RTG DU 26 AOUT 2023 |www.rtgguinee.info|

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Transcript
00:00 ♪ ♪ ♪
00:09 - Si vous nous rejoignez, merci de votre fidélité.
00:13 Bienvenue, mesdames et messieurs.
00:14 Voici les titres de cette édition d'information.
00:16 Le port autonome de Conakry continue d'inspirer
00:19 à travers le continent africain.
00:21 Une délégation en provenance de Pointe-Noire, au Congo,
00:23 vient de visiter les installations.
00:25 Les progrès sur place inspirent les visiteurs.
00:29 ♪ ♪ ♪
00:31 Lutte contre la tuberculose en Guinée.
00:33 Les résultats de l'enquête sur le coût du traitement
00:35 sont présentés à Conakry.
00:37 Ils montrent de nombreuses difficultés
00:39 auxquelles les patients sont confrontés.
00:41 Point à suivre dans ce journal.
00:43 Et enfin, troisième séance de la journée citoyenne et sportive.
00:46 Les membres du Conseil national de transition,
00:48 les populations et les partenaires
00:50 étaient réunis ce samedi encore à Conakry.
00:52 Une journée pour la santé
00:54 et pour la promotion des valeurs républicaines.
00:57 - Tout d'abord, les auditeurs de justice
01:00 et les élèves greffiers viennent de boucler
01:02 une séance de formation civilo-militaire
01:04 au camp Samouraïa de Kindia.
01:06 Pendant une semaine, ces futurs magistrats et greffiers
01:10 ont été formés aux exercices physiques
01:12 et à la vie en famille.
01:14 Une rencontre organisée par le ministère de la Justice
01:16 et des droits de l'homme, Thierno Yunusabar.
01:19 - Ils sont auditeurs de justice et élèves greffiers.
01:22 Ils terminent une semaine de formation
01:24 au camp de Samouraïa à Kindia.
01:26 La veille, les bénéficiaires étaient réunis
01:28 autour du feu de campagne ou encore du feu d'initiation.
01:31 Le rituel est riche en couleurs et défend des valeurs.
01:34 L'espace permet de promouvoir la cohésion
01:37 et la vie en famille.
01:39 Comme au clair de lune, le ministre de la Justice
01:42 prodigue de sages conseils aux futurs magistrats et greffiers
01:45 en vue d'une justice plus que jamais soudée.
01:49 - Il n'y a pas l'école où on enseigne le courage.
01:52 Il n'y en a pas.
01:54 Il n'y en a pas où on dit "moi, je suis le maître chargé du courage".
01:58 Il n'y a pas un maître chargé d'inculquer la cohésion.
02:04 Il n'y en a pas.
02:06 Où on a pour discipline la cohésion?
02:08 Non!
02:10 Ça s'apprend.
02:12 Ça s'inculque.
02:14 Ça se vit.
02:16 Et la meilleure démarche par rapport à ça,
02:19 c'était de vous renvoyer là où nous sommes aujourd'hui.
02:23 - Donc, on pensait au départ...
02:26 Quelqu'un me le confiait tout de suite lorsqu'on mangeait.
02:29 Et d'une seule minute, au départ, nous étions dubitatifs.
02:33 Mais au fur et à mesure qu'on avançait,
02:37 nous pouvons vous dire aujourd'hui
02:40 qu'on formons une famille et une seule famille,
02:43 c'est la famille judiciaire.
02:45 - Pendant une semaine, les futurs magistrats et greffiers
02:48 partagent tout en témoignent ce moment de repas
02:51 auquel ils ont donc appris à mieux se connaître.
02:55 - Le ministre a beaucoup plus de cohésion
02:58 entre les jeunes magistrats, entre les élèves greffiers
03:02 et l'ensemble des personnes qui sont retrouvées ici.
03:05 Il nous a parlé ici de la pratique de la profession
03:08 de la magistrature des greffiers, les conséquences
03:11 et surtout l'intégrité.
03:13 Le ministre nous a demandé à plus d'intégrité,
03:15 à plus de courage, à plus de cohésion.
03:17 - J'avoue que cette clôture-là qui s'est...
03:20 qui a été faite autour d'un feu de campagne
03:24 a été l'occasion pour le ministre de la Justice,
03:27 pour tous les membres du cabinet, ainsi que pour l'encadrement
03:30 de produire de très sages conseils
03:32 aux futurs magistrats et aux futurs greffiers.
03:35 Ça a été un moment inoubliable,
03:38 un moment historique,
03:41 un moment d'échange.
03:43 - Après une semaine de privation de tout contact,
03:46 les 100 auditeurs de justice et 100 élèves greffiers
03:49 ont été renforcés.
03:51 - Et nous restons encore au camp Samouraïa
03:54 où les forces armées renforcent leur connaissance
03:57 des notions de droit de l'homme et de humanitaire international.
04:00 Ce sont le bataillon Ganga 9 et la compagnie Nimbatroa
04:03 qui bénéficient de cette session de formation,
04:06 une session qui porte, vous allez le voir,
04:09 sur le rôle et la responsabilité des forces armées
04:12 en mission de maintien de la paix.
