Influenceuse française célèbre accusée d'escroquerie envers un orphelinat : Booba en parle ouvertement !
- il y a 11 mois
Booba s'en prend à une nouvelle influenceuse
Booba continue de s'attaquer aux influenceurs. Après avoir ciblé Magali Berdah, Maeva Ghennam ou encore Dylan Thiry, le rappeur s'en prend aujourd'hui à Poupette Kenza. Cette dernière est accusée, avec sa cousine Soukaïna El Mizeb, d'avoir détourné une cagnotte destinée à un orphelinat marocain. L'association Atlas Kinder a annoncé son intention de porter plainte contre les deux jeunes femmes.
Des accusations graves
Selon les informations relayées par Paris Normandie, les influenceuses ne seraient pas allées au bout de la collecte : elles n'auraient pas versé l'intégralité de la somme à l'association. Pire encore, Atlas Kinder les accuse de mener une campagne de cyber-harcèlement.
Booba, qui n'hésite jamais à prendre la défense des plus faibles, l'assure sur Twitter : les influenceuses sont des "démons". Une publication qui a suscité des réactions très violentes de la part de ses fans.
Les protagonistes nient les faits
Fidèles à leur ligne de défense, les deux jeunes femmes accusent l'association d'avoir monté une vaste campagne de diffamation. "On n'a pas pris un euro, on n'est pas des voleuses", se défend Soukaïna El Mizeb. Contactée par Le Parisien, Poupette Kenza se dit quant à elle victime de "harcèlement".
Selon elle, le virement aurait bel et bien été effectué, mais aurait été bloqué par la banque. L'affaire n'en est donc qu'à ses débuts.
Booba continue de s'attaquer aux influenceurs. Après avoir ciblé Magali Berdah, Maeva Ghennam ou encore Dylan Thiry, le rappeur s'en prend aujourd'hui à Poupette Kenza. Cette dernière est accusée, avec sa cousine Soukaïna El Mizeb, d'avoir détourné une cagnotte destinée à un orphelinat marocain. L'association Atlas Kinder a annoncé son intention de porter plainte contre les deux jeunes femmes.
Des accusations graves
Selon les informations relayées par Paris Normandie, les influenceuses ne seraient pas allées au bout de la collecte : elles n'auraient pas versé l'intégralité de la somme à l'association. Pire encore, Atlas Kinder les accuse de mener une campagne de cyber-harcèlement.
Booba, qui n'hésite jamais à prendre la défense des plus faibles, l'assure sur Twitter : les influenceuses sont des "démons". Une publication qui a suscité des réactions très violentes de la part de ses fans.
Les protagonistes nient les faits
Fidèles à leur ligne de défense, les deux jeunes femmes accusent l'association d'avoir monté une vaste campagne de diffamation. "On n'a pas pris un euro, on n'est pas des voleuses", se défend Soukaïna El Mizeb. Contactée par Le Parisien, Poupette Kenza se dit quant à elle victime de "harcèlement".
Selon elle, le virement aurait bel et bien été effectué, mais aurait été bloqué par la banque. L'affaire n'en est donc qu'à ses débuts.