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00:00 [Musique]
00:05 Allez, on parle de la rentrée maintenant, pas celle de nos enfants au collège ou au lycée,
00:09 mais celle de nos politiques, de nos institutions, au département, à la métropole.
00:13 La rentrée, c'est donc un nouveau maire à La Riche, trois nouveaux sénateurs,
00:17 et puis bientôt un nouveau président ou nouvelle présidente au conseil départemental d'Indre-et-Loire.
00:22 Pour en parler, nos spécialistes, Pierre Veillé, bonjour.
00:26 Bonjour.
00:26 Journaliste politique à La Nouvelle République,
00:28 Mathieu Djuia, bonjour.
00:30 Bonjour Aurélie.
00:31 Patron de 37° Le Mag et d'Infotour, et puis Florente est toujours avec nous.
00:34 Journaliste politique pour TV Tour Val-de-Loire.
00:37 Les trois rédactions se penchent là-dessus parce que la rentrée,
00:40 j'allais dire, elle est intense ou pas, finalement ?
00:42 Il y a quand même eu dernièrement cette élection à La Riche qui était...
00:47 pas surprise, on le savait, mais est-ce que le résultat était surprenant ?
00:50 C'est donc Monsieur Clément, Sébastien Clément,
00:53 qui a remporté le siège de maire avec 54,32% des voix.
00:57 Est-ce que c'était une surprise ou pas ?
00:59 Il gagne face à Wilfried Schwarz.
01:01 Pierre ?
01:02 Moi, je dirais oui, quand même.
01:03 C'est vrai que...
01:06 Sébastien Clément, on pouvait imaginer que cette élection,
01:09 c'était, on va dire, le galop d'essai avant 2026.
01:13 Ça permettait un petit peu de se compter, un petit peu d'exister,
01:16 puis après de repartir sur des nouvelles bases pour conquérir la mairie en 2026.
01:21 Mais là, arriver à battre Wilfried Schwarz,
01:25 quand bien même Wilfried Schwarz avait préparé son retour depuis plusieurs mois,
01:30 ça a été une surprise pour pas mal de monde, d'observateurs, mais aussi de politiques.
01:34 Ça a surpris qui, au niveau politique, par exemple ?
01:36 Y compris eux.
01:37 Ils ne s'attendaient pas à l'emporter comme ça, il faut le dire.
01:40 Enfin, vu les circonstances, on rappelle que le Conseil municipal a démissionné début juillet,
01:45 en plein cœur de l'été, ce n'est pas une période propice pour faire campagne.
01:47 Ils ont quand même réussi un rassemblement,
01:49 même s'ils avaient commencé à préparer en amont,
01:51 mais ils visaient une échéance à plus long terme.
01:54 Il a fallu remobiliser tout le monde, créer un collectif, créer un programme aussi,
01:57 enfin l'affiner, tout ça en deux mois de temps, en plein été.
01:59 – Donc ça veut dire que la défaite de Wilfried Schwarz,
02:02 elle, est un gros coup de massue en tout cas pour le candidat en question ?
02:05 – Oui, je pense que ces électeurs ne se sont pas déplacés, plutôt.
02:09 Et puis, c'est vrai que du côté de Sébastien Clément, il a refusé un débat chez nous,
02:14 en tout cas il n'avait pas trouvé la possibilité de se déplacer.
02:17 Donc moi j'avais un petit peu un doute quant à sa détermination peut-être,
02:24 à y aller, ce qu'il en veut vraiment, parce qu'un débat…
02:27 – C'est sa projection en fait.
02:28 – Voilà, c'est ça, ça ne se refuse pas.
02:30 Et finalement, il l'a emporté par un score sans ambiguïté, 55% des voix.
02:36 – Alors Wilfried Schwarz, maintenant il est dans l'opposition,
02:39 est-ce qu'il est en train de préparer les prochaines municipales ?
02:42 Il est toujours à la Métropole également, mais finalement il est où ?
02:46 Est-ce que vous avez de ses nouvelles ?
