Amandine Pellissard abandonne son "traitement de substitution à l'héroïne" et opte pour un sevrage difficile.

  • 6 months ago
Les conséquences d'une jeunesse marquée par la drogue

Amandine Pellissard n'a jamais dissimulé sa consommation de drogue durant sa jeunesse. Cette mère de neuf enfants en subit encore aujourd'hui les répercussions et a décidé d'agir de manière radicale, comme elle l'a révélé sur Instagram.

Un passé douloureux et un choix de vie

Dans une entrevue diffusée en octobre 2021 sur la chaîne YouTube de Jeremstar pour son émission Baby Story, Amandine Pellissard s'est livrée comme rarement auparavant. Elle a révélé avoir sombré dans la dépression dès l'âge de 12 ans après avoir été victime d'inceste. Elle a ensuite expliqué : "J'ai été confrontée à la drogue à cette époque-là. Vers 15 ans, j'ai commencé à fréquenter de mauvaises personnes. J'ai touché à toutes sortes de substances, jusqu'à ce que je tombe enceinte de Léo". C'est à ce moment-là qu'elle a décidé d'arrêter définitivement sa consommation. "Je ne sais pas si c'était à cause des acides et de l'opium que j'avais pris, ou si c'est parce que j'étais vraiment en train de mourir, mais j'ai eu l'impression de toucher un rideau rouge qui ne s'ouvrait pas, et j'ai vu une sorte de diable passer en me disant : 'Pas maintenant Amandine, tu as ton fils à élever'. J'ai donc choisi de vivre, dès que j'ai su que j'attendais Léo", a-t-elle raconté.

Un sevrage difficile

Depuis lors, elle devait suivre un traitement de sevrage. En mars dernier, lors d'une de ses diffusions en direct, elle a expliqué pourquoi elle ne rentrait pas directement chez elle après chacun de ses accouchements. Avant la naissance de son dernier enfant, elle a expliqué comment se déroulerait le processus post-accouchement. "Comme d'habitude, je serai hospitalisée entre sept et dix jours. À cause de mon traitement de substitution, je ne peux pas être hospitalisée moins de sept jours de toute façon", a-t-elle confié. L'épouse d'Alexandre Pellissard a expliqué : "La méthadone ne provoque pas nécessairement de syndrome de sevrage, cela n'arrive que dans 20 % des cas. C'est très surveillé (...) Je ne peux pas me passer de ce traitement. Je suis physiquement dépendante. Je le prends comme un rappel des années sombres de mon adolescence. Je porte toujours le poids de cette erreur !".

Une décision radicale

Hier, jeudi 7 décembre, elle a finalement décidé de se confronter à elle-même et de mettre fin à son traitement de manière "brutale". Dans une story Instagram, elle a pris la parole pendant 10 minutes pour expliquer les raisons qui l'ont poussée à

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