33-Aide-sociale-l-enfance-alimente-le-réseau pédocriminel

  • l’année dernière
DÉNONCIATION DE L'ABJECTION !
HOMMAGE AUX ENFANTS MARTYRS

Compte tenu des horreurs avérées qui altèrent notre monde et, notamment, le scandale factuel abject qui se déroule dans cette société rendue aveugle par un système parfaitement bien planifié depuis des décennies, je me trouve dans la triste obligation d’apporter ici une dénonciation explosive, avec des vidéos choques à l’appui, concernant l’horrible et extrême violence que des monstres inhumains osent, sans scrupules, faire subir à de très jeunes enfants !

Vous trouverez une série de 37 vidéos que j’ai glanées sur le Nett, afin de dénoncer au public ignorant l’immensité d’un tel phénomène horrible, dont la cruauté est inimaginable !

MERCI DE PARTAGER ! En cliquant sur le lien suivant : https://odysee.com/@Fr%C3%A8re-Ely%C3%B4n:0/D%C3%89NONCIATION-DE-L%27ABJECTION-!:7 ou https://crowdbunker.com/@dENONCIATIONDELABJECTION


Merci également de votre attention et que Dieu vous garde contre tout mal.

AMOR PAX LUX VERITAS
FRÈRE ELYÔN

********************

MESSAGE IMPORTANT de l'ASSOCIATION O.C.S.C.:

AFIN DE LUTTER CONTRE LES ABOMINATIONS POLITIQUES, AVEC LEURS VILES MANIPULATIONS MENTALES PRÉMÉDITÉES, ET LES HÉRÉSIES RELIGIEUSES, IDÉOLOGIQUES OU PHILOSOPHIQUES, JE VOUS DEMANDE, AU TRÈS SAINT NOM DE DIEU, POUR ÉVITER LE GRAND CHÂTIMENT QUI ARRIVE TRÈS BIENTÔT, DE PRIER, AVEC FOI ET DANS L'UNION, L'ULTIME PRIÈRE QUE NOTRE SEIGNEUR JÉSUS-CHRIST A TRANSMISE EN 2020 À FRÈRE ELYÔN, ET DANS LE CADRE DE LA MILICE DU SACRÉ-CŒUR.

N'OUBLIEZ PAS : SEUL LE SACRÉ-CŒUR SAUVERA LA FRANCE ! AUSSI, ARRÊTEZ DE VOUS FOURVOYER DANS LES MENSONGES ODIEUX ET CRAPULEUX QUE VOUS ENTENDEZ AU QUOTIDIEN DE TOUTE PART, CAR IL EN VA, NON SEULEMENT DU SALUT DE LA FRANCE, MAIS AUSSI DE VOTRE ÂME ! SOYEZ HUMBLE DE CŒUR, ET VEUILLEZ OBÉIR À CETTE DERNIÈRE GRÂCE QUI VOUS EST OFFERTE PAR LE CHRIST, AU-TRAVERS DU DERNIER DES PROPHÈTES ! C'EST UNE QUESTION DE VIE OU DE MORT ! RÉVEILLEZ-VOUS !

LA MILICE DU SACRÉ-CŒUR
"MONTRE-MOI TA FOI SANS LES ŒUVRES, ET MOI,PAR MES ŒUVRES, JE TE MONTRERAI MA FOI."
(Épître de Saint Jacques : 2,18) :

https://odysee.com/@Frère-Elyôn:0/TRACT-MILICE-DU-SACRÉ-COEUR:2

INSTRUCTIONS DE PRIÈRE AU MILICIEN :
https://odysee.com/@Fr%C3%A8re-Ely%C3%B4n:0/INSTRUCTIONS-DE-PRI%C3%88RE-AU-MILICIEN:9?r=EPE9nS2KhBf6UoY2ByV4DHcsAPnM6sJ9