02:48 – Oui, on l'a vu à la Métropole lundi soir,
02:50 pas plus tard que lundi soir au Conseil Métropolitain.
02:52 Il est présent, il suffit de regarder ses communications sur les réseaux sociaux
02:56 avec sa page "Demain la Riche", il communique tous les jours, régulièrement,
02:59 il critique ce que fait le nouveau maire de la Riche, c'est normal, c'est de bonne bière.
03:02 – Il s'oppose.
03:03 – Voilà, il est dans son rôle de conseiller d'opposition et il prépare 2026,
03:06 parce que 2026, c'est demain.
03:08 – Il se voit un peu comme un technicien aussi à la Métropole,
03:10 quelqu'un qui pourrait consulter sur certains dossiers,
03:13 comme les transports par exemple.
03:15 Il était professionnellement récemment encore à l'université en tant qu'ingénieur d'études,
03:21 il s'est mis en retrait, là il se prépare pour devenir chef d'entreprise,
03:25 on ne sait pas encore trop dans quel domaine, mystère.
03:27 Et puis à la Riche, il prend son rôle d'opposant très à cœur,
03:32 il y a un an encore il y avait un conseil municipal, il y était.
03:34 – Il a encore des amis politiques forts à la Métropole,
03:37 qui l'a présidé quand même, il faut s'en souvenir.
03:40 Aujourd'hui il est dans l'opposition à la ville de la Riche,
03:44 il a présidé la Métropole, on est quand même sur un grand écart.
03:48 – La Métropole il n'a plus trop de soutien, Wilfred Schwartz,
03:51 je pense que ça a été un soulagement pour beaucoup d'élus métropolitains
03:54 de le voir tomber.
03:55 – C'était qui ses amis ?
03:57 – Qui restent ?
03:58 – Qui restent, allez !
03:59 – C'est une bonne question, il a été adoubé en 2020,
04:02 en effet il faut le rappeler, y compris avec la majorité de Tourangel,
04:05 aujourd'hui il est en froid avec beaucoup d'élus,
04:07 la grande majorité des élus métropolitains.
04:09 Si la ville de la Riche aujourd'hui est un peu ostracisée
04:11 au sein de l'exécutif métropolitain, c'est en grande partie lié
04:15 à sa présence encore en sous-main ou non, derrière Philippe et Férard Poussos.
04:19 Donc aujourd'hui la victoire de Sébastien Clément
04:20 a été vue un peu comme un soulagement,
04:22 et c'était un peu le sens des discours qu'il y a eu lundi dernier.
04:24 – On va parler des sénatoriales, trois nouveaux sénateurs
04:26 donc en Indre-et-Loire, Jean-Gérard Pommier, Vincent Loueu
04:29 et puis le socialiste Pierre-Alain Roiron ont été élus pour un mandat de 6 ans.
04:33 Évidemment on va parler des conséquences finalement de cette élection,
04:38 ça se passe du côté du département,
04:39 Jean-Gérard Pommier va devoir démissionner de son siège de président.
04:43 Qui va prendre la tête du conseil départemental ?
04:47 J'ai l'impression que c'est l'enquête que vous menez aujourd'hui.
04:50 Est-ce qu'aujourd'hui on a des pistes ?
04:51 Déjà, est-ce qu'il y a des candidats proclamés ?
04:53 – Il n'y a pas de candidats proclamés, il y a pas mal de noms qui circulent.
04:57 – Alors, les noms qui circulent, on a par exemple…
05:00 – On parle beaucoup de Cédric De Oliveira qui…
05:02 – Oui, le maire de Fondette.
05:03 – Maire de Fondette, voilà, qui est le président du groupe majoritaire
05:06 au département, qui beaucoup le voient comme étant "programmé"
05:11 pour prendre la suite de Jean-Gérard Pommier à la tête du département.
05:15 – Président de l'association des marins de l'Étoile,
05:16 ce qui n'est pas rien de levier de pouvoir.
05:19 – Il y a un réseau très important.
05:22 Mais en a-t-il vraiment envie ? Veut-il vraiment y aller ?
05:26 Ça c'est la question que tout le monde se pose.
