Indycar Verizon series - r15 - Gateway - HD1080p - 26 août 2018 - Français p2

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Indycar Verizon series - r15 - Gateway - HD1080p - 26 août 2018 - Français p2

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00:00 Alors non seulement il y a quand même le mur qui va vous arrêter, mais en plus vous dégradez vos pneus avant et vous commencez à riper le pneu
00:07 et vous créez une dégradation de ce pneu avant qui est beaucoup plus importante.
00:12 - Parce que là on a le kit aérodynamique faible appui, un peu comme à Pocono. - Oui absolument.
00:17 - Donc là ça joue aussi peut-être sur la façon de piloter.
00:20 - Il faut absolument faire attention à ses pneus et pas tirer sur le volant.
00:25 Voilà, et il a coupé un peu les gaz pour ne pas prendre trop trop de sous-virage et ne pas abîmer son pneu avant droit.
00:32 Alors même s'ils ont les barres anti-roulis, ils peuvent régler la voiture et la balance de la voiture pendant la course et dans la voiture.
00:40 Malgré tout c'est très très important puisque un relais va être entre 55 et 60 tours à mon avis.
00:47 - Ouais à peu près, c'est ça.
00:49 - Et donc il faut quand même préserver ses pneus, c'est très très important.
00:53 Il faut être vite sur le début de votre relais mais ce qui est important c'est la constance sur les 60 tours.
00:58 - Surtout si on veut tenter une stratégie à trois arrêts, il va falloir vraiment en plus d'économiser les pneus, économiser de l'essence.
01:04 Alors Sébastien Bourdet, alors vous êtes déçu évidemment. Qu'est-ce qui s'est passé ?
01:10 Vous m'avez demandé en début de course qu'est-ce qui pouvait se passer.
01:16 Bah je sais pas, moi j'ai eu l'impression que la voiture était partie toute seule parce qu'elle est partie en glissade très très rapidement.
01:25 J'ai rien touché et je sais vraiment pas ce qui s'est passé.
01:28 C'est vraiment dommage.
01:31 On avait une très très bonne voiture et puis j'espérais aussi le montrer en qualification.
01:37 Non ça a été vraiment très très spécial. Je sais pas ce qui s'est passé.
01:41 Il reste deux courses pour vous. Qu'est-ce que vous pouvez attendre avant la saison 2019 ?
01:47 Je vais essayer bien sûr d'avoir de bons résultats pour oublier ce week-end.
01:54 Ça aurait été bien de terminer sur une lancée de cinq bonnes courses.
02:01 On en avait déjà deux, bons résultats. Malheureusement ce soir c'est pas ce qui s'est passé.
02:09 On verra bien ce qui va arriver.
02:12 Sébastien Bourdet, c'est pas qu'il s'en veut, il ne comprend pas.
02:16 On l'a dit, Tristan, la voiture est partie assez rapidement toute seule.
02:20 Allez la bagarre qui nous intéresse.
02:26 Voiture numéro 1, Joseph Newgarden. Voiture numéro 27, Alexander Rossi.
02:29 Il est dans une bonne dynamique on l'a dit.
02:32 Et son équipier, Zach Vich, est apparemment très impressionnant sur les ovales depuis Pocono.
02:36 Zach Vich commence à se faire un nom. Il est jeune, Zach Vich.
02:39 Il a été repéré par le papa de Sarah Fisher en 2006.
02:42 Et depuis, il est vraiment en train de faire de très bonnes performances.
02:48 Alors il n'a pas eu de titre quand même dans la série "Road to Indy", un Mazda "Road to Indy".
02:53 Il a terminé quatrième en 2011 de l'USF 2000. Il est passé par la Star Mazda.
02:56 Troisième en Indy Lights. Pas de titre à son actif, mais il est quand même en IndyCar.
03:01 Et si Michael Andretti a jeté son dévolu sur lui, je dirais que c'est bien qu'il y a peut-être quelque chose à faire.
