00:00 Je suis très content aujourd'hui.
00:07 Il est normal qu'au premier temps, on ait eu une grande partie sur le plan tactique et sur le plan technique.
00:15 Au second temps, on a souffert.
00:19 Mais aujourd'hui, il y a une excuse. On est revenu le jeudi à 5h30, on est arrivé à la commanderie.
00:33 La squadre a dormi à la commanderie.
00:38 Quand tu perds de l'énergie, comme avec la coupe de Brighton, c'est normal.
00:50 Je ne m'attendais pas à voir la squadre jouer comme elle l'a fait au premier temps.
01:00 Mais on a réussi à faire ce qu'on pouvait. C'est normal, on a du mal.
01:08 Je l'ai dit à la squadre qu'on devait améliorer ce point.
01:12 Mais aujourd'hui, je vous félicite, parce que ce n'était pas une partie facile.
01:17 Ce sont des parties qui sont très difficiles.
01:22 On a gagné, on a toujours gagné.
01:26 On a tout perdu, mais on a rien gagné.
01:34 Je vous félicite, et c'est normal qu'il y ait des délusions.
01:38 Pour le premier temps et pour le second temps.
01:41 Je vous félicite à toute la squadre.
01:45 Je suis très contente.
01:48 C'est normal qu'il se passe ce genre de choses.
01:53 Une première mi-temps, très grosse performance, tant du point de vue tactique que technique.
01:58 C'est normal qu'on ait souffert en deuxième mi-temps.
02:01 Je tiens à vous donner quelques chiffres.
02:04 Jeudi, on est rentrés à la commanderie, on allait se coucher à 5h30.
02:08 L'équipe a dormi au centre d'entraînement.
02:11 C'est normal quand on perd de l'énergie, surtout après un coup dur comme celui de Brighton.
02:18 C'était quelque chose auquel il fallait s'attendre.
02:22 Je ne m'attendais pas à ce qu'on joue comme on a joué la première mi-temps.
02:26 C'est normal, j'en ai parlé avec l'équipe.
02:28 Je leur ai dit que c'était là où on doit s'améliorer.
02:32 Je tiens à les féliciter, parce que c'était ce que j'appelle un match piège.
02:37 Comme je l'avais dit hier, on avait tout à perdre et rien à gagner.
02:41 C'est vrai qu'on l'a emporté.
02:43 C'était normal, c'est ce qu'il fallait faire, mais ce n'était pas si simple que ça.
02:47 Je sais qu'il y a un peu de déception pour cette différence entre première et deuxième mi-temps.
02:52 Mais je le répète, ce n'était pas un match facile.
02:56 Tristan.
02:57 Bonsoir.
02:58 Ce soir, au-delà du contenu, vous réalisez une superbe performance au classement,
03:03 en profitant des défaites de Monaco et de Nice, en attendant de voir le résultat de Lille ce soir.
03:08 Vous vous imaginez aussi bien placé avant la trêve, notamment au soir de Strasbourg,
03:13 où vous étiez assez remonté contre votre équipe ?
03:17 J'imaginais.
03:20 Si vous vous souvenez, j'étais le premier à parler devant les joueurs.
03:29 Les joueurs étaient les premiers, vous aussi.
03:32 Vous avez posé cette question plusieurs fois.
03:35 Vous étiez merveilleux, les joueurs étaient positifs.
03:39 On n'arrivait pas à faire des résultats, mais ils avaient toujours des mots de confiance
03:44 et ils pensaient que l'année de la fin allait être intéressante.
03:49 Je pense qu'ils ont aussi le mérite de croire en ce que nous proposons,
03:55 dans le travail que nous faisons.
03:58 Parce que même dans les moments difficiles, c'était une équipe qui a toujours croit en nous.
04:02 Je le voyais dans le camp et quand je parlais, je ne donnais rien à personne.
04:06 Je voyais que les gars se mettaient à disposition et croyaient fortement dans ce que nous faisions.
04:12 Pour vous, c'était bizarre.
04:15 Il y avait du mal, mais vous voyiez toujours les joueurs qui parlaient de manière positive,
04:20 qui avaient besoin de s'améliorer, qui pensaient que l'année de la fin allait être intéressante.
04:27 Nous n'avons rien fait, nous avons amélioré la table.
04:30 Maintenant, il faut pédaler et donner l'importance à la table et arriver au plus haut niveau possible.
04:38 Parce que je pense que cette équipe a les qualités.