05:29 Je pense que lui se la pose encore aussi.
05:32 Après, d'ailleurs il l'a même dit en début de semaine,
05:34 il a dit "bon je réfléchis, voilà…"
05:37 – C'est difficile en même temps de se positionner, non ?
05:39 Ou clairement vous pensez qu'il réfléchit, Mathieu ?
05:41 – Oui, je pense qu'il est dans la réflexion, en effet,
05:42 et aujourd'hui il est dans des postes, on va dire,
05:45 qui sont confortables pour lui, président de l'association,
05:47 comme Florent tu as dit, des maires d'Indre-et-Loire.
05:49 Donc il a déjà une stature, il a déjà un poids.
05:51 Il est maire de sa commune aussi, donc ça c'est quelque chose qui est important.
05:54 Je pense à lui, c'est un vrai Fondettois, Cédric De Oliveira.
05:56 Donc je pense que ça c'est aussi quelque chose qui le tient à cœur.
05:58 Il est en train de peser le pour et le contre aussi.
06:00 Après c'est vrai qu'il a une opportunité,
06:02 la présidence on ne sait pas derrière quand elle se rouvrira.
06:05 – En tout cas Jean-Gérard Pommier ne s'est jamais trop caché
06:09 du positionnement qu'il proposait à Cédric De Oliveira.
06:13 On sentait vraiment que c'était un peu son "poulain" ?
06:17 – En tout cas Cédric De Oliveira fait partie des alliés de longue date
06:21 de Jean-Gérard Pommier, on dit toujours qu'il y a deux droites en Touraine,
06:24 et Cédric De Oliveira fait partie de celle de Jean-Gérard Pommier.
06:28 Donc voilà, on l'a dit, il a pas mal de leviers d'influence, de réseau.
06:36 Pourquoi pas lui, ça paraît évident.
06:38 – Après il reste trois ans, trois ans et demi de mandat
06:42 pour la majorité au département.
06:44 – Est-ce que ça l'intéresse finalement ?
06:45 – Est-ce que ça l'intéresse parce qu'il sera obligé de continuer l'action
06:48 qui a déjà été impulsée.
06:50 – Il y aura quand même un vote du budget chaque année ?
06:52 – Oui mais après il reste quand même avec la majorité
06:56 qui avait été élue auparavant.
06:58 Est-ce qu'il a vraiment intérêt à y aller pour lui ?
07:01 Et puis en plus, c'est vrai que Jean-Gérard Pommier le répète maintenant
07:04 depuis des mois, voire des années, en disant "attention, certes,
07:07 on a des grosses recettes là actuellement avec les droits de mutation,
07:10 mais dans les années qui viennent, ça va être extrêmement compliqué
07:14 pour les finances du département.
07:15 Qui aura envie de prendre la tête d'une institution qui finalement à la fin…
07:19 – N'a pas les moyens de s'adopter.
07:21 – … pourrait être extrêmement contrainte financièrement parlant.
07:23 – Alors tu parlais, Pierre, de candidat potentiel, Cédric de Oliveira, Nadège Arnault ?
07:29 – Nadège Arnault, voilà, la première vice-présidente qui pourrait faire office,
07:32 à dire "justement, pour la continuité de cette action,
07:36 ça pourrait être la candidate idéale".
07:38 C'est une femme, en plus de ça, elle pourrait cocher pas mal de cases.
07:43 Elle est en plus en charge du social au département,
07:46 donc c'est quand même pas un petit morceau.
07:49 Elle connaît bien les dossiers, elle a tout à fait le profil
07:52 pour pouvoir prendre la suite. – Quand on lui pose la question ?
07:55 – Elle refuse de répondre, je crois.
07:56 – Oui, comme tous eux, d'accord.
07:58 – Oui, dis donc.
07:59 – Autre candidat, peut-être, potentiellement,
08:01 qui pourrait se positionner sur cette présidence ?
08:03 – Sur cette présidence, je ne sais pas, mais après,
08:05 Couïe d'Isabelle Raymond-Pavéro, justement, la sénatrice sortante
08:08 qui s'était rangée derrière Jean-Gérard Pommier au Sénat.