Le Site Sacré :
http://www.prophete-du-sacre-coeur.com/

LE PLAN DE DIEU est : "TOUS EN UN !"
https://odysee.com/@Lina:8/Tous-en-un:b

La pétition : DIEU NE VEUT PAS DE FLÈCHE SUR NOTRE-DAME!
https://chng.it/xJhhpR2r9k

Pour joindre Frère ELYÔN :
E-mail : frere-elyon@prophete-du-sacre-coeur.com

Chaîne Odysee :
https://odysee.com/@Frère-Elyôn:0?view=content

Pour nous écrire ou nous aider :

ŒUVRE CHRISTIQUE DU SACRÉ-CŒUR - O.C.S.C.
B.P. 20 241 - 85702 POUZAUGES CEDEX (France)

MERCI DE PARTAGER TOUTES CES INFORMATIONS.
MERCI DE PARTAGER TOUTES CES INFORMATIONS.

QUE DIEU VOUS BÉNISSE ET LA TRÈS SAINTE VIERGE MARIE VOUS PROTÈGE !

AMOR PAX LUX VERITAS

Association O.C.S.C.



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Transcript
00:00 Bonjour à tous, moi je suis Sylvie Finger, la maman de Célie, Stécie et Ritchie, donc
00:08 une première affaire de placement abusif et pédocriminalité qui a démarré dans le
00:14 Val-de-Marne dans les années 2009.
00:16 Je me suis battue pendant 10 années pour mes 3 enfants, Célie, Stécie et Ritchie.
00:23 Stécie qui est la soeur jumelle de Célie, qui a été victime de beaucoup de violences,
00:31 abus qu'elle ne peut pas témoigner aujourd'hui parce que c'est très dur de témoigner.
00:35 Elle montre son visage, elle est reconnue partout.
00:37 Elle a 18 ans, donc sa soeur a pu témoigner.
00:41 Donc moi je me bats depuis 10 ans contre ce réseau parce que pour moi déjà, l'aide
00:47 sociale à l'enfance qui fournit, qui alimente le réseau pédocriminal, c'est la ZEU.
00:52 La ZEU en volant des enfants à des parents, la ZEU qui cible des parents.
00:56 Donc les deux, il faut vraiment relier les deux.
00:59 Il n'y a pas de placement, enfin ça marche ensemble ces deux trucs là.
01:03 Il y a des disparitions d'enfants dans ce pays, mais il y a beaucoup de placements abusifs
01:10 et on se rend compte qu'il y a beaucoup de mères ou pères qui s'attaquent à des familles.
01:15 Il n'y a personne autour qui va pouvoir les défendre.
01:17 On va aller chercher des parents aussi qui ne connaissent pas leurs droits.
01:20 On va attaquer beaucoup de femmes étrangères aussi.
01:22 Moi, dans le Val-de-Marne, en banlieue, les filles sont métisses.
01:27 Je me suis rendu compte qu'on arrachait beaucoup d'enfants maghrébins, africains et métisses.
01:32 Énormément d'enfants métisses.
01:34 Donc il y a une sélection sur certaines catégories d'enfants.
01:37 On arrache aussi énormément d'enfants autistes.
01:40 Aujourd'hui, en France, on a des foyers qui craquent, qui débordent.
01:44 Moi déjà, depuis quelques années, je suis au courant, parce que dans mon quartier même,
01:49 il y avait des enfants qui étaient arrachés.
01:50 Il y a des gosses qui sont en Belgique, parce qu'il n'y a pas de place en France.
01:54 Donc en France, le réseau est étendu avec beaucoup de pays.
01:59 C'est international ce qui se passe là.
02:02 Donc moi, dans mon dossier judiciaire dans le Val-de-Marne, j'ai découvert de la tripunctuation maçonnique.
02:08 J'ai porté plainte après des agressions, des violences, le père.
02:13 Je demande une protection de 6 mois pour mes enfants parce qu'ils étaient en danger,
02:16 le père était dans le quartier.
02:18 Ils avaient subi des agressions de la part de la compagne du père.
02:22 J'ai porté plainte.
