08:27 qu'on va revenir bien sûr sur votre pointe,
08:30 est-ce qu'ils vous ont demandé ce qui se passait au Sénat ?
08:33 - Non, ils ne m'ont pas demandé, non.
08:35 - Pas du tout.
08:36 - Non, ça, enfin, ils m'ont évidemment posé des questions
08:39 sur ce qu'on a dit, pourquoi ce que j'avais dit,
08:42 ce que j'avais dit chez vous.
08:43 - D'accord, ils vous ont parlé de votre passé ?
08:45 - Ah oui, ils l'ont regardé, ils ont trouvé ça très intéressant.
08:47 - Merci, merci à eux, merci en tout cas.
08:49 - Donc, ils vous ont dit, oui, alors, pourquoi vous l'avez...
08:52 Vous leur avez raconté toute l'histoire depuis le début ?
08:54 - Alors, j'ai raconté toute l'histoire, évidemment,
08:57 puisque on était là pour ça.
09:00 D'ailleurs, au sujet de cet article 40, si vous permettez.
09:03 - Bien sûr.
09:04 - Et là encore, c'est un peu surprenant,
09:09 c'est que moi, quand j'avais alerté le Sénat
09:13 de graves dysfonctionnements au sein de mon cabinet en général,
09:18 j'avais demandé qu'il y ait effectivement une alerte,
09:24 qu'on alerte le procureur pour cette histoire de vidéo intime,
09:32 pour la manière dont ma secrétaire s'était fait recruter.
09:38 Donc ça, c'était le 9 février, je demande, par écrit,
09:45 je demande au sénateur et à l'administration un article 40.
09:49 - Oui.
09:50 - Une heure et demie après, à 11 heures, le groupe écologiste
09:54 écrit au président du Sénat en disant,
09:57 le docteur El Mahdi n'a pas tort,
09:59 ce serait bien qu'on fasse la lumière
10:01 et qu'on lève toutes les opacités qui ont lieu dans cette histoire-là.
10:09 Donc, il était 11 heures.
10:12 À 14 heures, le président du Sénat a dit oui, vous avez raison,
10:16 mes chers confrères, on va lancer un article 40.
10:20 Bon, c'était très bien.
10:21 - Contre vous.
10:22 - Oui, mais au final, c'était contre moi,
10:24 contre celui qui a alerté.
10:26 - Alors, c'est Gérard Larcher, le président du Sénat.
10:28 - C'est Gérard Larcher.
10:29 - Il disait que vous étiez le meilleur médecin de la République.
10:31 - C'est ce qu'il disait, c'est ce qu'il a toujours dit de moi.
10:33 - Oui, voilà.
10:34 - Alors, je...
10:36 - Pourquoi il vous a licencié, alors ?
10:38 - Parce que je pense qu'il voulait étouffer l'affaire
10:41 et...
10:42 - C'était pas le meilleur moyen, en fait.
10:44 - C'était pas le meilleur moyen.
10:45 Non, il s'est toujours, toujours, toujours trompé de cible.
10:48 Encore une fois, moi, j'ai alerté le Sénat,
10:52 initialement, le 13 octobre...
10:55 - Alors, disons quoi.
10:56 - ...2023. Pardon ?
10:57 - Alors, disons quoi.
10:58 - En disant, attention, il y a une vidéo intime,
11:02 attention, il y a une secrétaire qui fait n'importe quoi,
11:05 il va y avoir un grave danger dans mon cabinet médical,
11:08 il va y avoir peut-être même des morts,
11:10 parce qu'un médecin gère aussi des vies humaines,
11:13 et quand une secrétaire met, comme vous le disiez,
11:16 pas 15, mais 6 rendez-vous en même temps,
11:18 6 rendez-vous à 8h, 6 rendez-vous à 8h20,
11:21 6 rendez-vous à 8h40, etc., etc.,
11:23 ça pouvait être compliqué.
11:25 Quand on...
11:26 Les vraies urgences, elles m'étaient pas signalées,
11:29 et quand à 13h, on m'appelait pour me dire,
11:31 "Docteur, vite, venez vite, il y a une urgence",
11:33 et que c'était pour faire un certificat de sport,
11:36 donc à ce moment-là, j'ai quand même fini par alerter
11:39 l'administration et le Sénat.