04:14 Adjidan Omar Kamara, correspondant de la presse militaire.
04:17 - Pour la conduite des opérations au sein de la mission internationale
04:21 de maintien de la paix, le bataillon Ganga 9
04:24 et la compagnie Nimbatroa continuent de renforcer
04:27 leurs capacités opérationnelles.
04:29 Une formation sur le droit de l'homme
04:31 et le droit international humanitaire
04:33 est organisée à leur profit.
04:35 L'initiative est du Haut commissariat au droit de l'homme
04:38 en synergie avec la hiérarchie militaire.
04:41 Elle devrait contribuer à accroître les connaissances
04:44 de ces futurs soldats onisiens en vue de leur projection
04:47 sur le théâtre des opérations.
04:49 - La mission de paix à laquelle vous pouvez être déployés
04:54 est un reflet de notre engagement commun
04:57 envers la sécurité, l'unité humaine
05:00 et la résolution pacifique de conflit.
05:03 - Au cours de cette formation de sensibilisation et d'information,
05:07 les participants ont été imprégnés
05:09 sur les notions de justice militaire,
05:11 le droit de l'homme, le droit de guerre,
05:14 de lutte contre les violences basées sur le jard
05:17 et du vieillacida, une satisfaction
05:19 pour les autorités militaires et administratives
05:22 de la région de Kindia.
05:24 - Je reste convaincu que ces acquis
05:26 vont vous aider à accomplir sans difficulté
05:29 votre prochaine mission internationale
05:32 de maintien de la paix.
05:34 - Vous, les stagiaires,
05:36 la formation que vous venez de recevoir
05:39 sera pour vous un guide,
05:42 une lumière éclairante
05:45 dans la conduite de vos futures missions
05:48 sous l'égide des Nations unies.
05:51 - Cette formation vient s'ajouter à d'autres déjà effectuées
05:54 par le bateau Nganga 9 et la compagnie Nimba 3,
05:57 un renforcement des capacités de nos contingents
06:00 avant leur déploiement sur le terrain.
06:03 - Et puis, je le disais tout à l'heure, au sommaire,
06:06 une délégation en provenance de la République du Congo
06:09 a été la première de ces journées en Guinée.
06:12 La mission s'est rendue notamment au port autonome de Conakry
06:15 où elle a visité les installations,
06:17 une occasion pour les parties guinéennes et congolaises
06:20 de parler coopération et surtout du fonctionnement de ce port
06:23 qui continue d'inspirer les autres pays de Contine-Afrique.
06:26 Abraham Christophe Conte.
06:28 - C'est une visite dite technique
06:30 que la délégation de pointe noire
06:32 du port autonome de Conakry effectue
06:34 au ministère des Transports.
06:36 Elle est essentiellement consacrée
06:38 à la réouverture de la route verte
06:40 vers le port autonome de Conakry et ses installations,
06:43 mais également voir l'espoir que cette plateforme portière
06:46 en résiste ces dernières années sur le continent.
06:49 Cela, de par sa performance
06:51 et son rendement économique pour le pays,
06:53 ce qui motive la délégation de pointe noire du Congo
06:56 pour s'inspirer du modèle guinéen.
06:58 - On est passé voir le ministre du Tutel,
07:01 qui est notre ministre des Transports,
07:03 pour lui faire signe
07:05 et aussi pour qu'il fasse cette rencontre avec eux.
07:08 C'est vraiment un honneur de voir qu'ils viennent
07:10 physiquement ici pour visiter le port
07:12 et voir qu'est-ce qui va mieux.
07:14 Et aussi, ce qu'on a appris d'eux,
07:16 on a appliqué comment on peut améliorer cela.
07:18 Donc c'est ce type d'échange qu'on devrait encourager,
07:21 côté sud-sud.
07:23 - Avec ces échanges fluctués, la Guinée
07:25 et la délégation de pointe noire du port autonome du Congo
07:28 entendent renforcer leur coopération bilatérale
07:31 dans le domaine des transports.
07:34 - Nous sommes arrivés ici
07:36 pour une sorte d'échange d'expérience.
07:39 Il y a comme une similitude
07:41 entre le port de Conakry
07:43 et celui de pointe noire.
07:45 Nous sommes très rassurés.
07:46 Nous avons visité ce port il y a quelques années.
07:48 Nous y sommes revenus, et ce qu'on a vu,
07:50 c'est un véritable développement du port
07:52 avec une extension et une modernisation.
07:54 - Cette relation qui est tissée par des représentants
07:57 des deux pays se veut pérenne.
07:59 Désormais, ces deux parties sont appelées à travailler
08:02 pour relever les défis dans le secteur des transports.
08:05 Une manière de donner une autre image
08:07 de l'Afrique unie et émergente.
08:10 - Dans l'actualité encore,
08:12 les acteurs transfrontaliers de la région de Kindia
08:15 sont sensibilisés sur les avantages
08:17 liés à la jeune économique
08:19 de libre-échange continental africain.
08:22 Première étape, la préfecture de Kindia et Furikaria.
08:25 L'idée est de former et d'informer ces acteurs
08:28 sur les enjeux liés à ce marché commun
08:30 qui compte près de 2 milliards de consommateurs.