02:23 La juge n'a même pas écouté les enfants.
02:26 Et elle a renvoyé les enfants chez le père et la compagne maltraitante.
02:29 Moi, j'ai été écartée.
02:31 À partir du moment où j'ai eu des visites médiatisées au foyer, pas dans un point ou en contre,
02:36 et j'ai commencé à réaliser ce qui se passait autour de moi,
02:39 et ce qui se passait surtout sur les enfants.
02:41 Donc j'ai remarqué qu'il y avait une petite catégorie d'enfants qui étaient mis devant,
02:45 qui étaient toujours bien propres, bien nus.
02:47 Et puis derrière ça, dans ce même foyer, il y avait des enfants en très mauvais état.
02:53 Alors je suis rentrée dans ce foyer et dans d'autres à plusieurs périodes, pendant plusieurs semaines,
02:58 et j'ai vu de mes yeux la dégradation de ces enfants qui sont maltraités, qui sont abusés sexuellement.
03:04 C'est un truc fulgurant.
03:06 Je suis traumatisée. Jamais ça sortira de ma tête.
03:09 Et j'ai vu mes gosses aussi à moi, et ma fille Stécie, et mon fils Richie, craqués,
03:15 comme il a dit le papa tout à l'heure, des enfants qui deviennent fous, sans repères,
03:19 des enfants qui développent des gros troubles de comportement,
03:22 des enfants qui ont des problèmes de santé, de dents, de hanches, tout ça dû aux abus.
03:29 Donc moi, je suis une maman, j'ai fait des petites enquêtes,
03:32 et j'ai pas hésité à faire des planques dans le pays.
03:34 J'ai des preuves. Et j'ai commencé à faire du bruit dans le Val-de-Mont, toute seule.
03:38 J'ai commencé devant des tribunaux. J'ai fait des occupations seules, avec un mégaphone.
03:46 J'avais des audiences, je faisais des appels à rassemblements.
03:50 Ensuite, je porte plainte pour...
03:52 En 2007, je dépose plainte pour les violences qu'a subies ma fille.
03:56 Des agressions, des mutilations.
04:00 Jusqu'aujourd'hui, la plainte, elle est pas traitée.
04:02 Donc ça fait plus de 10 ans que je dénonce toutes les violences sexuelles sur les autres enfants.
04:06 Les plaintes, elles sont jetées à la poubelle.
04:08 Enfin non. On les barre la route, avec les 3 points.
04:12 Parce que dans leur triponctuation maçonnique, dans leurs petits symboles qu'ils mettent dans certains dossiers judiciaires,
04:17 nous, on sait ce que ça veut dire, la triponctuation.
04:20 Et on sait que quand, dans un dossier, on vous met 3 étoiles en ligne,
04:24 ça ne veut dire "tu ne passes plus".
04:26 Ton dossier peut plus passer.
04:28 Donc quelle que soit la personne, que ce soit la police, des médecins, un foyer, un juge qui a les documents en main,
04:36 quand vous avez des étoiles dans le dossier, le dossier, il est verrouillé.
04:41 Donc je fais partie de cette catégorie de parents qui sont ciblés pour alimenter le réseau.
04:47 Donc on fait des enfants pour leur réseau.
04:51 Mais moi, quand j'étais plus jeune, je rêvais d'avoir des enfants et de fonder une famille.
04:56 Pas pour qu'ils finissent violés.
04:58 Pas pour qu'on les amène dans des rites et qu'on les sacrifie.
05:01 Pas pour qu'on les mutile.
05:03 Et bien dans mon dossier judiciaire, depuis plus de 10 ans,
05:08 je suis déclarée comme une maman qui a des graves troubles psychiatriques.
05:11 Et qui ne peut pas s'en occuper.
05:15 Donc j'ai dû fuir pendant des années, je n'ai jamais été tranquille.
05:18 Toutes mes demandes de logement dans chaque département où je vais,