11:43 - Et c'est là que les soucis ont démarré.
11:46 - Et c'est là que les problèmes ont démarré.
11:49 Donc le 13 octobre, je signale l'affaire,
11:51 peu de temps après, on m'a éliminé, licencié,
11:55 plus personne, on vire le médecin de l'appartement,
11:58 on n'en parle plus, on ferme la...
12:00 - Vous avez été viré en pleine trêve hivernale.
12:03 - En pleine trêve hivernale, mais hier,
12:06 le jour de mon audition par la police judiciaire,
12:10 hier, 26 février, c'est-à-dire quand même
12:12 4 mois et demi, si j'arrive à compter,
12:14 4 mois et demi après le début de l'affaire,
12:17 finalement, le président du Sénat,
12:19 le président Gérard Larcher, annonce qu'il va y avoir
12:23 une procédure disciplinaire contre mon ancienne secrétaire.
12:26 - C'est bien, oui.
12:27 - Alors, ancienne secrétaire, parce que moi,
12:28 je ne suis plus le médecin du Sénat,
12:29 mais elle est toujours effective du Sénat.
12:31 - C'est fou. Vous nous disiez que la dernière fois
12:33 que vous aviez déjà prescrit du Viagra au sénateur.
12:36 - Oui. Non, mais je suis un médecin comme tous les médecins.
12:40 C'est-à-dire que quand il y a un patient ou une patiente
12:43 qui a des difficultés quelconques,
12:46 mon rôle, c'est aussi de faire en sorte
12:49 que ces difficultés disparaissent.
12:51 Donc s'il y a des troubles de la libido,
12:53 il y a des molécules chimiques,
12:56 du Viagra, du Cialis, etc., qui existent.
13:00 [Rires]
13:02 Et donc, je peux autant prescrire du Viagra, du Cialis,
13:09 qu'un médicament pour le cœur, si la personne est malade du cœur.
13:12 - Oui, bien sûr.
13:13 - C'est le rôle de tout médecin.
13:16 Mais il est vrai que ça arrive quand même régulièrement,
13:20 de fait, enfin, que ça arrive, de fait de la moyenne d'âge.
13:24 - Oui, c'est ça, au Sénat.
13:25 - Au Sénat, qui est un peu plus élevé
13:28 que la moyenne générale.
13:30 - Oui, exactement.
13:31 - De façon plus soft, ce qu'il faut simplement dire,
13:33 c'est que c'est un milieu comme un autre.
13:35 Ils ne sont pas meilleurs ni moins bons.
13:37 Ils ne sont pas détenteurs de qualités exceptionnelles.
13:42 Et que, en fait, ce que vous dire mon client,
13:44 c'est qu'il était amené à traiter les sénateurs
13:47 comme tout patient, en tant que médecin.
13:49 - Il y a eu beaucoup de consultations,
13:51 vous nous disiez la dernière fois,
13:52 concernant des maladies...
13:54 - MST.
13:55 - Exactement.
13:56 - MST.
13:57 - Oui, bon, il y a peut-être eu un petit côté
13:58 un peu sensationnel par rapport à un engouement.
14:00 Mais je veux dire par là, c'est que plus sérieusement,
14:02 les choses, elles sont normales.
14:04 C'est un monde avec ses forces et ses faiblesses.
14:06 Pas meilleur, pas pire.
14:08 - La vidéo, elle était où, la vidéo ?
14:10 Je passe vous déjà la vidéo.
14:11 La sextape.
14:13 - Dans le bureau du sénateur,
14:16 qui était à l'époque une haute autorité du Sénat.
14:20 Et voilà, c'était...
14:22 On voyait bien quand même que c'était
14:24 dans un but de manipulation, c'était pas...
14:26 - Mais ça, elle a fait exprès de filmer le sénateur
14:30 pour s'en servir après.
14:31 - Oui, oui, c'était manifeste.
14:33 - Est-ce que M. Larcher était au courant avant votre alerte ?
14:36 - Non.
14:37 - Vous êtes sûr ?
14:38 - Certain.
14:39 - Il était au courant de leur relation ?
14:41 Il était au courant de leur relation ou pas du tout ?
14:43 - Moi, il me semble...
14:45 Je peux en parler ?