08:10 Donc, est-ce qu'elle aura une vice-présidence,
08:12 une place dans l'exécutif ou quelque chose en compensation ?
08:14 – Laurent, toi ?
08:16 – On aurait pu imaginer un deal, en fait,
08:18 où elle s'effaçait derrière Jean-Gérard Pommier au Sénat
08:20 et elle reprenait les rênes du département.
08:23 Elle n'en a pas envie, elle préfère se consacrer à la défense,
08:28 un secteur, un domaine, qu'elle a beaucoup travaillé
08:30 quand elle était sénatrice, en tant que secrétaire générale
08:33 à la Commission des Affaires étrangères.
08:35 Donc, elle veut se consacrer à ça, elle ne veut pas se sentir empêchée
08:38 à cause d'un poste à responsabilité qui serait trop prenant.
08:41 Elle veut poursuivre son travail dans la défense,
08:44 dans d'autres institutions, elle le regarde, voilà.
08:47 – Est-ce que le changement…
08:48 – Elle recherche effectivement une vice-présidence pour le canton de Chine.
08:51 – D'accord, est-ce que le changement de vue de président
08:55 du Conseil départemental, président, présidente,
08:57 fera date, on va dire, au Conseil départemental
09:02 dans la manière de mener la politique ?
09:05 Forcément, c'est une nouvelle personnalité qui va arriver.
09:08 Est-ce que ça peut changer le paysage politique en Angleterre ?
09:10 – Tout dépend justement de la personnalité qui arrivera.
09:13 On entend aussi pas mal le nom d'Olivier Lebreton
09:15 qui se positionnerait pour prendre la suite au département.
09:18 Mais avec une personnalité assez fougueuse, voire parfois aussi…
09:22 – Il aime beaucoup les médias, il les est pas communiqués.
09:25 – Clivante jusque dans son camp même.
09:28 Si quelqu'un comme Olivier Lebreton arrive à la tête du département,
09:35 c'est peut-être une nouvelle droite ou une recomposition de la droite
09:39 qui se préfigure après pour les années qui viennent.
09:41 – C'est vrai que l'historique d'Olivier Lebreton semble plus consensuel.
09:44 – En sachant qu'Olivier Lebreton gère déjà les budgets aujourd'hui,
09:46 c'est lui qui est en charge de préparer les budgets,
09:48 il se sent en tout cas les épaules pour y aller.
09:50 – Il connaît les dossiers.
09:51 – En tout cas, on saura ça à la fin du mois d'octobre,
09:54 puisqu'à l'heure où on enregistre cette émission,
09:56 il y a une session départementale demain.
09:58 Évidemment, les questions vont être posées, les réponses vont pas forcément venir.
10:00 Mais le vote finalement pourrait se faire le 24 octobre, c'est ça Mathieu ?
10:05 – C'est ça exactement, il faut attendre que Jean-Gérard Paumier démissionne.
10:07 De toute façon, il a un mois pour le faire, il a dit qu'il prendrait son temps.
10:10 Donc il démissionnera le 24 octobre.
10:12 – Donc pas d'annonce.
10:13 – C'est ça, et ça lui permet aussi pendant un mois de préparer en coulisses cette succession.
10:17 – On a rapidement quelques minutes pour parler de la rentrée de Tour Métropole.
10:20 Il y a quelques mois, Frédéric Ogis, le président et puis maire de Jouet-les-Tours,
10:23 était galvanisé par sa réélection, et puis par l'idée que la Métropole
10:29 pouvait enfin travailler avec sa nouvelle donne.
10:31 Depuis, il y a eu des insultes de sa part en l'encontre de Cédric De Oliveira,
10:35 insultes racistes.
10:36 Est-ce qu'aujourd'hui c'est encore un sujet ?
10:38 Il y avait une ambiance extrêmement tendue, des prises de partis avant l'été.
10:42 Est-ce qu'aujourd'hui c'est encore le cas ?