08:33 Fadil Oudianlou.
08:34 - C'est une série de sensibilisations,
08:37 d'information et de formation des acteurs transfrontaliers
08:40 sur la zone économique
08:42 de libre-échange continental africain.
08:45 Elle mobilise les différents acteurs
08:47 intervenant dans le circuit commercial
08:50 des préfectures de Kindia et Furikaria.
08:52 Des échanges qui devraient permettre à la Guinée
08:55 de mieux se préparer avant janvier 2031.
08:58 - D'informer, d'éduquer
09:01 et d'amener les gens à changer de comportement
09:04 par rapport à la nouvelle vision du gouvernement,
09:07 qui est vraiment d'intégrer la Guinée
09:10 au niveau du commerce régional
09:12 dans le cadre de la zone
09:14 de libre-échange continental africain.
09:16 Vous savez que la Guinée a ratifié l'accord
09:20 sur la zone de libre-échange continental africain
09:23 et qui est rentrée en application
09:26 avec une effectivité d'ici 2031.
09:29 - Si on dit qu'on ne déteste pas les droits de douane,
09:33 ça, c'est le DD.
09:35 Le rubrique DD, on ne paye pas ça pour les produits de cri.
09:39 Mais avec la présentation
09:41 des documents phytosanitaires.
09:44 - Des rencontres de partage sont initiées
09:47 à Kindia et Furikaria, des préfectures stratégiques
09:50 en matière de flux commercial
09:52 avec les pays limitrophes comme la Sierra Leone et le Libéria.
09:56 - Ça élimine les barrières tarifaires et non tarifaires
09:59 entre les pays, même les pays de l'Union africaine.
10:02 - Les commerciants, les industriels, les agriculteurs,
10:05 tout le secteur productif, primaire, secondaire
10:08 et tertiaire, leurs revenus vont augmenter.
10:11 Et quand les revenus augmentent,
10:13 quand les revenus des acteurs économiques augmentent,
10:16 c'est que tu pourras mieux investir dans l'économie,
10:19 tu pourras investir sur ta famille.
10:21 Et c'est le développement économique
10:23 qui est là, qui est dans le pays.
10:25 - Pendant deux jours d'échange,
10:27 toutes les problématiques liées aux Zlekav ont été abordées.
10:30 Des engagements sont pris pour le respect des recommandations
10:34 pour que la Guinée bénéficie des retombées
10:37 de cette zone économique
10:39 avec près de 2 milliards de consommateurs.
10:42 - Vers le rénouvellement des membres
10:45 de la Chambre nationale d'agriculture de Guinée,
10:48 le scrutin aura lieu demain dimanche,
10:50 mais avant, une mission conjointe
10:52 de superviseurs séjourne à Guinea.
10:54 Les cadres se concertent pour corriger les insuffisances
10:57 en vue de favoriser la tenue
10:59 d'une élection transparente.
11:01 Faudrait qu'on en parle.
11:02 - Sur toute l'étendue du territoire national,
11:05 ce dimanche, les instances de gouvernance
11:08 de la Chambre nationale d'agriculture
11:10 seront renouvelées.
11:12 28 ans après le dernier scrutin,
11:14 les électeurs de la Chambre d'agriculture
11:17 de la région de Kindia
11:19 iront aux urnes ce dimanche
11:21 pour élire leurs représentants.
11:23 Au total, 30 candidats sont inscrits
11:26 sur la liste, dont cinq femmes.
11:29 - Dimanche 27,
11:31 se vont s'organiser les élections
11:34 de la Chambre nationale de l'agriculture.
11:37 C'est un grand jour, hein?
11:40 C'est une réforme majeure
11:42 pour le ministère de l'Agriculture et de l'Élevage
11:45 pour la mise en place de cette chambre.
11:47 Parce que depuis 1995,
11:49 il n'y a pas eu d'élection.
11:51 Donc j'ai fait ce déplacement
11:53 pour venir au niveau de la direction régionale de Kindia
11:56 pour m'assurer que toutes les dispositions sont prises
11:59 pour le bon déroulement de l'élection de dimanche,
12:03 échanger avec les directeurs
12:05 pour voir quels sont les points, les obstacles,
12:08 les difficultés rencontrées à ce stade
12:11 afin de les lever et que le scrutin se tienne très, très bien.
12:15 - Pour s'enquérir de l'état d'avancement,
12:17 des préparatifs, des superviseurs,
12:20 des ministères de l'Agriculture et de l'Élevage,
12:23 de l'Environnement et de la Pêche
12:25 sont sur le terrain.
12:27 Il y a une action conjointe qui veille sur les derniers réglages
12:30 pour un scrutin sans fausse note.
12:33 - Nous sommes venus pour superviser
12:35 les préparatifs des élections,
12:38 les élections de la Chambre nationale d'Agriculture.
12:42 Et donc notre partition, d'abord,
12:45 c'est de sensibiliser nos éléments,
12:48 les pêcheurs,
12:50 pour qu'ils viennent massivement d'abord s'enregistrer,
12:54 et ensuite s'impliquer dans le processus électoral.