05:21 elles sont systématiquement jetées à la poubelle.
05:24 Donc on voit bien que tous les organismes sont ensemble.
05:29 Le médical, le psychiatrique, le judiciaire, les CMP, enfin il y avait tout ça autour de moi.
05:36 J'ai pris un filtre un jour et j'ai commencé à faire un petit schéma
05:39 pour voir un peu ce que j'avais autour de moi.
05:41 Et à partir de ça, avec des gens avec qui j'ai travaillé, on a tiré des schémas.
05:44 Et aujourd'hui c'est exactement ce qui se passe.
05:48 Nous sommes ciblés.
05:50 Donc ce que je vis moi, tout le monde peut le vivre demain.
05:53 Moi, dans deux ans j'ai 50 piges.
05:55 Mes grands-parents ils se sont battus, ils ont fait la guerre.
05:59 On est en guerre.
06:01 C'est une guerre silencieuse, elle avance tout doucement, elle ne fait pas de bruit.
06:04 Mais on fait autant de dégâts que si on était bombardés.
06:09 Elle fait autant de morts.
06:13 C'est tous les jours des enfants qui sont enlevés.
06:16 Pour des motifs futiles, pour des suspicions.
06:18 Ils n'ouvriront jamais d'enquête.
06:20 Moi j'ai beaucoup d'amis qui se sont fait enlever leurs enfants dans le dossier.
06:24 Il y a des suspicions d'abus sexuels.
06:26 On va impliquer le père.
06:29 Ils vont toujours utiliser le parent défaillant contre le parent protecteur.
06:34 Les magistrats dans beaucoup de dossiers vont systématiquement confier l'enfant à celui qui maltraite l'enfant ou qui abuse l'enfant.
06:40 Le parent qui veut protéger son enfant, il est écarté.
06:46 Deux pas dans mon parcours.
06:48 Collusion de fonctionnaires, de département à département.
06:51 Un tribunal, puis deux, puis trois, puis quatre.
06:54 Et chaque fois le même schéma qui se reproduit.
06:56 Et les mêmes personnes, les mêmes institutions et les mêmes services autour de nous.
07:01 Ils n'ont qu'à s'appeler, ils s'envoient un message.
07:03 Elle, elle passe, elle est dans ta région, barrez-lui la route.
07:06 J'ai fui à Bordeaux en septembre 2017 pour fuir de nouveau un enlèvement de mon bébé.
07:15 Lui, quand ils me l'ont volé, il avait trois ans et demi à Bordeaux en crèche.
07:19 Il n'était pas maltraité.
07:20 Il était bien soigné, il était heureux.
07:22 Il était suivi par des médecins.
07:24 Il avait un problème d'hyperactivité.
07:26 Et bien, ils ont écarté tous les bons médecins.
07:29 Le magistrat, il avait tout ça dans les mains.
07:31 Mais il n'a pas hésité à me faire arracher mon enfant à la crèche et à le placer au secret.
07:37 Donc l'IRA, il a été placé au secret pendant...
07:40 Là, ils ont soi-disant levé le secret il y a quatre mois.
07:44 Je sais dans quel foyer est mon enfant.
07:46 Mais je n'ai toujours pas d'interlocuteur dans le foyer.
07:49 Donc un placement secret, tu ne pourras pas parler à l'éducateur qui suit ton enfant.
07:54 Tu ne pourras pas savoir où il est ton enfant.
07:56 S'il est malade, on ne te prévient pas.
07:58 Si on l'opère, on ne te demande pas ton autorisation.
08:00 S'il subit des abus, on ne t'appelle pas.
08:03 S'il est scolarisé ou pas, tu n'as pas besoin de savoir, on ne t'envoie pas les bilans scolaires.
08:07 Ça veut dire qu'aujourd'hui, on te prend ton enfant, tu fermes ta gueule.
08:11 Tu vas une fois par mois, 60 minutes voir ton enfant.
08:14 Comme j'ai dit au juge, 60 minutes par mois, c'est deux heures par an.
