Qui rédigera le CE1D du français? Les auteurs crient à la censure
- l’année dernière
#Quirédigera #CE1Dfrançais #Les
https://gotopnews.com/post/1989187
"Il y a un passif" Les propositions seront évaluées par des points .Une série de sujets trop sensibles qui pourraient frapper les élèves concernés, "lit l'appel. Ils demandent à l'administration de "réviser ces paramètres algorithmiques".capitaux propres, égalité des sexes, inclusion,…). » Le directeur général de l'administration générale de l'éducation, Quentin David, a répondu. "Je comprends la réaction des auteurs et qu'ils peuvent être choqués." Il se souvient de l'origine de ce projet. "Habituellement, nous utilisons des textes existants mais nous voulionsDéveloppez et impliquez nos auteurs français. "Le manager regrette" bien sûr "que l'administration est obligée d'exclure certains thèmes." Nous devrions être en mesure de tout parler parce que tout est en cours ", admet-il. On ne peut pasUn passif… » Excès de prudence Quentin David revient aux réactions négatives suscitées par le test ces dernières années. "L'administration a procédé à l'excès de prudence." Peut-être ", pense-t-il cependant, rejetant l'accusation de censure. En ce qui concerne la brièveté des délais, l'administrateur général ajoute également que l'appel du 27 février était un renouveau d'un premier appel lancé précédemment.privilégié". "Je voudrais leur expliquer notre point de vue, nous inviteronseux pour venir parler. " "Faisons confiance à nos étudiants" Notez que le texte des auteurs a également réagi à l'Association des enseignants de français. "Nous accordons qu'une évaluation n'est pas moment opportun pour mettre un étudiant devant sujet qui pourrait le choquer", explique Xavier Dessaucy, son président. NousSachez également, par notre pratique quotidienne en classe, que certaines matières telles que l'inceste ou le viol peuvent parfois faire écho au traumatisme vécu par les étudiants.une bulle désinfectée.
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"Il y a un passif" Les propositions seront évaluées par des points .Une série de sujets trop sensibles qui pourraient frapper les élèves concernés, "lit l'appel. Ils demandent à l'administration de "réviser ces paramètres algorithmiques".capitaux propres, égalité des sexes, inclusion,…). » Le directeur général de l'administration générale de l'éducation, Quentin David, a répondu. "Je comprends la réaction des auteurs et qu'ils peuvent être choqués." Il se souvient de l'origine de ce projet. "Habituellement, nous utilisons des textes existants mais nous voulionsDéveloppez et impliquez nos auteurs français. "Le manager regrette" bien sûr "que l'administration est obligée d'exclure certains thèmes." Nous devrions être en mesure de tout parler parce que tout est en cours ", admet-il. On ne peut pasUn passif… » Excès de prudence Quentin David revient aux réactions négatives suscitées par le test ces dernières années. "L'administration a procédé à l'excès de prudence." Peut-être ", pense-t-il cependant, rejetant l'accusation de censure. En ce qui concerne la brièveté des délais, l'administrateur général ajoute également que l'appel du 27 février était un renouveau d'un premier appel lancé précédemment.privilégié". "Je voudrais leur expliquer notre point de vue, nous inviteronseux pour venir parler. " "Faisons confiance à nos étudiants" Notez que le texte des auteurs a également réagi à l'Association des enseignants de français. "Nous accordons qu'une évaluation n'est pas moment opportun pour mettre un étudiant devant sujet qui pourrait le choquer", explique Xavier Dessaucy, son président. NousSachez également, par notre pratique quotidienne en classe, que certaines matières telles que l'inceste ou le viol peuvent parfois faire écho au traumatisme vécu par les étudiants.une bulle désinfectée.