12:57 Parce que quand on parle de Chambre nationale d'Agriculture,
13:00 c'est l'agriculture avec grand A.
13:02 - En tant que ministère de l'Environnement,
13:04 qui est un ministère partie prenante,
13:07 puisque nous avions 62 électeurs,
13:10 2 candidats dans ce processus,
13:12 donc je pense qu'aujourd'hui,
13:14 que nous ne pourrions que prendre toutes les dispositions idoines
13:17 avant que le processus se déroule
13:19 et que le scrutin se déroule sur l'ensemble de territoire national.
13:23 - Après ce renouvellement des instances de la Chambre d'Agriculture,
13:27 les acteurs du développement rural
13:29 auront de nouveaux porte-paroles,
13:31 de nouveaux représentants
13:33 à l'échelle préfectorale, régionale et nationale,
13:36 qui seront les interlocuteurs
13:38 des pouvoirs publics de Zérékouré à Conakry,
13:41 en passant par Kindia.
13:43 - Les choses se passent très bien ici à Kindia,
13:45 parce que je suis en contact
13:47 avec l'inspecteur régional de l'agriculture,
13:49 la directrice préfectorale de l'agriculture,
13:51 dans le cadre des préparatifs,
13:53 des élections de la Chambre d'Agriculture
13:56 et du Lévage à Kindia.
13:59 Je suis sûr que tout va se passer bien.
14:02 - Ce dimanche, de nouveaux membres de la Chambre d'Agriculture
14:05 seront connus à l'issue d'un scrutin.
14:08 Un scrutin dont l'enjeu est de poser les jalons
14:11 d'un établissement public d'interface
14:14 au service de la dynamique entrepreneuriale
14:17 des producteurs et de l'accompagnement
14:20 du développement durable des tiroirs.
14:23 - Et puis, c'est l'autre grande annonce
14:26 de cette édition d'information.
14:28 Les opérations d'orientation
14:30 des bacheliers pour la session 2023
14:32 démarrent le 4 septembre prochain.
14:34 Et comme les années précédentes,
14:36 les orientations se feront cette année encore
14:39 et uniquement sur la plateforme du Pôle.
14:41 Mais avant, la ministre de l'Enseignement supérieur
14:43 était face à la presse pour annoncer
14:45 les critères d'orientation, ainsi que les innovations
14:48 pour un bon déroulement de ces opérations.
14:51 Maud Barry.
14:53 - Cette année, ce sont 25 678 bacheliers
14:56 qui attendent d'être orientés
14:58 dans les universités guinéennes.
15:00 La bonne nouvelle, 25 915 places
15:02 sont déjà répertoriées
15:04 dans les 17 institutions d'enseignement supérieur public
15:07 et les classes préparatoires aux grandes écoles.
15:10 Face à la presse, la chef du département
15:13 de l'enseignement supérieur
15:15 revient sur les critères pour les orientations.
15:18 - Mon département s'est fortement focalisé
15:21 depuis l'avènement du CNRD
15:23 sur l'accroissement des capacités d'accueil
15:26 dans le système universitaire
15:28 à travers la construction,
15:31 la réhabilitation,
15:33 mais aussi la rénovation de nombreuses infrastructures.
15:37 Aujourd'hui, ces institutions publiques,
15:40 à travers les efforts consentis,
15:43 offrent aujourd'hui une capacité d'accueil
15:46 qui dépasse dans 5 000 étudiants.
15:48 L'orientation dans une institution publique
15:51 obéit à des critères.
15:54 Le premier critère,
15:57 le candidat doit être titulaire
16:00 d'un niveau de baccalauréat ou équivalent.
16:03 - Le profil du bachelier,
16:05 qui lui permet de voir un certain nombre de programmes,
16:08 ensuite, sa moyenne au baccalauréat,
16:11 qui est un facteur de blocus
16:13 pour certains programmes
16:15 qui nécessitent des moyens d'accès,
16:18 et ensuite, ses choix.
16:20 - Le 4 septembre prochain,
16:22 les orientations vont démarrer uniquement
16:25 sur la plateforme Google.
16:27 Au-delà de la digitalisation du processus,
16:30 s'ajoutent aussi la sécurisation et la transstabilité.
16:33 Les bacheliers doivent faire le choix
16:36 en fonction de leur profil,
16:38 la moyenne ou encore les programmes
16:40 par ordre de référence.
16:42 - Nous demandons
16:44 aux parents d'étudiants, aux étudiants,
16:47 de tout mettre en oeuvre
16:49 pour qu'à partir du 4 septembre,
16:52 les étudiants puissent commencer à faire leurs choix.
16:55 Il a été dit de procéder à 15 choix
16:58 selon la moyenne obtenue au bac.
17:01 - Le processus d'orientation prendra fin le 14 septembre prochain
17:05 et les bacheliers doivent obligatoirement
17:08 faire les 15 choix en fonction des critères
17:11 selon les autorités.
17:13 Les bacheliers, même ceux qui optent pour les universités privées,
17:17 doivent d'abord passer par la plateforme Google
17:20 avant la rentrée universitaire programmée
17:23 pour le 16 octobre prochain.