04:42 Si j'y pensais ou pas, je voudrais vous rappeler que, avant que je parle en conférence de presse,
04:51 il y avait toujours les joueurs qui parlaient avant moi.
04:53 Souvent, vous m'avez posé la question, vous étiez surpris du fait que les joueurs soient positifs,
05:00 que même si les résultats n'arrivaient pas, ils montraient qu'il y avait de la confiance,
05:03 qu'on pouvait faire quelque chose de bien cette saison.
05:08 Je pense que c'est aussi grâce à eux qu'on a obtenu ces résultats,
05:11 du fait qu'ils y ont toujours cru, qu'ils croient en ce qu'on fait.
05:15 Je les vois sur le terrain, je suis toujours direct avec eux,
05:18 mais je vois vraiment que les joueurs sont à disposition,
05:21 se mettent là, sont prêts à faire ce que je leur demande, qu'ils croient en ce qu'on fait.
05:27 C'est vrai que pour vous, ça pouvait sembler étrange que les résultats n'arrivent pas,
05:32 mais qu'il y ait quand même cette positivité, cet esprit positif.
05:38 Au final, c'est quelque chose qu'on réussit à prouver maintenant,
05:42 même si en réalité on n'a encore rien fait.
05:44 On a juste amélioré le classement et l'objectif, évidemment,
05:47 c'est de continuer à grimper les places au classement et réussir à arriver le plus haut possible,
05:55 parce que je pense que cette équipe de l'OM est en mesure de le faire.
05:58 Baptiste.
05:59 Bonsoir coach. A propos de joueurs, qu'avez-vous pensé de la performance d'Amin Harit,
06:05 qui joue dans un rôle un petit peu différent maintenant depuis quelques matchs,
06:08 un peu à trois au milieu, dans une sorte de rôle de relayeur,
06:12 et qui a marqué un but après lequel il courait en championnat depuis plus d'un an et demi, je crois.
06:17 Il voulait être plus décisif, qu'est-ce que vous avez pensé ?
06:19 C'est une bêtise, finalement, c'est vrai.
06:23 Amin doit faire des buts, il a la qualité pour faire des buts.
06:29 Je pense qu'il est un joueur qui a de grandes qualités.
06:36 Aujourd'hui, il est devenu l'homme en plus, selon moi,
06:41 parce qu'il donnait la possibilité, avec le premier touch, il sautait toujours le premier,
06:46 il nous donnait la sécurité numérique.
06:48 Nous avons préparé un peu, vous le voyez, nous avons construit 3 + 3,
06:54 les pistons étaient en ampleur, tous les deux,
06:57 et nous avons construit 3 + 3 pour faire les quints.
07:01 Il s'est bien moussé, au second temps, il a aussi fallu un peu,
07:05 mais il a fait une partie exceptionnelle,
07:09 parce qu'il est un joueur qui, je le répète, est un driblomane,
07:13 il y a un moment où il y a un peu de dérapage,
07:16 mais il y a aussi un moment où il y a un peu de dérapage,
07:19 et il y a aussi un moment où il y a un peu de dérapage,
07:22 et il y a aussi un moment où il y a un peu de dérapage,
07:25 et il y a aussi un moment où il y a un peu de dérapage,
07:28 et il y a aussi un moment où il y a un peu de dérapage,
07:31 et il y a aussi un moment où il y a un peu de dérapage,
07:34 et il y a aussi un moment où il y a un peu de dérapage,
07:37 et il y a aussi un moment où il y a un peu de dérapage,
07:40 et il y a aussi un moment où il y a un peu de dérapage,
07:43 et il y a aussi un moment où il y a un peu de dérapage,
07:46 et il y a aussi un moment où il y a un peu de dérapage,
07:49 et il y a aussi un moment où il y a un peu de dérapage,
07:52 et il y a aussi un moment où il y a un peu de dérapage,
07:55 et il y a aussi un moment où il y a un peu de dérapage,
07:58 et il y a aussi un moment où il y a un peu de dérapage,
08:01 et il y a aussi un moment où il y a un peu de dérapage,
08:04 et il y a aussi un moment où il y a un peu de dérapage,
08:07 et il y a aussi un moment où il y a un peu de dérapage,
08:10 et il y a aussi un moment où il y a un peu de dérapage,
08:13 et il y a aussi un moment où il y a un peu de dérapage,
08:16 et il y a aussi un moment où il y a un peu de dérapage,
08:19 et il y a aussi un moment où il y a un peu de dérapage,
08:22 et il y a aussi un moment où il y a un peu de dérapage,
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