Le sombre univers de Sambre (France 2) - Alix Poisson dévoile une réalité plus effroyable que jamais
- 5 か月前
#Série #Justice #Victimes #Injustice
Une mini-série captivante qui décortique une société entière
Dans la mini-série "Sambre" réalisée par Jean-Xavier de Lestrade, Alix Poisson incarne Christine, la première victime du violeur de la Sambre. Lors d'un entretien, elle nous livre ses impressions sur le projet. Pour elle, la lecture du scénario a été bouleversante. En effet, à travers cette histoire vraie, c'est toute une société qui est minutieusement analysée. La fiction est palpitante et la construction du récit permet de retranscrire trente années à travers le regard de différents personnages. Selon Alix Poisson, cette série a le potentiel pour devenir un véritable événement marquant.
Une affaire méconnue qui aurait mérité plus de médiatisation
Lorsqu'on demande à Alix Poisson si elle était au courant de cette affaire avant de travailler sur la série, sa réponse est surprenante. Elle avoue ne pas en avoir beaucoup entendu parler, ce qui l'a d'ailleurs étonnée. Malgré le déroulement du procès l'année précédente, cette affaire n'a pas suscité autant d'attention qu'elle l'aurait mérité. Cette méconnaissance de l'affaire a piqué la curiosité de l'actrice qui s'est interrogée sur les raisons de ce manque de médiatisation.
La révélation de l'injustice envers les victimes de viol
Le traitement réservé au personnage d'Alix Poisson, Christine, met en lumière le manque de considération dont ont souvent été victimes les survivantes de viol pendant plusieurs décennies. Il s'agit d'une représentation symbolique de la réalité, qui dépasse largement cette affaire spécifique. L'ouvrage "Je suis une sur deux" de la journaliste Giulia Foïs met en avant cette minimisation des conséquences du viol, considéré comme un crime sans cadavre. En conséquence, les victimes sont souvent exclues et on attend d'elles qu'elles se rétablissent rapidement. Or, la série montre avec justesse que vivre avec un traumatisme de cette nature est une réalité permanente. La série ne cherche pas à dépeindre tous les policiers comme étant malveillants, mais plutôt à souligner qu'ils ne sont que le reflet de la société dans laquelle nous vivons.
#Série #Justice #Victimes #Injustice
Une mini-série captivante qui décortique une société entière
Dans la mini-série "Sambre" réalisée par Jean-Xavier de Lestrade, Alix Poisson incarne Christine, la première victime du violeur de la Sambre. Lors d'un entretien, elle nous livre ses impressions sur le projet. Pour elle, la lecture du scénario a été bouleversante. En effet, à travers cette histoire vraie, c'est toute une société qui est minutieusement analysée. La fiction est palpitante et la construction du récit permet de retranscrire trente années à travers le regard de différents personnages. Selon Alix Poisson, cette série a le potentiel pour devenir un véritable événement marquant.
Une affaire méconnue qui aurait mérité plus de médiatisation
Lorsqu'on demande à Alix Poisson si elle était au courant de cette affaire avant de travailler sur la série, sa réponse est surprenante. Elle avoue ne pas en avoir beaucoup entendu parler, ce qui l'a d'ailleurs étonnée. Malgré le déroulement du procès l'année précédente, cette affaire n'a pas suscité autant d'attention qu'elle l'aurait mérité. Cette méconnaissance de l'affaire a piqué la curiosité de l'actrice qui s'est interrogée sur les raisons de ce manque de médiatisation.
La révélation de l'injustice envers les victimes de viol
Le traitement réservé au personnage d'Alix Poisson, Christine, met en lumière le manque de considération dont ont souvent été victimes les survivantes de viol pendant plusieurs décennies. Il s'agit d'une représentation symbolique de la réalité, qui dépasse largement cette affaire spécifique. L'ouvrage "Je suis une sur deux" de la journaliste Giulia Foïs met en avant cette minimisation des conséquences du viol, considéré comme un crime sans cadavre. En conséquence, les victimes sont souvent exclues et on attend d'elles qu'elles se rétablissent rapidement. Or, la série montre avec justesse que vivre avec un traumatisme de cette nature est une réalité permanente. La série ne cherche pas à dépeindre tous les policiers comme étant malveillants, mais plutôt à souligner qu'ils ne sont que le reflet de la société dans laquelle nous vivons.
#Série #Justice #Victimes #Injustice