08:19 Où est ma place ?
08:20 Deux heures par an pour recréer un lien avec mon enfant.
08:24 Donc en fait, il se substitue complètement à ton rôle de parent.
08:29 Mais le pire, c'est ce qu'ont subi mes autres enfants dans le premier placement dans Val-de-Marne.
08:35 Bien l'Iran le subit aussi aujourd'hui.
08:37 Puisque j'ai affaire aux mêmes personnes.
08:39 On a juste changé de ville et de département.
08:41 Donc là, c'est le réseau de Bordeaux.
08:44 Et à Bordeaux, je rencontre les mêmes problèmes qu'à Créteil.
08:47 On me barre la route, je dépose des plaintes, j'alerte.
08:51 J'en suis à je ne sais pas combien de plaintes.
08:53 Aucune plainte de traité.
08:55 Deux expertises psychiatriques.
08:57 Là, le dernier juge qui est sur ce dossier,
09:00 qui a placé les royaumes secrets pendant deux ans
09:02 et qui a coupé tous les liens avec sa famille
09:04 et qui ne leur donne pas des droits de visite,
09:06 il a levé le secret.
09:08 Mais moi, je leur ai demandé,
09:11 qu'est-ce que vous avez fait avec mon fils là depuis 30 mois ?
09:14 Et bien, en 30 mois, il a été déplacé de foyer plusieurs fois.
09:18 Cinquième famille d'accueil.
09:20 Vous imaginez un enfant de 3 ans et demi ?
09:22 Est-ce que c'est sécure pour lui ?
09:24 Quand on sait qu'aujourd'hui, dans les foyers et les familles d'accueil,
09:26 il y a beaucoup d'abus de maltraitance.
09:28 Stécie, sa soeur, il y a des plaintes pour maltraitance en famille d'accueil.
09:32 Les juges vous mettent dans le jugement que c'est un cours d'instruction.
09:36 En fait, il n'y aura jamais d'instruction.
09:38 Stécie, elle n'a jamais été convoquée,
09:40 elle n'a jamais témoigné.
09:42 C'est pour ça que j'ai pris toutes les plaintes, toutes les preuves que j'ai apportées.
09:45 Aujourd'hui, c'est Liroy.
09:47 Liroy, en 30 mois, j'ai pu le revoir une fois.
09:50 En 2019, avril.
09:52 Le premier juge qui a placé l'enfant, il m'avait mis des droits de visite une fois par semaine.
09:58 J'ai trop dénoncé. J'ai fait des tracts.
10:00 J'avais une audience en juin.
10:02 Et bien, la veille, deux jours avant, pardon,
10:05 ils m'ont placé en garde à vue 35 heures.
10:08 J'avais un état de santé préoccupant.
10:10 J'avais un cancer. Je me bats.
10:12 Ils m'ont mis en garde à vue 35 heures.
10:15 Ensuite, ils m'ont gardé en garde à vue 35 heures.
10:19 J'étais en mauvais état. Ils m'ont bien fatiguée.
10:21 J'avais une audience de prévu le 13 juin.
10:24 Le 14 juin, pardon.
10:26 Et bien, ils m'ont foutu en garde à vue.
10:28 Ils m'ont relâché le soir très tard.
10:30 Et ils m'ont avancé mon audience d'une journée.
10:32 Pour que je me retrouve toute seule sans soutien.
10:35 En plus, l'avocat, qui devait venir me défendre,
10:38 dans le réseau aussi, donc elle m'a laissé tomber.
10:41 Il faut savoir que nous qui nous battons depuis des années,
10:44 il y a des gens qui disent "oui, mais tu n'acceptes pas l'aide".
10:48 Je me suis fait énormément approcher par des infiltrés.
10:52 Alors les infiltrés, ce sont des agents.
10:54 Ce sont des fausses victimes.
10:56 Ce sont des fausses associations qui vous approchent
10:58 pour voir votre dossier, qui vous demandent des pièces.
11:01 Et arrivé là, ils vont vous plonger votre dossier dans le mur.
11:04 Un an, deux ans, trois ans, dix ans,
