Lazslo Boloni (Metz) : « C'est loin d'être parfait des deux côtés » - Foot - Ligue 1 - Vidéo Dailymotion

L'Équipe

L'entraîneur de Metz est revenu sur le match nul de son équipe à domicile contre Marseille, lors de la deuxième journée de Ligue 1. S'il voit encore une grande marge de progression au sein de son effectif, il explique aussi que son équipe fait son « apprentissage de la Ligue 1 ».

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00:00 - Alassio, tout n'a pas été parfait ce soir, mais votre équipe a montré du tempérament.

00:04 - Non, c'est loin d'être parfait de deux côtés.

00:08 Mais si on est obligé de dire qu'Arennes a loupé l'examen totalement,

00:17 je crois que cette fois-là on a passé l'examen avec une note...

00:21 On a eu un bon moyen.

00:23 Je ne vais pas faire maintenant l'analyse, parce que je crois que c'est mieux si le mass-media est resté un peu en dehors de l'estiaire.

00:36 Mais il nous manque déjà l'apprentissage avec la première division, il nous manque aussi quelques éléments,

00:45 et j'espère qu'on ne va pas avoir encore plus de pertes dans notre équipe.

00:52 - Vous avez la sensation qu'il y a une marge de progression dans cet effectif, qu'il peut faire mieux au fur et à mesure ?

00:57 - Imaginez-vous que maintenant je vais vous répondre que non, je ne crois pas du tout dans mon équipe.

01:01 Je crois dans mon équipe et je crois dans notre travail.

01:05 On a prouvé ça l'année passée, et pourquoi pas ne pas prouver cette année aussi,

01:12 qu'on est capable de lutter comme on a fait aujourd'hui, que celui qui lutte il est récompensé.

01:17 Le toucher, psychologiquement je ne suis pas d'accord avec ça.

01:21 Parce que quand un joueur professionnel fait quelque chose comme métier,

01:26 il rentre chaque fois sur le terrain pour dépasser ce frein à main auquel il se met dans sa tête.

01:36 Et avec les joueurs de leur valeur, je crois que c'est quelque chose de quel on ne doit pas tenir compte.

01:43 Après, de parler de l'état physique, on dit d'habitude que les premiers mitraillants sont faibles, ce n'était pas le cas.

01:53 Et quand ils commencent à être difficiles pour eux, on est resté en 10.

01:58 Donc c'était bien récompensé.

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