10:44 – Du moins, l'affaire reste quand même en toile de fond et dans la tête de pas mal de gens.
10:48 – Oui.
10:49 – La justice avance, la procureure au cours de l'été avait dit qu'elle voulait aller vite
10:54 pour traiter ce dossier.
10:55 Après, quelles vont être les suites données par le parquet suite à cette plainte ?
10:59 Est-ce que ça va être un travail d'intérêt général ?
11:02 Est-ce qu'il y aura un procès ? Est-ce qu'il y aura juste une amende ?
11:05 Il y a quand même beaucoup de choses, beaucoup de questions qui se posent.
11:08 Et je pense que beaucoup de personnes à la métropole attendent de voir un petit peu
11:12 ce qui va se passer derrière.
11:14 – Ce qui va se passer, ce que la justice va…
11:15 – Quand bien même les dossiers avancent, je veux dire,
11:17 il y a quand même cette histoire en toile de fond.
11:19 – Parmi les dossiers, en tout cas, les futurs gros projets,
11:22 il y aura éventuellement dans quelques mois cette inauguration,
11:26 c'est donc le centre de tri des déchets à Parsay-Mêlé.
11:30 Là c'est un projet, c'est du concret sur lequel on va pouvoir faire quelques articles,
11:35 j'ai envie de dire, Florent ?
11:36 – Oui, on parle d'un centre de tri des déchets, ça ne fait pas très sexy comme ça,
11:40 mais c'est énorme, ça draine les déchets, donc de trois départements,
11:46 900 000 habitants, et puis ça fait toujours quelque chose
11:49 et inaugurer en fin d'année quelque chose de positif,
11:53 et de montrer que concrètement la métropole est au travail,
11:56 rien de mieux qu'une belle inauguration avec un ruban à couper.
11:59 – Et puis on va parler de l'aéroport, on a vraiment quelques secondes,
12:01 le groupe EDI, ça conserve la gestion de l'aéroport de Tours,
12:04 mais alors la donne a changé, moins de subventions,
12:07 et un objectif plus important, l'objectif c'est de passer
12:11 de 2,5 millions de subventions et de baisser progressivement à 600 000,
12:14 et puis d'élever la fréquentation, possible, pas possible,
12:18 en tout cas il va falloir qu'EDI soit fort dans cette histoire.
12:21 – Il va falloir convaincre des compagnies de venir, déjà, et ça c'est pas gagné.
12:24 – On rappelle qu'il n'y a que Ryanair aujourd'hui.
12:27 – Aujourd'hui il n'y a que Ryanair, qui est subventionné,
12:30 bien parce qu'il est subventionné, donc bon courage,
12:33 on se demande si ce n'est pas un peu trop ambitieux ces annonces,
12:36 on verra en 2035.
12:37 – Oui c'est un défi, d'autant que EDI va devoir aussi dégager des recettes,
12:41 de nouvelles recettes, puisque les subventions vont être largement divisées,
12:45 elles vont passer de 2,5 millions à 600 000 euros à la fin du contrat en 2035,
12:50 donc il y a tous les hangars de l'armée qui sont revenus dans le giron de la métropole,
12:57 – Il va falloir pas les commercialiser.
13:00 – Les commercialiser à des entreprises de l'aéronautique,
13:03 à des écoles de pilotage, etc. pour dégager de nouvelles recettes,
13:07 ces locaux seront loués, et donc il y a un double défi qui s'annonce pour EDI,
13:12 et donc voilà, on verra ce que ça donne.
13:14 – J'aurais voulu qu'on parle de la vague verte, celle des Irlandais,
13:17 qui sont là ou pas, mais finalement on n'a pas le temps,
13:20 donc on en parlera dans une prochaine émission.
13:23 Les rugbymans eux sont là, les Irlandais pas tout à fait.
13:25 Merci beaucoup messieurs d'être venus sur le plateau pour voir cette émission.
13:29 Vous le savez, vous allez sur notre site internet, c'est TVTOUR.fr,
13:32 et puis nous on se retrouve la semaine prochaine sur ce joli plateau.
13:35 À bientôt.
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