03:06 Il a une très belle progression depuis le début. C'est vrai qu'il n'a pas de palmarès.
03:10 C'est assez étonnant d'ailleurs.
03:12 Mais il est très jeune. Alors il doit y avoir des financements importants.
03:17 Mais il n'empêche qu'il fait du très bon travail, progresse, très jeune.
03:21 Donc il a un vrai potentiel avec ce garçon.
03:23 Il est passé du karting à la formule BMW en à peine 18 mois, 19 mois.
03:28 Donc c'est sûr que ça a été aussi un gros, gros passage.
03:32 Mais il s'y accommode parfaitement.
03:34 Et c'est vrai qu'en IndyCar, ce n'est pas non plus face à des pilotes amateurs qu'il est.
03:39 Il est bien face à l'élite du pays dans ses catégories Open Wheel, ses Monoplace.
03:45 Quand on a un Scott Dixon, les chiffres sont impressionnants.
03:48 Je crois que dans sa carrière, il a plus de 50% de Top 5.
03:51 En fait, il est ultra constant.
03:54 Et c'est vrai que beaucoup de pilotes sont comme ça.
03:56 Et Alexander aussi, pour venir à ce niveau-là, parce qu'il a tenté sa chance en Europe,
03:59 eh bien il a dû aussi se faire violence, j'allais dire, être patient sur ses courses sur ovale.
04:05 C'est vrai, mais il a fait partie des pilotes.
04:07 Alexander, il était arrivé, ça a tout de suite envoyé du gaz.
04:10 C'est vrai. Ah mais il a même réussi à s'imposer à Indianapolis avec la consommation.
04:14 Enfin, en tout cas, il a été très bon en consommation.
04:17 Et là, aujourd'hui, il en parlait.
04:18 Justement, c'est peut-être une donnée clé de cette course de Gateway.
04:22 Il va falloir économiser du carburant, selon l'effet de course, évidemment,
04:26 pour tenter l'une ou l'autre stratégie.
04:28 On rappelle, 4 arrêts, normalement.
04:31 On peut peut-être aller jusqu'à 3, selon ce qui va se passer.
04:34 Là, je peux vous dire, c'est ce qu'il est en train de faire,
04:36 puisque ce que m'avait dit Sébastien Bourdet, c'est qu'effectivement,
04:39 on voit que c'est très compliqué de doubler sur ce circuit.
04:42 Donc comme il a essayé une fois ou deux, il a vu que ça ne passait pas.
04:44 Newgarden était en train de sauver et de contre-attaquer en bloquant un peu la trajectoire.
04:50 Donc là, il est en train de sauver du fuel et ça se voit,
04:52 parce qu'il est sorti de son air pour avoir ce qu'on appelle du "clean air".
04:57 Et là, il est en train de sauver du fuel
05:00 pour s'ouvrir le plus possible la stratégie pour la fin de course.
05:06 Oui, parce qu'il sait qu'il a le rythme.
05:07 Donc forcément, s'il n'y a plus le "bouchon" entre guillemets Newgarden,
05:09 il va pouvoir essayer de se rapprocher des leaders.
05:13 Alors, là aussi, course nocturne, on sait que l'année prochaine,
05:15 Iowa sera aussi de nuit, comme les fans l'ont demandé.
05:19 Est-ce que ça change quelque chose sur la densité de l'air, sur l'aérodynamique, etc.?
05:23 C'est la température, effectivement.
05:26 En fonction de la température, la densité de l'air change
05:30 et votre charge aéro peut être modifiée.
05:34 Ça, c'est certain.
05:36 Et c'est quelque chose sur lequel les teams en Indie jouent énormément,
05:41 puisqu'on sait que l'aéro sur ces autos est très, très, très important.
05:46 Alors, vous aviez roulé d'ailleurs sur le Las Vegas Speedway, Tristan, c'était en 2007.
05:51 Ça, c'était plutôt pas mal passé du tout, parce que vous avez terminé dans le top 5
05:54 et je crois aussi que c'était de nuit.