14:46 Moi, il me semble qu'il y a eu...
14:48 - Vous pouvez en parler ?
14:49 - Les deux, sans cacher pas.
14:51 - D'accord.
14:52 - Quiconque au Sénat...
14:54 - Je crois que ça se savait beaucoup.
14:56 - Quiconque au Sénat regardait...
14:58 - Qu'est-ce qu'il y a ?
14:59 - Je crois que ça se savait beaucoup.
15:00 - Voilà.
15:01 - C'est ça que je voulais dire.
15:02 - L'existence de la vidéo, j'en sais rien,
15:04 j'en suis pas sûr.
15:05 - La relation.
15:06 - Mais la relation...
15:07 - Oui, oui.
15:08 - Dans les données.
15:09 - Puis le privilège de la dame aussi.
15:10 - Voilà.
15:11 - Mais est-ce que cette dame,
15:12 ils avaient une relation ?
15:13 C'est une question qu'on se pose beaucoup.
15:15 Si vous nous rejoignez à 21h04 en direct,
15:17 cette affaire de sex tape au Sénat encore,
15:19 est-ce qu'ils étaient en relation avant
15:21 qu'elle arrive au Sénat ou il la fait venir
15:23 parce qu'ils étaient déjà ensemble avant ?
15:26 - Alors, elle, elle s'est toujours vantée
15:29 d'avoir été appuyée pour entrer.
15:33 Elle nous disait pas par qui
15:35 elle a été appuyée ou soutenue.
15:37 - D'accord.
15:38 - Mais dès le début, elle expliquait que
15:40 si elle était là, c'est parce qu'elle connaissait du monde.
15:42 - D'accord. Et donc, apparemment, voilà.
15:44 - Alors je ne sais pas si c'était...
15:46 - Alors peut-être qu'ils étaient peut-être en...
15:48 Voilà, en bail tous les deux, voilà.
15:50 Et qu'il la fait venir pour, éventuellement, conclure.
15:54 - Elle était appuyée, mais il est vrai que
15:58 au moment de son recrutement auquel j'ai participé...
16:02 C'était extrêmement bref.
16:04 Ça a duré quelques minutes alors que...
16:06 - Je sais ce que vous avez dit Laurent Trump.
16:08 Maître, vous disiez il y a un instant,
16:10 ça se passe comme partout ailleurs.
16:12 Justement, ce qui choque les Français,
16:14 c'est une sex tape dans le bureau d'un sénateur.
16:16 Voilà, et c'est ça qui choque en fait.
16:18 Voilà, c'est le seul truc.
16:20 Et ce qui est des affaires de chantage,
16:22 la sex tape au Sénat, c'est pour ça qu'on en parle autant.
16:24 C'est pour ça que les gens sont autant intéressés
16:26 par cette histoire.
16:28 Justement, est-ce que la police vous a demandé la vidéo ?
16:31 - La police, dans le cadre de l'article 40,
16:33 a sollicité tous les éléments de preuve
16:35 qui pouvaient éventuellement être collectés.
16:37 - Pour regarder la vidéo.
16:39 - Donc, il n'est pas improbable que le Conseil ait pu
16:42 produire une copie de la vidéo,
16:44 de façon à pouvoir établir les moyens nécessaires
16:47 pour que l'investigation puisse avoir lieu
16:49 dans des conditions normales.
16:51 Et je rends d'ailleurs hommage aux policiers
16:53 qui ont mené l'investigation hier,
16:55 parce qu'ils ont été d'une correction
16:57 et d'un professionnalisme total.
16:59 - Comme souvent.
17:01 Juste, docteur, dans cette vidéo,
17:03 on n'y voit pas de relation sexuelle ?
17:05 - Non.
17:07 - C'est juste le député, comme l'a décrit le canard enchaîné,
17:10 qui a le pantalon sur les chaussettes
17:12 pour se faire faire...
17:14 - C'est le canard enchaîné qui l'a écrit.
17:16 - C'était ça.
17:18 - Mais...
17:20 Quand on regarde, on voit quand même bien
17:24 qu'il y a eu quelque chose juste avant
17:27 que le sénateur se rhabille.
17:29 - Avant, comme on voit.
17:31 - Bon.
