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https://gotopnews.com/post/1960188
Trophée de la Coupe du Monde Féminine de la FIFA La FIFA, qui avait été durement critiquée suite à l'attribution la Coupe du monde masculine de football au Qatar, se retrouve une nouvelle fois sur la sellette en raison ses liens avec une pétromonarchie moyen-orientale. Le projet d'ajout l'agence officielle du tourisme d'Arabie saoudite à la liste des sponsors la Coupe du monde féminine football qui se tiendra l'été prochain suscite une vive polémique même si les dirigeants l'organisation sportive n'ont pas encore annoncé décision officielle à ce sujet. Les deux pays hôtes de l'événement, l'Australie et la Nouvelle-Zélande, réagissant aux fuites médiatiques, se sont dits "choqués" il y a quelques semaines par l'éventualité d'une telle association et avaient demandé des précisions à la FIFA, qui tardent à venir. De nombreux sportifs renom ont depuis noté qu'il serait absurde d'associer la Coupe du monde féminine de football à un régime autoritaire qui traite les femmes manière discriminatoire et n'hésite pas à persécuter les militantes réclamant l'égalité. L'oppression des personnes LGBTQ+ est également mentionnée comme une raison de s'y opposer. Un régime répressif Human Rights Watch a déclaré que l'association prévue par la FIFA démontre un "manque choquant considération" pour ces abus et témoigne la nécessité pour l'organisation sportive tenir "enfin" ses engagements en matière défense. droits humains. "La Coupe du monde football féminin est célébration et une célébration du talent et la diversité qui existent dans le monde - elle ne doit pas devenir occasion blanchir la réputation d'un gouvernement qui viole les droits l'homme", a souligné Minky Worden, directrice Global Initiatives chez HRW. PHOTO REEM BAESHEN, ARCHIVES Des spectateurs applaudissent les joueurs lors d'un match de football à Djeddah. "Il serait extrêmement ironique que l'agence tourisme saoudienne parraine plus grande célébration du sport féminin sur planète alors qu'une femme dans pays ne peut même pas obtenir emploi sans être endossée par un tuteur masculin", a noté responsable section australienne Amnesty International, Nikita White, qui a qualifié le projet d'association avec FIFA "cas classique blanchiment par sport". Amnesty International cite notamment le cas Salma al-Shehab, doctorante, qui a été condamnée en août 2022 à 34 ans de prison après avoir été maintenue à l'isolement pendant plus neuf mois. PHOTO DU SITE INTERNET D'AMNESTY INTERNATIONAL Salma al Shehab Elle a été reconnue coupable d'avoir utilisé son compte Twitter, qui comptait 2 000 abonnés, pour soutenir les militantes des droits des femmes. Le régime saoudien a supprimé certaines restrictions sur les femmes depuis 2018, mais en 2022 a inscrit dans la loi un système tutorat « discriminatoire » qui, selon Amnesty International,
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Trophée de la Coupe du Monde Féminine de la FIFA La FIFA, qui avait été durement critiquée suite à l'attribution la Coupe du monde masculine de football au Qatar, se retrouve une nouvelle fois sur la sellette en raison ses liens avec une pétromonarchie moyen-orientale. Le projet d'ajout l'agence officielle du tourisme d'Arabie saoudite à la liste des sponsors la Coupe du monde féminine football qui se tiendra l'été prochain suscite une vive polémique même si les dirigeants l'organisation sportive n'ont pas encore annoncé décision officielle à ce sujet. Les deux pays hôtes de l'événement, l'Australie et la Nouvelle-Zélande, réagissant aux fuites médiatiques, se sont dits "choqués" il y a quelques semaines par l'éventualité d'une telle association et avaient demandé des précisions à la FIFA, qui tardent à venir. De nombreux sportifs renom ont depuis noté qu'il serait absurde d'associer la Coupe du monde féminine de football à un régime autoritaire qui traite les femmes manière discriminatoire et n'hésite pas à persécuter les militantes réclamant l'égalité. L'oppression des personnes LGBTQ+ est également mentionnée comme une raison de s'y opposer. Un régime répressif Human Rights Watch a déclaré que l'association prévue par la FIFA démontre un "manque choquant considération" pour ces abus et témoigne la nécessité pour l'organisation sportive tenir "enfin" ses engagements en matière défense. droits humains. "La Coupe du monde football féminin est célébration et une célébration du talent et la diversité qui existent dans le monde - elle ne doit pas devenir occasion blanchir la réputation d'un gouvernement qui viole les droits l'homme", a souligné Minky Worden, directrice Global Initiatives chez HRW. PHOTO REEM BAESHEN, ARCHIVES Des spectateurs applaudissent les joueurs lors d'un match de football à Djeddah. "Il serait extrêmement ironique que l'agence tourisme saoudienne parraine plus grande célébration du sport féminin sur planète alors qu'une femme dans pays ne peut même pas obtenir emploi sans être endossée par un tuteur masculin", a noté responsable section australienne Amnesty International, Nikita White, qui a qualifié le projet d'association avec FIFA "cas classique blanchiment par sport". Amnesty International cite notamment le cas Salma al-Shehab, doctorante, qui a été condamnée en août 2022 à 34 ans de prison après avoir été maintenue à l'isolement pendant plus neuf mois. PHOTO DU SITE INTERNET D'AMNESTY INTERNATIONAL Salma al Shehab Elle a été reconnue coupable d'avoir utilisé son compte Twitter, qui comptait 2 000 abonnés, pour soutenir les militantes des droits des femmes. Le régime saoudien a supprimé certaines restrictions sur les femmes depuis 2018, mais en 2022 a inscrit dans la loi un système tutorat « discriminatoire » qui, selon Amnesty International,
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