Pour le retour du football français après les fêtes de fin d’année, ce n’est pas la Coupe de France qui était au rendez-vous, mais le Trophée des Champions. Une affiche inédite entre le champion de France, le Paris Saint-Germain, et le dernier vainqueur de la Coupe de France, Toulouse. Une rencontre reprogrammée début 2024 en raison des problèmes rencontrés par la LFP avec un promoteur thaïlandais qui a fait jaser avant même son coup d’envoi puisqu’elle se tenait… au Parc des Princes et non sur terrain neutre. Un certain avantage pour les Parisiens qui alignaient la grosse armada pour espérer soulever ce trophée pour la douzième fois de leur histoire.
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En face, le TFC faisait figure d’outsider dans un stade entièrement acquis à la cause des Rouge et Bleu, mais cette année, les Pitchounes, malgré leur piètre saison en L1, ont prouvé qu’ils savaient battre de gros bras. Liverpool peut en témoigner. Malheureusement pour eux, cette mission difficile est rapidement devenue impossible. Dès la 3e minute, après un excellent service de Vitinha, Ousmane Dembélé centrait en première intention à destination de Kang-in Lee. Seul au milieu de la défense toulousaine, le Sud-Coréen ne s’est pas privé pour donner l’avantage au PSG d’un plat du pied efficace (1-0, 3e). Ultra dominateurs, les Franciliens monopolisaient le cuir (ils avaient 86% de possession lors des 15 premières minutes) et faisaient le siège des cages de Guillaume Restes. Dembélé et Mbappé se montraient très tranchants, mais les Toulousains auraient tout de même pu créer la surprise si Suazo n’avait pas manqué sa reprise acrobatique sur un caviar d’Aron Dønnum (18e). Une sensation confirmée par Thijs Dallinga dont le tir a été magistralement repoussé sur son poteau par Gianluigi Donnarumma (37e).
À lire
PSG-TFC : la réaction à chaud de Kang-in Lee
Toulouse peut avoir des regrets
Paris dominait, accumulait les occasions (30e, 31e, 32e, 35e), mais restait clairement capable de se faire surprendre par le TFC. C’était sans compter sur le slalom payant de Mbappé pour venir planter le but du break juste avant la mi-temps (2-0, 44e). Un coup dur pour les Pitchounes, qui n’ont pas baissé les bras pour autant au retour des vestiaires. Sans un très grand Donnarumma, Cristian Casseres (48e, 90e), Thijs Dallinga (49e, 90e) et Vincent Sierro (64e) auraient pu réduire le score, voire même égaliser. Toulouse avait de quoi avoir de gros regrets tant la défense parisienne, et surtout Mila
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En face, le TFC faisait figure d’outsider dans un stade entièrement acquis à la cause des Rouge et Bleu, mais cette année, les Pitchounes, malgré leur piètre saison en L1, ont prouvé qu’ils savaient battre de gros bras. Liverpool peut en témoigner. Malheureusement pour eux, cette mission difficile est rapidement devenue impossible. Dès la 3e minute, après un excellent service de Vitinha, Ousmane Dembélé centrait en première intention à destination de Kang-in Lee. Seul au milieu de la défense toulousaine, le Sud-Coréen ne s’est pas privé pour donner l’avantage au PSG d’un plat du pied efficace (1-0, 3e). Ultra dominateurs, les Franciliens monopolisaient le cuir (ils avaient 86% de possession lors des 15 premières minutes) et faisaient le siège des cages de Guillaume Restes. Dembélé et Mbappé se montraient très tranchants, mais les Toulousains auraient tout de même pu créer la surprise si Suazo n’avait pas manqué sa reprise acrobatique sur un caviar d’Aron Dønnum (18e). Une sensation confirmée par Thijs Dallinga dont le tir a été magistralement repoussé sur son poteau par Gianluigi Donnarumma (37e).
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Toulouse peut avoir des regrets
Paris dominait, accumulait les occasions (30e, 31e, 32e, 35e), mais restait clairement capable de se faire surprendre par le TFC. C’était sans compter sur le slalom payant de Mbappé pour venir planter le but du break juste avant la mi-temps (2-0, 44e). Un coup dur pour les Pitchounes, qui n’ont pas baissé les bras pour autant au retour des vestiaires. Sans un très grand Donnarumma, Cristian Casseres (48e, 90e), Thijs Dallinga (49e, 90e) et Vincent Sierro (64e) auraient pu réduire le score, voire même égaliser. Toulouse avait de quoi avoir de gros regrets tant la défense parisienne, et surtout Mila
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00:00 Pour le retour du football français après les fêtes de fin d'année, ce n'est pas la
00:03 Coupe de France qui était au rendez-vous, mais le trophée des champions.
00:07 Une affiche n'est dite entre le champion de France, le Paris Saint-Germain, et le dernier
00:11 vainqueur de la Coupe de France, Toulouse, une rencontre reprogrammée début 2000 en
00:16 raison des problèmes rencontrés par l'LFP avec un promoteur Thaïlande, qui a fait
00:20 jaser avant même son coup d'envoi, puisqu'elle se tenait au parc d'Aize.