17:33 - Ce que je veux dire, c'est que le canard enchaîné
17:35 est visiblement très bien informé
17:37 et qu'il a reproduit, dans le cadre de son professionnalisme,
17:39 l'information qu'il a pu éventuellement collecter
17:41 par des moyens autres que mon client.
17:43 - C'est vous qui avez en premier la vidéo ?
17:45 - Non, la première, c'était ma collaboratrice qui l'avait.
17:49 - D'accord, oui, non, mais après...
17:51 - Après, elle me l'a envoyée, oui,
17:53 peu de temps après qu'elle l'ait faite, il me semble.
17:57 Si je me rappelle bien, ça devait être dans...
17:59 dans les jours ou les semaines qui ont suivi.
18:02 - Euh... - Oui.
18:04 - Beaucoup de gens l'ont vue, cette vidéo, au Sénat ?
18:07 - Oui, au Sénat.
18:09 - Est-ce que c'était viral, cette vidéo ?
18:11 - Je ne sais pas, je... Je ne sais pas.
18:13 - Vous en avez parlé entre vous, les uns, les autres en ont parlé ?
18:15 - Non, moi, j'étais le médecin du Sénat,
18:17 c'était... Je n'étais pas là pour ça,
18:19 mais en tout cas, pendant toute la période
18:21 où j'ai exercé là-bas, au Sénat,
18:24 personne, personne, personne ne m'a jamais parlé
18:27 de cette vidéo.
18:30 On parlait des histoires entre le sénateur,
18:34 enfin, les suspicions d'histoires entre le sénateur
18:37 et la collaboratrice,
18:39 mais il ne m'a pas semblé qu'on m'ait parlé.
18:41 - Est-ce que je peux poser une question ?
18:43 - Oui.
18:44 - Si elle se croit à ce point intouchable,
18:47 c'est parce qu'elle a des billes sur d'autres sénateurs,
18:51 peut-être même sur Gérard Larcher,
18:53 et que si la même chose sortait,
18:55 ce serait quand même problématique ?
18:57 - Alors ça, pour le coup, si tu as pas quelques réponses,
18:59 c'est mon propos n'engage que vous.
19:01 - Non, non, c'est une question, c'est pas une affaire normale.
19:03 - Non, non, mais c'est une réponse.
19:05 - Non, non, à priori, Gérard Larcher,
19:07 il est pas du tout dans l'histoire, à priori.
19:09 Gérard Larcher, en fait, juste, il a appris l'histoire,
19:11 il voulait pas que ça sorte, il s'est dit
19:13 "ça va foutre le bordel au Sénat",
19:15 mais à priori, il y aurait quand même d'autres bails
19:17 avec d'autres sénateurs.
19:19 - C'est une présomption qui est simple,
19:21 qui suffit donc de la preuve contraire éventuellement.
19:23 - À ce qui paraît, il y aurait d'autres histoires
19:26 avec d'autres sénateurs.
19:28 - Mais le problème dans ce genre de situation, c'est...
19:30 - Il paraît qu'il n'y a pas qu'une vidéo,
19:32 c'est un vidéo-club.
19:34 - C'est une vidéo-future.
19:36 - Le Sénat, c'est une plateforme.
19:38 C'est NetBeat, c'est NetBeat.
19:40 (rires)
19:42 - On est quand même à l'ère du digital, donc...
19:44 - Oui, bien sûr.
19:46 - Mais en un seul mot, mais bon,
19:48 ce que je veux dire par là, c'est que, en l'état,
19:50 pour répondre à votre question et à votre interrogation,
19:53 la seule personne qui s'est vue communiquer,
19:56 voire imposer la vidéo de façon à montrer
19:59 que cette vidéo existait et que le pouvoir de nuisance,
20:02 en tout cas, ce qui a été déclaré, pouvait s'avérer être vrai,
20:05 c'est mon client. Mon client ne l'a pas diffusée.
20:08 Mon client a alerté. - Bien sûr.
20:10 - Lorsqu'il a éventuellement demandé si les personnes
20:13 auprès desquelles il avait alerté souhaitaient voir la vidéo,
20:16 les personnes ont répondu par un négatif,
20:18 donc il n'a imposé cette vidéo à personne.
20:21 Et jusqu'à hier, les seules personnes
20:23 qui ont pu avoir accès à cette vidéo,
20:26 c'est son conseil et éventuellement...