05:56 Oui, c'était une super expérience, parce que c'était ma première année.
06:00 Et c'est une ambiance très différente, une atmosphère géniale.
06:08 Après, comme vous le voyez, c'est très, très bien éclairé.
06:10 Donc pour le pilote, très honnêtement, ça ne change pas grand-chose.
06:14 Heureusement, ce n'est pas de nuit comme aux 24 Heures du Mans.
06:18 Non, il n'y a pas de phare sur les voitures.
06:20 Mais c'est une atmosphère qui est quand même très différente de celle de jour.
06:25 Vous voyez, il lève, il prend déjà l'aspiration de New Yorden,
06:37 mais il ne cherche pas à se rapprocher.
06:39 Donc ça lui permet de lever les gaz plus tôt,
06:41 de se servir d'être aspiré par la voiture de devant et de sauver du fiol.
06:45 Donc on a vraiment la stratégie qui se développe et s'ouvrir les possibilités,
06:48 comme on le dit, d'avoir une ou l'autre stratégie.
06:51 Il faudra faire le bon choix au bon moment.
06:53 De toute façon, c'est vraiment toujours le cas.
06:55 C'est pour ça qu'on a une stratégie aussi sur le muret des stands
06:58 qui aide les pilotes à prendre la décision.
07:00 Mais enfin, je pense aussi que le pilote a son mot à dire, évidemment.
07:03 Oui, c'est vrai, mais en début de course comme ça, pas vraiment.
07:06 La plupart du temps, c'est vraiment la stratégie dans l'équipe.
07:10 Et le team eux-mêmes qui sont en train de calculer la consommation
07:15 et en fonction aussi des événements de course.
07:18 Comme là, Sébastien, il y a eu un yellow.
07:23 Donc certains sont rentrés pour remettre quand même un ou deux tours de fiol supplémentaire.
07:28 Et puis là, c'est certain que c'est le team qui demande au pilote de sauver un maximum de fiol.
07:36 Et là, c'est ce qu'il est en train de faire aussi.
07:38 Après, la limite de ce système-là, c'est de ne pas perdre trop de temps par rapport à l'athlète de course.
07:43 Oui, parce que pour l'instant, c'est ce que j'allais dire.
07:45 On voit Scott Dixon et Will Power qui commencent un peu à s'échapper.
07:47 Il y a quatre secondes d'écart entre Power et Newgarden.
07:50 Bon, pour l'instant, ça va, mais il faut que ça reste dans la mesure...
07:53 Il faut que ça reste raisonnable.
07:54 Oui, voilà, c'est ça.
07:56 De la raison.
07:57 Dixon, Power, une seconde, trois d'écart entre les deux hommes.
08:00 Newgarden, Rossi, Hunter-Ray qui commence à revenir sur Rossi.
08:03 Et Simon Pagenaud, trois secondes de retard sur Hunter-Ray.
08:06 Il y a vraiment des stratégies d'économie, des sens.
08:09 Mais on retrouve globalement les mêmes équipes aux avant-postes.
08:13 Les équipes de pointe avec Phil Ganassi, avec Penske, avec Andretti Autosport.
08:19 Et là, Dixon qui a toujours beaucoup aimé rouler avec le volant de travers.
08:26 Oui, alors ça, ça peut se régler là aussi ? C'est ce que j'avais lu.
08:30 Absolument.
08:31 Alors, ça, c'est vraiment le choix du pilote.
08:33 Parce que ce n'est pas du tout obligatoire.
08:35 Mais c'est suivant le feeling.
08:37 Et Dixon fait partie des pilotes qui roulent avec le volant le plus...
08:40 Il aime que dans les courbes, il ait le volant assez peu braqué.
08:45 Finalement, lui, ça ne le gêne pas du tout d'avoir un volant complètement de travers dans la ligne droite.
08:49 Par contre, ça lui permet d'avoir les mains relativement alignées dans l'ovale.
