Les universités à la merci des étudiants étrangers ?
  • il y a 8 mois
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Des frais de scolarité variables

Selon The Telegraph, certaines universités britanniques favorisent les étudiants étrangers en fonction des frais de scolarité. En effet, il existe une disparité significative entre les frais facturés aux étudiants nationaux et internationaux.

Un coût élevé pour les études

Étudier a un coût, et les étudiants font face à des dépenses telles que le logement, les courses et les loisirs. Cependant, tous les étudiants ne sont pas soumis aux mêmes conditions. En effet, il existe une grande disparité entre les universités des différentes villes étudiantes, ce qui se traduit souvent par une différence considérable de frais.

Des universités qui visent l'excellence

Les universités cherchent de plus en plus à offrir une formation de qualité aux étudiants. Ainsi, certaines proposent des cours innovants et attractifs pour susciter l'intérêt des étudiants. Par exemple, l'université de Gand en Belgique propose un cours analysant les œuvres de la chanteuse Taylor Swift. L'objectif est de garantir à chaque étudiant une éducation de qualité et les mêmes opportunités pour réussir.

Des accusations de favoritisme envers les étudiants étrangers

Cependant, certaines universités britanniques font face à des accusations de favoritisme envers les étudiants étrangers. Selon The Telegraph, 24 établissements prestigieux tels que Cambridge, Oxford et Durham privilégient les étudiants internationaux en raison de leurs frais de scolarité plus élevés. Cette sélection basée sur l'argent suscite un scandale en Angleterre, alors que les étudiants britanniques doivent s'acquitter de 9 250 livres par an, tandis que les étudiants étrangers paient quatre fois plus.

Une explication controversée

Les universités britanniques justifient cette différence de frais en invoquant la hausse des salaires et des coûts. Ainsi, pour faire face à ces défis, elles sont contraintes d'accueillir un nombre croissant d'étudiants étrangers. Le pays a pour objectif d'accueillir 600 000 étudiants étrangers d'ici 2030, un chiffre qui a déjà été dépassé pendant la pandémie en 2020-2021. Cette situation n'est pas nouvelle, Harvard avait été critiquée en juillet dernier pour une tradition jugée discriminatoire. L'avenir nous dira si les universités britanniques rectifieront le tir et accorderont plus de place à leurs étudiants nationaux.
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