17:25 - Un mot de coopération maintenant
17:27 avec l'ambassade de la République populaire de Chine
17:30 qui vient d'accorder des bourses d'études à la Guinée.
17:33 Une cérémonie a été organisée à Conakry
17:36 pour expliquer aux bénéficiaires le monde de vie
17:39 et la culture chinoise.
17:41 - On va commencer par la qualification des cadres
17:44 qui vont ensuite participer
17:46 au développement socio-économique du pays.
17:49 Compte rendu, Mekiné Moussa Kamara et Abdel Diallo.
17:52 - 34 jeunes Guinéens bénéficient des bourses d'études
17:55 financées par le gouvernement chinois
17:58 pour la session 2023-2024.
18:00 La formation de ces jeunes nous permettra d'avoir
18:03 des cadres capables d'oeuvrer au développement de la Guinée.
18:07 - Depuis 1973, la Chine a offert à la Guinée
18:11 plus de 700 bourses d'études.
18:14 Cette année, le gouvernement chinois a octroyé
18:17 des bourses à 34 étudiants guinéens,
18:21 dont la moitié étudient actuellement en Chine
18:24 et y poursuivront leurs études.
18:26 Nous sommes heureux de constater que les étudiants guinéens
18:29 ayant étudié en Chine sont devenus les pines torsales
18:34 de diverses professions après leur retour en Guinée,
18:38 jouant un rôle actif dans le développement économique
18:43 et social du pays.
18:45 - C'est un immense honneur pour moi de répondre au nom
18:50 de mes collègues ici présents et surtout de répondre au nom
18:54 du chef de l'Etat, le président de la République,
18:57 son Excellence le colonel Mbarek Dombouia.
19:00 Monsieur l'ambassadeur, nous vous remercions, vous l'avez dit,
19:03 nos relations avec la Chine sont parmi les plus vieilles,
19:07 les plus solides et les plus stables
19:10 depuis notre indépendance.
19:12 Nous vous en remercions.
19:14 Vous intervenez ici dans un domaine crucial qui est à la fois
19:18 une priorité pour la Guinée, mais surtout une priorité
19:22 pour le chef de l'Etat.
19:24 Si vous voyez actuellement l'évolution de l'éducation
19:27 en Guinée, vous verrez que nous sommes en train
19:30 de faire des pas doubles.
19:32 - La culture de l'excellence est le principal critère
19:36 de sélection entre le Service national des bourses
19:39 extérieures et l'ambassade de Chine en Guinée.
19:42 - Tous les Guinéens peuvent être boursiers à un certain âge.
19:46 Alors il y a les critères qui sont chez nous,
19:49 qui sont qu'il faut être Guinéen, qui sont qu'il faut avoir
19:52 des diplômes, enfin, selon les niveaux où on veut adhérer,
19:56 qui sont qu'il faut avoir des papiers à règles
19:59 et qu'on soit dans la jeunesse encore,
20:02 parce qu'il faut investir pour l'avenir.
20:05 Donc tout le monde peut être boursier.
20:07 Maintenant, selon les destinations,
20:09 il y a des critères.
20:11 - Les avantages, avant tout, d'abord, c'est la création
20:14 d'un grand réseau de partenaires autour de toi,
20:17 la chance d'étudier dans les universités les plus reconnues
20:21 de façon internationale et apprendre
20:24 des nouvelles techniques d'apprentissage,
20:27 de recherche et de travail, apprendre une nouvelle culture.
20:30 - Ces impétrants sont des produits
20:33 de la diversité guinéenne.
20:35 Ils vont acquérir de nouvelles connaissances
20:38 dans divers domaines afin de contribuer
20:41 à l'édification de leur patrie, la Guinée.
20:45 - Je le disais également au sommaire,
20:47 il y a quelques mois, les autorités réalisaient
20:50 une enquête sur les coûts liés à la prise en charge
20:53 de la tuberculose en Guinée.
20:55 Les résultats de cette étude sont désormais disponibles.
20:58 Ils montrent les difficultés que les malades rencontrent
21:01 à l'intérieur du pays.
21:03 Thierno Marouf-Bach.
21:05 - C'est une enquête réalisée sur 869 patients
21:08 souffrant de différentes formes de tuberculose
21:11 sur les coûts catastrophiques que subissent les patients
21:14 dans le traitement.
21:16 L'étude a été collectée dans 44 centres de traitement
21:19 de la tuberculose. L'objectif de l'enquête est de déterminer
21:22 le niveau d'investissement financier qu'effectuent
21:25 ces patients tout au long de leur traitement
21:28 et d'évaluer l'impact de ces coûts
21:30 sur les résultats du traitement.
21:32 Il s'est enquêté piloté par Plan international
21:35 en collaboration avec le ministère de la Santé
21:38 et l'OMS est présenté aux acteurs.
21:40 - Les patients que nous traitons
21:43 ont vraiment la charge d'acheter les médicaments
21:47 avec les conditions que nous connaissons,
21:50 les conditions de chez nous.
21:52 Nous pensons que si cela est un fardeau pour eux,
21:56 ça va vraiment impacter dans l'atteinte des résultats
21:59 que nous comptons d'ici 2030.