20:28 - Vous l'avez vue, vous, la vidéo ?
20:30 - Je suis conseil, je suis obligé quand même
20:32 pour défendre une situation.
20:34 Mais ce qu'on n'a pas là, c'est que la seule communication
20:37 qui a pu être faite en dehors d'une relation avocat-client,
20:40 c'est effectivement une remise éventuelle
20:42 dans le cadre d'une investigation d'article 40.
20:45 - Gilles, vous prenez beaucoup de précautions.
20:47 - Bien sûr. - C'est normal, mais il y a
20:49 d'autres vidéos. Est-ce que votre client a ces vidéos ?
20:52 Est-ce que la police est à la recherche de ces autres vidéos ?
20:55 - C'est une présomption. Je ne sais pas s'il y a d'autres vidéos
20:58 que je crois savoir. - Non, mais une fois de plus,
21:00 dans ce dossier, je tiens à préciser une chose
21:03 très, très importante. Mon client, à aucun moment,
21:06 n'a sollicité, c'est peut-être pour répondre aux questions
21:09 qui ont pu être induites hier pendant ces 9 heures,
21:12 à aucun moment n'a pris son téléphone pour solliciter
21:15 des entretiens, solliciter d'informations.
21:18 Dès le départ, il a été sollicité par rapport à des gens
21:22 qui étaient d'ores et déjà extrêmement bien informés.
21:25 Alors après, l'information, elle circule. C'est le Sénat.
21:28 Je pense qu'il y a peut-être des gens, pour le coup,
21:31 bienveillants qui ont très mal vécu cette situation et qui ont voulu
21:34 aider mon client en alertant de façon plus ou moins anonyme
21:37 et en utilisant leur source de communication.
21:39 Mais ce qui est très clair, je le dis sans aucun embage,
21:42 mon client n'a à aucun moment, pendant la période où il était
21:46 salarié et la période maintenant post-salariale,
21:50 sollicité directement ou indirectement, consciemment ou inconsciemment,
21:54 à quelconque ordre de presse. C'est important.
21:56 – Merci. Juste, docteur, sans donner de nom,
21:59 est-ce qu'il y a d'autres choses que vous savez
22:02 et que vous a demandé la police ?
22:04 Sans donner de nom, sans donner d'histoire.
22:05 Est-ce qu'ils vous ont interrogé que sur cette histoire ou sur d'autres histoires ?
22:07 – On va poser les questions sur d'autres histoires.
22:09 – C'est ça. – Mais en général.
22:11 – Oui, en général. Sur le Sénat, c'est pas en général.
22:13 – En général, au Sénat. – Oui, oui, bien sûr.
22:16 – Oui, d'accord. Sans donner de nom, vous avez dit que vous étiez…
22:19 vous connaissiez d'autres histoires ou pas ?
22:21 – Oui, je leur ai fait part d'autres histoires
22:24 qui peuvent être aussi scandaleuses que celles dont on a parlé là.
22:27 – Mais des histoires toujours sexuelles ?
22:29 – Oui, bien sûr. – Ah, d'accord.
22:32 – Alors, pas de vidéos. – Non, bien sûr, oui.
22:35 – Mais des choses, des parties… [Rires]
22:40 – L'avocat va se faire… – Non, non, non.
22:42 – Des quoi ? Des parties ? – J'ai passé l'âge,
22:44 j'ai pas de promesses.
22:45 – Non, non, simplement, effectivement,
22:46 c'est une certaine obligation qui est un peu différente.
22:48 – Non, mais vous disiez quoi, des parties ?
22:50 – Non, mais pour moi, c'était pas un secret qu'il y avait des…
22:54 mais parce que c'est une communauté, c'est un groupe…
22:57 – C'est des Raël ou quoi, là-bas ? [Rires]
23:00 – Il y a du monde, il y a 1500 personnes, il y a…
23:04 – Donc, quand vous dites des parties, je dis que…
23:06 alors, votre avocat est très bon parce qu'il a peur à chaque fois.
23:08 [Rires]
23:09 – Il est en sueur, il est en concert de Johnny.
23:11 – Je suis pas sûr que le qualificatif soit important,
23:13 quoiqu'il peut être drôle vu les circonstances.
