La Fédération française de naturisme a beau annoncer chaque année la hausse du nombre d'adeptes (2,5 millions), les villages réservés continuent de fermer leurs portes. C'est à partir de ce constat, et de la menace de voir celui de son enfance, Bélézy, dans le Vaucluse, transformé en camping « textile », que Margaux Cassan a décidé de monter au créneau. À 25 ans, diplômée d'un master en philosophie des religions et lancée dans une thèse de théologie, à Strasbourg, sur la charité dans le protestantisme et la justice sociale, elle interrompt ses recherches pour devenir plume.