22:01 - Le but, en fait, de cette étude,
22:03 c'est d'aider le gouvernement guénien
22:05 à disposer des informations fiables
22:08 pour prendre une décision en termes de planification,
22:11 en termes de formulation des projets.
22:14 - Pour la réalisation de cette enquête,
22:16 des équipes constituées du Programme national
22:18 de lutte contre la tuberculose,
22:20 de la société civile et des partenaires
22:23 ont réalisé des interviews,
22:25 des entretiens qui ont porté sur les dépenses
22:27 qu'effectuent ces patients dans leur traitement,
22:30 des résultats qui vont servir de brévières
22:32 au ministère de la Santé
22:34 et les partenaires de la prise en charge totale
22:36 de malades tuberculeux.
22:37 - Il y a des interventions que le programme fait actuellement,
22:41 notamment l'appui nutritionnel,
22:43 notamment l'appui aux frais de transport
22:47 pour les patients qui habitent loin,
22:49 mais cela ne suffit pas.
22:51 Cette étude va nous permettre de cibler
22:55 efficacement, de façon assez bien identifiée,
23:00 les mesures qu'il faut pour accompagner ces patients,
23:03 pour réduire ce coût.
23:05 - À l'issue de cette étude, l'analyse des résultats
23:08 révèle des points sensibles
23:10 au niveau de certaines catégories de patients.
23:12 Pour 56 % des patients atteints de la tuberculose
23:16 multirésistante, par exemple,
23:18 les dépenses qu'ils effectuent impactent leur traitement.
23:23 - Et voilà qui nous amène à parler de la fin à Conakry
23:26 des travaux de formation des professionnels de santé.
23:29 Cinq semaines de cours ont permis d'aborder des questions
23:32 liées à l'assurance qualité des services de santé.
23:35 La formation initiée par l'université Gamal Abdel Nasser
23:39 a connu la participation des acteurs
23:41 venus de plusieurs pays africains.
23:43 Marwan Kamara.
23:45 - Pour assurer la qualité des soins et services de santé,
23:48 plusieurs acteurs de santé
23:51 venus de différents pays d'Afrique
23:52 sont outillés pour le diplôme d'université
23:55 en assurance qualité des services de santé à Conakry.
23:58 Le programme est initié par la faculté de sciences
24:02 et techniques de la santé
24:04 de l'université Gamal Abdel Nasser de Conakry
24:06 à travers le Centre d'excellence d'Afrique
24:09 pour la prévention et le contrôle des maladies transmissibles.
24:12 - Cette formation a été organisée pour outiller les participants
24:17 et bien dans l'aire d'exercice de tous les jours,
24:20 dans le cadre de l'amélioration des prestations
24:22 qui sont offertes dans toutes les structures de santé,
24:25 que ce soit au niveau national ou comme vous l'avez constaté,
24:28 à travers tous ces compatriotes africains
24:31 qui ont passé ces six semaines avec nous.
24:35 - Nous sommes des Africains.
24:37 Nous sommes obligés de mutualiser nos efforts.
24:41 Mutualiser nos efforts si nous voulons sortir
24:44 de la situation que nous vivons aujourd'hui de ce développement.
24:48 Et si cet échange-là continue entre vous acteurs,
24:51 ça peut aider encore davantage à améliorer nos systèmes de santé
24:55 dans l'intérêt de nos populations.
24:58 - Cette formation va permettre aux prestataires
25:01 de maîtriser les méthodes et techniques d'assurance qualité
25:04 et aussi corriger les dysfonctionnements
25:06 du système sanitaire en Afrique.
25:08 - Cette formation est la 4e courte.
25:10 Pourquoi nous sommes satisfaits?
25:12 D'abord, nos participants viennent cette fois-ci,
25:14 c'est un cours au lieu d'être national et international.
25:16 Ils viennent du Bénin, ils viennent du Tchad,
25:18 ils viennent du Mali, mais ils viennent de la Guinée aussi.
25:20 Donc cette diversité d'origine a enrichi cette formation.
25:24 - Bien vrai que je suis dans une direction.
25:26 C'était ma première fois de participer à une rencontre
25:31 ou à une formation de qualité et j'ai beaucoup appris.
25:36 - La mise en oeuvre de cette politique va permettre aussi
25:39 d'accompagner les efforts du gouvernement
25:41 dans l'amélioration des conditions sanitaires
25:43 des populations.
25:45 - Cette mise en oeuvre sera élargie à l'université
25:47 Gamal Abdel Nasser de Conakry en fonction des besoins.
25:51 - Et pendant ce temps, la lutte contre la mortalité maternelle
25:55 et infantile se poursuit au ministère de la Santé.
25:58 Une rencontre vient même de se tenir sur la question
26:01 de la préfecture de Cancan.
26:03 Autour de la table, des sages-femmes échangent
26:05 pour limiter les dégâts liés au diabète gestationnel,
26:09 une maladie qui concerne les femmes en grossesse.
26:12 Diamo Kabba pour des explications.