23:15 – Oui, mais…
23:16 – Et certainement fait volontairement.
23:18 – Non, non, je suis absolument pas en sûr ni quoi que ce soit.
23:20 Je veux simplement indiquer que mon rôle, effectivement,
23:23 c'est de faire attention, dans la mesure où je suis là pour conseiller mon client,
23:26 qu'il peut y avoir, effectivement, de la part de celui-ci,
23:30 un mélange d'émotions, de colère et de dépitement,
23:33 qui sont à la hauteur du dévouement qu'il avait pour ce Sénat.
23:36 Ce poste, il est mis…
23:37 – Alors, je vous pose une question, ce sera la dernière.
23:39 Bon, il y a des partouzes au Sénat ? [Rires]
23:41 – C'est la dernière, c'est la dernière.
23:43 – Non, non, mais il paraît que ça…
23:45 – Je ne le nierai pas.
23:48 – D'accord.
23:49 Mais vous, on vous a déjà demandé, genre, de participer ?
23:52 – Non, jamais.
23:53 – Non, mais non.
23:54 – Il est avec notre argent.
23:55 – Il faut…
23:56 – Docteur, docteur, viens, viens, viens deux secondes, t'es relou, toi !
23:59 Vas-y, t'es relou, toi !
24:01 – Mais en plus, il y a ma chère épouse qui regarde, je te dis.
24:05 – Heureusement, c'est pour vous montrer que vous n'êtes pas dans ces histoires.
24:08 – On n'est pas dans le SAV non plus.
24:10 – Non, mais c'est sûr.
24:11 Donc, non, la police vous a demandé d'autres histoires,
24:13 donc ils sont sur d'autres histoires encore ?
24:15 – Oui, oui, oui, oui.
24:16 Enfin, je ne sais pas si eux sont sur d'autres histoires,
24:18 mais ils m'ont demandé effectivement si oui ou non,
24:20 il y a des parties fines qui se font et où, etc.
24:23 – Oui, pourquoi, il y a un endroit spécial ?
24:25 [Rires]
24:28 – Regarde, regarde, regarde.
24:30 – Non, mais il n'a rien dit, là.
24:33 – Non, non, non, mais…
24:35 – C'est plus sympa en vous dire de façon très claire,
24:37 c'est qu'il n'est pas inconcevable que vu l'endroit,
24:39 la sensibilité de l'endroit, qui est quand même
24:41 la deuxième institution de France, on puisse s'interroger
24:43 sur éventuellement une possibilité de chantage ou autre
24:46 par rapport à des situations qui s'y passent, tout simplement.
24:48 – Non, mais ça bosse quand même au Sénat, ça travaille quand même.
24:50 – Pardon ?
24:51 – Dites-leur que ça va lui faire plaisir,
24:52 dites-leur que ça travaille quand même au Sénat.
24:53 – Oui, ça travaille, ça travaille beaucoup.
24:55 – Ça se fait sur les heures de pause.
24:57 – Forcément, ça se fait sur les heures de pause.
24:59 [Rires]
25:01 – Il a rendu ça 45 minutes de commentaires.
25:03 – Alors, vous savez, on dit classiquement,
25:06 et ça, je ne sais pas, vous n'y avez pas votre…
25:08 – À chaque fois, il se dit.
25:09 [Rires]
25:10 – On dit classiquement qu'il y a trois tiers de sénateurs,
25:13 un tiers qui travaille énormément, beaucoup, beaucoup,
25:17 15 heures par jour, un tiers qui travaille moyennement
25:20 et un tiers qui travaille très peu, mais qui profite
25:23 des deux tiers boissons.
25:25 Donc, ça travaille quand même.
25:26 – On a compris.
25:28 – Pour vous faire plaisir, la pause, ça dépend de l'orthographe.
25:30 – Merci, merci d'avoir été avec nous.
25:32 Est-ce que vous avez quelque chose à ajouter ?
25:34 [Rires]
25:35 – Non, non, c'est…
25:37 – Merci d'être avec nous, c'est toujours un bonheur.
25:38 – Je vous en prie.
25:39 – Merci d'avoir été avec nous.
25:40 – Je vous en prie, merci.
25:41 – On s'en est sortis.
25:42 Merci, Christophe.
25:43 [Rires]
25:44 [Musique]

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