08:55 Oui, il a ses repères comme ça.
08:57 On avait vu Zakvic, notamment à Pocono, qui lui mettait sa main droite en bas du volant, à droite.
09:02 C'est une façon aussi d'aborder la chose.
09:05 Mais le volant lui-même était moins incliné.
09:07 Et ça vous permet aussi quand même, lorsque vous avez en ligne droite, si vous avez le volant droit en ligne droite,
09:14 lorsque vous êtes dans la courbe, ça vous oblige à avoir le bras droit qui se lève beaucoup.
09:19 Et à terme, vous pouvez avoir l'épaule quand même qui fatigue.
09:23 Même si c'est les garçons très très bien préparés.
09:26 On est d'accord.
09:27 Surtout lorsque vous passez 250 tours à tourner à gauche, à un moment donné, l'épaule droite finit par fatiguer.
09:33 Mais c'est le feeling. Certains aiment bien avoir la sensation de tourner dans le tirage.
09:37 Vous faites moins d'efforts avec le volant qui est déjà bien incliné à droite.
09:41 Lorsque vous êtes dans la courbe avec un volant relativement droit, ça vous préserve aussi les épaules.
09:48 On ne laisse rien au hasard, en tout cas en IndyCar, ça on peut le dire.
09:51 Et vous aviez roulé contre Will Power, contre Simon Pagenaud.
09:57 C'est vrai qu'ils en étaient au début de leur carrière US, tout comme vous d'ailleurs, en 2007.
10:03 Oui, Power, on avait même roulé ensemble en 3.5, en Formule Renault 3.5.
10:07 On se battait pour le titre et à l'époque, on était trois un petit peu à se battre devant.
10:13 Il y avait Kubica, Will Power et moi.
10:16 On a de bons souvenirs, ça c'est sûr.
10:17 Et d'ailleurs, je crois que sur cette course de Las Vegas, c'était Will Power qui s'était imposé en 2007, déjà.
10:22 Will Power a toujours été très vite.
10:24 C'est un garçon qui a toujours été à 105% dans la voiture.
10:29 Mais quand il est passé en IndyCar, il y a eu un petit peu plus de mal sur les circuits ovales.
10:32 Je ne sais pas exactement ce qui s'est passé, mais il a mis deux ou trois ans avant de vraiment s'imposer face à ses adversaires.
10:39 Et maintenant, ça y est, il déroule, il s'est imposé aux 500 miles in a police.
10:43 Il a vraiment de très bons résultats, il est passé à deux doigts de s'imposer à Pocono.
10:47 Et ici, il est très bien placé.
10:49 Donc vraiment, il y a peut-être un déclic à avoir, j'imagine.
10:52 Parce que quand vous êtes un pilote de circuit, un peu, j'ai envie de dire, un pilote européen, traditionnel,
10:59 je peux vous assurer que d'arriver sur un ovale et de longer les murs, il n'y a rien de naturel.
11:05 Non, ça c'est clair.
11:06 Et essayer de doser justement à quel point on va contre le mur, pour ne pas aller le toucher.
11:11 Et aux Etats-Unis, où mon ingénieur me disait, sur ovale, il y a deux catégories de pilote.
11:19 Il y a ceux qui ont tapé et ceux qui vont taper.
11:22 Mais au milieu, il n'y a rien.
11:25 Oui, donc ce qui est très difficile, justement, la limite est ténue.
11:28 Ce n'est pas comme quand il y a une zone de run-off sur les circuits européens maintenant.
11:31 Là, vraiment, on sait que la sanction est immédiate, sur les ovales en tout cas.
11:34 Oui.
11:35 Vous voyez, par exemple, Rossi, lui, en ligne droite, il aime avoir le volant droit.
11:39 Et donc, il n'y a aucun réglage qui vient compenser le fait que ça tourne perpétuellement à gauche.
11:43 Oui, donc lui, mode "européen", entre guillemets, tourne beaucoup plus.
11:47 Lui, il préfère, voilà.