26:14 - La mortalité maternelle et infantile est un phénomène
26:18 inquiétant qui n'épargne pas la région administrative de Cancan.
26:22 Parmi les causes, le diabète gestationnel.
26:25 À Nabaya, la mobilisation des acteurs est au coeur
26:28 d'une action nationale pour mettre un terme
26:31 à la récrudescence de cette maladie et améliorer les soins.
26:36 - Il y a un type de diabète qu'on appelle le diabète
26:39 gestationnel, qui est le diabète lié à la grossesse
26:43 ou survenu au cours de la grossesse,
26:46 qui n'est pas du tout connu dans notre pays.
26:49 Et ce type de diabète a des conséquences lourdes
26:52 à moins... à court, moins et long terme,
26:55 non seulement pour la femme, mais pour son bébé.
26:59 - Parmi les mesures nécessaires envisagées
27:01 par le ministère de la Santé figure la réduction
27:04 de l'incidence du diabète gestationnel.
27:07 Des sages-femmes de la savane guinéenne sont impliquées
27:10 pour sensibiliser des futurs mamans.
27:13 - La responsabilité en charge de la grossesse,
27:15 de l'accouchement et du postpartum est assurée
27:17 essentiellement par les sages-femmes,
27:19 qui sont secondaires par les obstétriciens que nous sommes.
27:21 Alors, cette association diabète et grossesse
27:23 constitue un drame, non seulement pour la mère,
27:25 mais aussi pour l'enfant à cause de nombreuses complications
27:28 que cette association engendre.
27:30 Pour les deux, la mère et le couple mère et enfant.
27:33 Alors, chez nous, souvent, le diagnostic est fait
27:35 de façon tardive. C'est à l'occasion...
27:37 Les rares cas qui sont diagnostiqués,
27:39 c'est à l'occasion d'une complication
27:41 que le diagnostic est fait. Les autres cas sont méconnus.
27:43 - Le programme de la santé est un des premiers
27:45 du programme national de lutte contre les maladies non transmissibles.
27:48 Sur le terrain, il est exécuté par la direction nationale
27:51 de l'épidémiologie et de la lutte contre la maladie.
27:54 Un soutien du ministère de la Santé,
27:56 financé par la Banque mondiale.
27:59 - Au même moment, la Banque mondiale accompagne,
28:02 justement, la Guinée dans la mise en oeuvre du projet
28:05 de renforcement des capacités des structures sanitaires,
28:08 la prise en charge gratuite de personnes en situation difficile,
28:11 est l'un des volets développés par le ministère de la Santé
28:14 et de la promotion féminine.
28:16 Une nouvelle campagne de sensibilisation est lancée
28:18 à Mandiana. Il s'agit de remobiliser les bénéficiaires
28:21 afin de booster leur fréquentation
28:23 des structures de santé.
28:25 Yamo Kaba et Marouane Kamara.
28:27 - Mandiana est l'une des zones d'intervention
28:30 du projet de renforcement des services
28:33 et capacités sanitaires.
28:35 Lancé en 2019, il est mis en place
28:38 pour faciliter la prise en charge gratuite
28:41 des indigènes.
28:43 La fréquentation des centres de santé par les bénéficiaires
28:46 entrave l'évolution de ce projet d'amélioration
28:49 de la couverture sanitaire.
28:51 Un espace communautaire est créé à Ouassoulon
28:54 pour expliquer les enjeux de ce dossier médical bénéfique
28:57 pour les plus pauvres.
28:59 La campagne de sensibilisation va toucher 18 368 détenteurs
29:03 des cartes de prise en charge gratuite.
29:06 Un mécanisme initié pour encourager les bénéficiaires
29:09 d'aller se faire soigner gratuitement
29:12 dans les structures sanitaires.
29:14 Sur le terrain, le message des acteurs va mettre fin
29:17 à l'incompréhension.
29:20 - Il y a la carte.
29:23 - Il y a la carte.
29:26 - Ils avaient la carte, mais ils ne savaient pas
29:29 l'importance de cette carte, l'utilisation de cette carte.
29:32 Donc, ils ont laissé le message à tous les prestateurs
29:35 des centres de santé du Mandiana pour disponibiliser
29:38 la liste auprès des centres des cartiers,
29:41 des centres des secteurs pour que ceci fasse
29:44 la recesse active de ces personnes qui détiennent
29:47 les cartes pour les ramener à l'hôpital pour qu'on leur passe
29:50 une utilisation rationnelle de ces cartes.
29:53 - Partenaire du gouvernement, la Banque mondiale
29:56 expose ses attentes pour rapprocher les centres
29:59 de soins des patients les plus précarisés.
30:02 La sensibilisation va durer un mois pour permettre
30:05 aux détenteurs des cartes de ce projet social
30:08 de bénéficier des soins de qualité.
30:11 - Et puis, nous sommes samedi, et comme vous le savez,
30:17 le dernier samedi de chaque mois est désormais pour le Conseil
30:20 national de transition l'occasion d'une journée citoyenne
30:23 et sportive. L'idée est de mettre le sport à profit
30:26 pour promouvoir les valeurs de la République, renforcer
30:29 la solidarité entre les conseils nationaux, les citoyens
30:32 et les partenaires. La troisième édition de la journée
30:35 se déroule donc ce samedi à Conakry. Abdeladiah Lou.