11:07 j'ai regardé mes enfants se faire démolir.
11:09 Dix ans, j'ai alerté.
11:11 Dix ans, j'ai été censuré, salé, discrédité.
11:14 Des rumeurs. Je serai folle, je serai sale.
11:17 Je serai escroc, je rarnaquerai des gens.
11:21 J'entends tout et n'importe quoi sur moi.
11:24 En tout cas, je suis là depuis onze ans,
11:26 et je me bats pour mes gosses.
11:28 Aujourd'hui, je me bats pour lui.
11:30 Mais je n'ai pas pu les sauver, eux, les plus grands.
11:33 Lui, je ne sais pas si je pourrais le sauver.
11:35 Je suis là pour ça. Mais je suis aussi là, et surtout,
11:38 pour sauver tous ceux qui arrivent derrière nous.
11:41 Nous, qui avons 50, 60 ans.
11:44 Vous, la jeunesse, là.
11:46 Tous ceux qui veulent avoir des enfants.
11:47 Tous les jeunes couples, les jeunes parents.
11:49 Il faut qu'on vous explique ce qui se passe
11:51 quand vous allez voir des assistantes sociales,
11:53 que vous acceptez de l'aide.
11:55 Il faut qu'on vous explique.
11:57 Là où vous mettez les pieds.
11:59 Il faut qu'on vous dise qu'il faut faire attention.
12:01 Là et là, on peut vous arracher vos enfants pour n'importe quoi.
12:04 Il faut que vous soyez prévenus.
12:07 Parce que la seule façon de les combattre aujourd'hui,
12:10 c'est de s'instruire et de chercher à comprendre
12:13 ce que vous avez autour de vous.
12:15 Et ensuite, de rallier tous les forts,
12:17 tous ceux qui n'ont pas peur.
12:19 Et c'est ensemble, nous allons pouvoir faire craquer,
12:21 descendre tout ce réseau de merde.
12:23 Donc, foyer, placement, pédocriminalité,
12:28 tout ça, c'est la même chose.
12:30 C'est le même réseau, c'est les mêmes personnes
12:32 qui font tout ça.
12:33 Nos systèmes, nos ligarchies en place,
12:35 nos formations, on est dans tout ça.
12:38 Alors j'ai un site qui s'appelle
12:42 miroiadisparie.wordpress.com
12:44 où vous trouverez toutes les informations
12:46 et toutes les pièces judiciaires.
12:48 Parce que la justice le sait,
12:50 je le dis chaque fois que je dépose des plaintes,
12:53 tout est public.
12:55 L'Etat, le peuple, doit savoir ce qui se passe.
12:58 La télé censure, les médias censurent.
13:01 Ils sont avec eux, donc on est obligés
13:03 de passer par des médias alternatifs,
13:05 des médias de la résistance.
13:07 On a besoin de vous, vous êtes capital.
13:09 Pour réinformer,
13:11 pour montrer tout ce qui est caché.
13:13 Parce que devant, on vous dresse un joli tableau.
13:16 Mais quand vous allez derrière,
13:19 c'est l'arbre qui cache la forêt.
13:21 Et c'est d'une ampleur.
13:23 Et moins on en parlera, et plus on censura les dossiers,
13:25 et plus on va pouvoir continuer
13:27 leur petit trafic tranquille.
13:30 Donc plus on en parle,
13:32 c'est pas des tabous ça, il faut arrêter.
13:34 On est plus au Moyen-Âge.
13:36 Plus on va en parler de la pédophilie,
13:38 et plus on aura de chance de protéger nos enfants.
13:41 Parce que tout le monde sera au courant.
13:44 Donc à un moment, ils ne pourraient plus les enlever les enfants.
13:47 Parce que moi, j'ai rêvé beaucoup de fois
13:50 de prendre les armes.
13:52 Vous imaginez bien, pourquoi lui ils l'ont placé au secret ?
13:54 Parce que mes autres enfants n'étaient pas en placement secret.
13:57 Et j'allais autour du foyer, et j'ai enquêté.
14:00 Et j'ai compris vite ce qui se passait.