11:49 Non, mais c'est intéressant, justement, de comparer les styles de pilotage et les préférences.
11:54 Après, l'importance de la limite.
11:56 Oui, ça c'est vraiment un feeling du pilote.
11:58 Pour les mécanos, ce n'est pas grand-chose.
12:01 Ça, c'est une demande du pilote.
12:05 Alors, à Pocono, en parlant justement de s'approcher ou non du mur,
12:09 j'ai trouvé qu'Alexander Rossi, pour aller vite, justement, est très très proche du mur.
12:13 Il m'a même fait peur à un moment, j'ai cru qu'il allait s'y mettre.
12:16 Mais c'est vrai que c'est aussi peut-être un... voilà, il est très très proche du mur à chaque fois.
12:20 Ça, c'est une preuve de confiance en soi.
12:22 D'accord.
12:23 Oui, ce n'est pas autre chose.
12:25 Bon, d'accord, il sait que de toute façon, ça va passer.
12:27 Il sait.
12:28 En tout cas, il a envie que ça passe.
12:31 Voilà. Il s'est levé avec le compas dans l'œil et après, c'est la confiance en soi.
12:38 Certains préfèrent avoir un peu de marge parce qu'avec la fatigue, on peut très bien avoir quelques problèmes avec le mur.
12:44 Oui, ça, on est bien d'accord.
12:45 Allez, on va écouter Mike Hull, l'ingénieur de Scott Dixon.
12:51 Alors, vous êtes dans le trafic, un petit peu bloqué. Est-ce que vous allez changer votre stratégie ?
12:56 Pour l'instant, la voiture est très bien équilibrée.
13:03 On sait que la piste a pas mal changé d'ailleurs, entre les essais et la course.
13:12 Je dirais qu'on va s'arrêter dans les 55 tours, comme tout le monde va le faire.
13:17 Donc pour l'instant, pas de surprise.
13:19 Oui, il ne voulait pas trop dévoiler sa stratégie.
13:21 Mike Hull, c'est normal.
13:23 C'est vrai qu'avec le trafic, c'est peut-être difficile à gérer, puisque c'est ce que l'on disait, difficile de coupler sur ce tracé.
13:28 Notamment aussi les retardataires qui ne veulent pas perdre un tour.
13:31 C'est certain.
13:32 Mais les débuts de course, c'est vraiment de faire en sorte de consommer le moins possible de fuel pour s'ouvrir le maximum de stratégie possible.
13:41 C'est ce qu'ils sont en train de faire.
13:43 Et en fonction des événements qui vont se passer, ils recalculent perpétuellement la stratégie et vont faire évoluer leur stratégie.
13:55 Bon, d'accord. Apparemment, vous n'avez pas entendu spécialement l'interview de Mike Hull, mais on vous l'a traduite.
13:59 On va essayer de savoir si pour les prochaines, on aura l'occasion d'avoir l'interview.
14:06 Alors, on retrouve Alexander Rossi toujours en train de calculer un peu sa consommation, même s'il s'est quand même rapproché de Joseph Newgarden.
14:16 Et on voit que la voiture de Newgarden, il prend des mouvements du train arrière.
14:20 Il est déjà très limite sur le train arrière.
14:23 Lorsqu'il est dans la courbe, on voit que la voiture prend un peu de roulis.
14:27 Et je ne suis pas sûr que Newgarden soit très satisfait de la balance de son auto.
14:34 Et c'est probablement la raison pour laquelle il a perdu le contact avec Dickson et Power.
14:40 Oui, parce qu'il n'y a pas de raison outre mesure. Justement, il a du clinaire avant d'arriver sur les retardataires.
14:45 Donc, il n'y aurait pas de raison finalement de le voir lâcher comme ça.
14:49 Ça a peut-être été un petit peu compliqué aussi, évidemment, de changer le programme.
14:54 Alors, d'après ce que les pilotes en ont dit, c'était une bonne stratégie de mettre les derniers essais libres.

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