30:38 - Dans un esprit d'équipe et de partage,
30:41 les conseils nationaux et leurs invités commémorent
30:44 la troisième journée citoyenne et sportive,
30:47 une initiative mensuelle qui s'inscrit dans le cadre
30:50 de la culture et l'entretien des valeurs de la culture
30:53 et des valeurs essentielles de la République,
30:56 comme la réconciliation, le patriotisme et la loyauté.
30:59 En plus de l'élaboration et la soumission pour adoption
31:02 par référendum du projet de constitution
31:05 et la contribution à la réconciliation nationale,
31:08 cette autre activité figure parmi les missions du CNT,
31:11 telles que définies par la charte de la transition.
31:14 - Ceux qui pensent que le sport est une perte de temps,
31:17 je les donne rendez-vous à Niasse-Di.
31:20 Au service de cardiologie.
31:23 Si vous considérez que le sport est une perte de temps,
31:26 c'est à la diabétologie.
31:28 Et aujourd'hui, la fréquence de crise cardiaque
31:31 est extrêmement élevée dans notre pays.
31:34 Les hommes ne sont pas épargnés, les femmes ne sont pas épargnées.
31:38 Parce que le sport est sorti de notre culture.
31:41 Même l'éducation physique qu'on fait à l'école
31:44 est sabotée par les élèves.
31:46 Donc, en tant que représentation nationale,
31:49 les honorables conseils nationaux
31:52 ont décidé d'inscrire chaque dernier samedi du mois
31:56 une journée de sport pour tous.
31:59 - Cette activité attire des amoureux du sport
32:02 et de la cause citoyenne.
32:04 Elle a connu la présence des acteurs politiques,
32:07 administratifs, institutionnels, diplomatiques,
32:10 médiatiques, sociétés civiles,
32:13 ainsi qu'aux forces de défense et de sécurité.
32:16 - Sport is very important.
32:19 - C'est une journée de ce citoyen sportif
32:21 que ils sont vraiment contents
32:23 parce que le sport, c'est vraiment quelque chose
32:25 qui inuit, et que de voir le pays,
32:27 à 100 taxes par an,
32:29 sous le fait que c'est à cause du sport
32:31 qu'ils sont vraiment inus.
32:32 Donc, ils remercient vraiment le président
32:34 et ils supportent l'initiative pour chaque féministe
32:36 qui continue comme ça.
32:38 - L'islam n'a pas condamné le sport.
32:41 Plutôt, il l'a encouragé.
32:44 - Vous savez que l'esprit sain
32:46 se trouve généralement dans un corps sain.
32:49 - À travers des activités de lutte en honte
32:51 et des jeux de rôle comme le yoga,
32:53 le football, le basketball, le marathon,
32:56 le tennis de table et le tir à la corde,
32:59 les participants ont appuyé à mieux se connaître
33:02 et à collaborer pour l'atteinte des résultats.
33:05 - Et au nom du président de la transition,
33:08 qui crée les conditions pour que toutes ces activités
33:11 soient possibles, je le remercie.
33:14 - Je suis très heureux de pouvoir
33:16 faire le tour de la Guinée pour son leadership.
33:19 Vous l'avez vu à vélo faire le tour.
33:21 Je pense qu'on n'a pas vu ça encore dans l'histoire de la Guinée.
33:24 La jeunesse, c'est l'innovation.
33:26 La jeunesse, c'est le coeur.
33:28 J'encourage tous les Guineains et toutes les Guineaines
33:31 à organiser une journée sportive.
33:33 - Avec cette initiative,
33:35 le Conseil national de la transition
33:38 entend contribuer au renforcement des liens
33:41 et de fraternité entre les conseillers nationaux
33:44 et les autres acteurs de la vie nationale.
33:47 - On reste toujours en sport.
33:49 En plus bref, à présent,
33:51 les matchs de retour des phases préliminaires
33:54 de la Ligue des champions et de la Coupe CAF
33:57 ont démarré ce samedi.
33:59 Le sort Académie de Rattouma a fait match nul,
34:02 zéro but partout, au stade général Lansana-Comté de Nangor,
34:05 face à l'AS Douane de la Mauritanie.
34:07 Ce match nul qualifie le sort au second tour de la Coupe CAF
34:10 et le match de la Coupe CAF à Rockchot.
34:12 Le AFA FC, pour sa part, joue dimanche à 19h
34:15 en Ligue des champions au Sénégal.
34:17 Et ce sera contre Génération Foot.
34:19 Et le Milo FC de Cancan, en Coupe CAF,
34:22 sera opposé au Dreams FC du Ghana.
34:24 C'est une dépêche de...
34:26 Je brille le camara de la section sportive.
34:29 Et voilà, mesdames et messieurs,
34:31 c'est la fin de cette édition d'information.
34:33 Merci à tous de l'avoir suivie.
34:35 Je vous souhaite de passer une belle soirée
34:38 et à la prochaine.
34:40 Sous-titrage Société Radio-Canada
34:45 [Musique]