00:23 Prince est non sur terrain neutre, un certain avantage pour les parisiens qui alignaient
00:28 la grosse armada, pour espérer soulever ce trophée pour la douzième fois de leur espoir.
00:33 En face, le TSC faisait figure d'AOE et de dans un stade entièrement acquis à la
00:37 cause des Rouges et Bleus.
00:39 Mais cette année, les Pions, malgré leur piètre saison en L, ont prouvé qu'ils savaient
00:43 battre de gros bras.
00:44 Liverpool peut en témoigner.
00:46 Malheureusement pour eux, cette mission difficile est rapidement devenue impossible.
00:50 Dès la troisième minute, après un excellent service de Vitina, Ousmane Dembélé s'entrait
00:54 en première intention à destination de Kang In-li.
00:57 Seul au milieu de la défense toulousaine, le Sud-coréen ne s'est pas privé pour
01:01 donner l'avantage au PSG d'un plat du pied efficace 1-0, troisième.
01:05 Ultra-dominateur, les Franciliens monopolisaient le cuir.
01:09 Ils avaient 86% de possession lors des quinze premières minutes et faisaient le siège
01:13 des cages de Guillaume Restre.
01:15 Dembélé et Moape se montraient très tranchants, mais les Toulousains auraient tout de même
01:19 pu créer la surprise si Suazon n'avait pas manqué sa reprise acrobatique sur un
01:23 caviar d'aronde en homme 18e.
01:25 Une sensation confirmée par Issa Dalinga, dont le tir a été magistralement repoussé
01:29 sur son poteau par Jean-Louis Gidon Arima 37e.
01:32 Paris dominait, accumulait les occasions 30e, 31e, 32e, 35e, mais restait clairement capable
01:39 de se faire surprendre par le TFC.
01:41 C'était sans compter sur le seul homme ayant de Moape pour venir planter le but du
01:45 BGX juste avant la mi-temps de 0, 44e.
01:48 Un coup dur pour les Piyounes, qui n'ont pas baissé les bras pour autant au retour
01:52 des vestiaires.
01:53 Dans un très grand Donnarumma, Christian Kassr 48e, 90e, Issa Dalinga 49e, 90e et
02:00 Vincent Sierra au 64e auraient pu réduire le score, voire même égaliser.
02:04 Toulouse avait de quoi avoir de gros regrets tant la défense parisienne et surtout Milan
02:08 Scrignard était loin d'être impérial.
02:10 Côté parisiens, comme souvent, la différence aurait encore une fois pu se faire sur un
02:15 éclat individuel, mais le poteau de reste a repoussé un joli coup franc d'Akra Fakimi
02:20 56e.
02:21 A la fin du terme, le parc a alors donné de la voix.
02:23 Alors que Scrignard demandait le changement après un contrat avec Sierra, le public parisien
02:28 a réservé une véritable ovation à Lucas Boraldo.
02:31 Arrivé cet hiver en provenance de Sopolo, le Brésilien a dû remplacer le Slovaque
02:35 aux pieds levés, sans pouvoir s'échauffer.
02:37 Acclamé par l'entre-francilien, le nouveau défenseur du PSG a dû l'apprécier.
02:42 Face à un TFC trop brouillon pour espérer une remontada, les champions de France ont
02:46 pu dérouler tranquillement jusqu'à la fin du mat.
02:49 2-0, Paris débute bien 20-0-0 en s'offrant le douzième trophée des champions de son
02:54 histoire, nouveau record avant d'aller défier Revell en Coupe de France dans 4 jours.
02:58 Donnarumma 7,5, un début de mat très tranquille où il n'a pas grand-chose à faire si ce
03:03 n'est vite revenir dans son but sur cette tentative lointaine finalement largement hors-cadre
03:08 de Donnum.
03:09 11e.
03:10 Il n'est pas complètement non plus à son avantage sur cette sortie de Vence oiseau
03:13 18e.
03:14 L'Italien se rattrape bien en verrouillant son premier poteau en déviante, sur son poteau
03:18 ce tir à bout portant de Dallinga 37e.
03:21 Le champion d'Europe est encore très vigilant sur ce tir de Sierra au 58e et Magri 73e
03:27 et surtout dans le temps additionnel devant Dallinga 90+2 et Kassre 90+3.
03:33 Donnarumma 7,5 voir si dessus.
03:35 Hakimi 7,5 pour son dernier mat avant de partir en Coupe d'Afrique des Nations.
03:40 L'international marocain était en forme dans son couloir droit.
03:43 Particulièrement mobile, on l'a vu à l'avant comme à l'arrière en dégageant une certaine
03:47 force.
03:48 Doublement avec Dambélé et d'autres coéquipiers comme Mbappé ont d'ailleurs souvent fait
03:52 mal à la défense toulousaine.
03:53 On peut simplement lui reprocher de ne pas avoir été plus décisif comme heure de ses
03:57 centres en retrait manqué pour Mbappé 20e, 57e.
04:01 Son coup franc sur le poteau aurait mérité meilleur sort 56e.
04:04 De bons retours défensifs 30e, 90e également.