14:02 Donc certains soirs, autour de certains foyers, dans notre pays,
14:06 et bien il y a des gens, il y a du trafic,
14:09 il y a des gens qui entrent dans les foyers.
14:11 Et ils font des petites soirées avec nos enfants,
14:13 ils viennent chercher des enfants.
14:15 Et puis ils les amènent, et puis ils s'amusent avec les gamins.
14:17 Vous vous rendez compte un peu ?
14:19 Protection de l'enfance.
14:21 - À la prison !
14:23 Donc c'est tous ces gens qu'il faut foutre en col.
14:26 Tous ces faux professionnels qui font des faux rapports.
14:29 Tous ces juges qui bafouent, qui violent leur serment.
14:33 Donc on a un nouveau ministre de la justice.
14:40 J'espère qu'il ne va pas faire comme Taubira,
14:42 qu'il ne va pas faire comme toutes les autres ministres de la justice qu'on a eu.
14:46 Mais bon, je ne vais pas trop décevoir mon pote,
14:49 parce que quand je vois les dégâts qu'il a fait sur l'affaire Dutraux,
14:52 je n'ai pas trop confiance en lui.
14:56 Mais je lui ai encore écrit récemment, je lui ai dit,
15:00 il va vraiment falloir que tu t'occupes du problème, M. Dupond-Moretti.
15:04 Parce que si tu ne t'en occupes pas, nous, ça appartient au peuple.
15:07 Si les forces de l'ordre ne veulent pas nous protéger,
15:10 parce que vous avez des ordres et que vous vous chiez dessus les mecs,
15:13 eh bien nous, on prendra les armes et on les protégera, nos enfants.
15:17 Parce que nos grands-parents, ils n'auraient pas baissé la tête.
15:20 Vous ne seriez pas rentrés dans nos maisons avec des services sociaux et des flics.
15:24 Ils nous auraient diffusé un pompe et ils vous auraient chassés vite.
15:28 Mais aujourd'hui, on est patient.
15:30 Ça ne pourra pas se régler comme ça, quoique.
15:34 Si vraiment on est au désespoir, il faut qu'on les protègera, les enfants.
15:39 On ira les chercher, on les mettra dans les caves.
15:42 Mais il faut arrêter cette machine à tuer, ce n'est pas possible.
15:45 Vous êtes d'accord ?
15:47 Donc il faut de plus en plus de monde dans les rassemblements.
15:50 Je suis content de voir autant de monde,
15:52 mais depuis 11 ans, je n'ai jamais vu autant de monde dans un rassemblement.
15:56 Ça veut dire que ça bouge.
15:59 Et oui, la peur va changer de camp.
16:02 Et oui, le combat, il est long, mais on va y arriver.
16:05 Parce qu'on a atteint le pire.
16:09 Vous pouviez toucher à tout, à nos portefeuilles, à nos emplois, à nos retraites,
16:14 bien que ça met des gens dans la merde.
16:16 Mais les enfants, c'est interdit.
16:18 Et là, il faut partir en guerre.
16:21 Et on y est, sinon vous ne serez pas là tous.
16:24 Donc merci beaucoup.
16:28 Vous me trouvez sur Facebook, j'y passe de temps en temps pour publier.
16:33 Sylvie Christine Finger.
16:35 J'ai aussi plusieurs chaînes par dessus YouTube.
16:39 La chaîne "Soldier Routes Conda",
16:42 la chaîne "Rasta Denver Lira 971",
16:46 et puis il y a un blog aussi sur Facebook,
16:49 qui s'appelle "Libérer l'Hiroï".
16:51 Et j'ai aussi un mail contact.
16:54 Donc soldier.conda@gmail.com
16:58 ou routes@gmail.com
17:02 Merci beaucoup à tous d'être là.
17:05 Et une grande force à tous les parents et toutes les victimes qui ont eu le courage de venir aujourd'hui.
17:09 On est tous dans la même merde.
17:12 (...)

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