Le destin tragique de Patrice Charlemagne : quel avenir pour leur bébé de 20 mois ?
- il y a 8 mois
L'épouse reconnaît le meurtre de son mari
Dans l'affaire du professeur poignardé à mort près de Dunkerque, un retournement de situation a eu lieu. L'épouse de la victime, Patrice Charlemagne, a finalement admis avoir commis le meurtre de son mari. Ces aveux ont été entendus par les enquêteurs après que Justine Jotham, âgée de 37 ans et mère de famille, a été placée en garde à vue en raison de plusieurs incohérences dans son récit de cette nuit tragique.
Des incohérences troublantes
Pour rappel, Justine Jotham est professeur de littérature et conseillère municipale. Elle avait alerté les forces de l'ordre après la mort de son mari, prétendant qu'il était décédé lors d'un cambriolage qui avait mal tourné, et qu'elle et son bébé de 20 mois avaient réussi à s'échapper. Cependant, la découverte de deux couteaux ensanglantés, d'une lampe torche et de gants près du domicile du couple a soulevé des doutes. Notamment, l'un des gants présentait une entaille similaire à la blessure que Justine Jotham avait sur sa main gauche, selon BFM TV. Ces éléments ont conduit à sa mise en garde à vue afin de confronter sa version des faits aux éléments de l'enquête, comme l'a précisé le parquet.
Mise en examen et détention provisoire
La garde à vue de Justine Jotham a été prolongée de 24 heures, et ce vendredi 22 septembre 2023, lors d'une conférence de presse, la procureure de Dunkerque, Charlotte Huet, a annoncé que la trentenaire avait été mise en examen pour assassinat et placée en détention provisoire. "Il y avait bel et bien une intention d'homicide qui existait avant le coup", a-t-elle déclaré. Concernant l'enfant du couple, âgé de 20 mois, il sera pris en charge dans un cadre familial plutôt que chez un tiers, afin de garantir une continuité affective. Une évaluation de ses besoins a été réalisée en collaboration avec le centre hospitalier et les services sociaux, a précisé la procureure.
Préoccupations pour l'enfant
"Ma cliente est effondrée", a déclaré l'avocate de Justine Jotham, soulignant que l'enfant était une préoccupation majeure.
Dans l'affaire du professeur poignardé à mort près de Dunkerque, un retournement de situation a eu lieu. L'épouse de la victime, Patrice Charlemagne, a finalement admis avoir commis le meurtre de son mari. Ces aveux ont été entendus par les enquêteurs après que Justine Jotham, âgée de 37 ans et mère de famille, a été placée en garde à vue en raison de plusieurs incohérences dans son récit de cette nuit tragique.
Des incohérences troublantes
Pour rappel, Justine Jotham est professeur de littérature et conseillère municipale. Elle avait alerté les forces de l'ordre après la mort de son mari, prétendant qu'il était décédé lors d'un cambriolage qui avait mal tourné, et qu'elle et son bébé de 20 mois avaient réussi à s'échapper. Cependant, la découverte de deux couteaux ensanglantés, d'une lampe torche et de gants près du domicile du couple a soulevé des doutes. Notamment, l'un des gants présentait une entaille similaire à la blessure que Justine Jotham avait sur sa main gauche, selon BFM TV. Ces éléments ont conduit à sa mise en garde à vue afin de confronter sa version des faits aux éléments de l'enquête, comme l'a précisé le parquet.
Mise en examen et détention provisoire
La garde à vue de Justine Jotham a été prolongée de 24 heures, et ce vendredi 22 septembre 2023, lors d'une conférence de presse, la procureure de Dunkerque, Charlotte Huet, a annoncé que la trentenaire avait été mise en examen pour assassinat et placée en détention provisoire. "Il y avait bel et bien une intention d'homicide qui existait avant le coup", a-t-elle déclaré. Concernant l'enfant du couple, âgé de 20 mois, il sera pris en charge dans un cadre familial plutôt que chez un tiers, afin de garantir une continuité affective. Une évaluation de ses besoins a été réalisée en collaboration avec le centre hospitalier et les services sociaux, a précisé la procureure.
Préoccupations pour l'enfant
"Ma cliente est effondrée", a déclaré l'avocate de Justine Jotham, soulignant que l'enfant était une préoccupation majeure.