GALA VIDÉO - Nicolas Waldorf “asphyxié” financièrement : “J’ai fait fondre mes économies” - Vidéo Dailymotion

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00:00 On enchaîne, Nicolas Warloff, avec l'argent.

00:03 Est-ce que ça va bien financièrement ?

00:04 Non.

00:05 C'est vrai, c'est la cata, mais j'ai vu une vidéo sur Instagram

00:08 où ça n'allait pas du tout.

00:09 Alors, c'est pas que ça ne va pas,

00:11 c'est qu'en fait, j'ai une société

00:13 où j'ai quand même beaucoup d'employés,

00:15 et du coup, quand on est en France,

00:18 effectivement, on paye des impôts,

00:20 mais effectivement, si on paye bien les gens,

00:22 qu'on est honnête et qu'il y a des frais,

00:25 il y a des loyers et tout ça,

00:26 en fait, on se retrouve un peu asphyxiés.

00:29 Et donc, je me suis retrouvé asphyxié un peu plus d'une fois cette année,

00:32 parce qu'en plus, forcément, j'avais un prévisionnel,

00:34 j'avais des tournages qui venaient et qui venaient pas, machin,

00:37 donc du coup, il y a des trucs qui étaient prévus,

00:38 mais qui se sont annulés aussi.

00:40 Donc du coup, t'as des pertes, t'as des pertes.

00:42 Ensuite, il y a eu la crise after-Covid.

00:45 Moi, mon restaurant, qui marchait du feu de Dieu...

00:47 - Ça s'est cassé la figure. - ...qui marchait plus aussi bien.

00:49 Les cuisiniers, on a du mal...

00:50 En fait, c'est surtout ça, c'est que j'avais du mal à trouver des cuistots.

00:53 - Ah, d'accord. - En fait, à Paris,

00:55 il y a une crise sur les cuisiniers.

00:56 Mais là, aujourd'hui, quand on s'appelle Nicolas Warloff,

01:00 on vit avec combien par mois ?

01:01 Je peux te dire que je me paye plus depuis un an et demi.

01:04 - Ah ouais, à ce point-là ? - Par mes sociétés.

01:06 Donc j'ai vécu avec l'argent de la vente de mon appart

01:09 que j'avais vendu il y a, je sais pas, un mois, deux ans...

01:12 Ouais, un an et demi, deux ans.

01:14 Donc je me suis pas payé pendant un moment

01:15 parce que je voulais voir comment ça allait tourner après le Covid.

01:18 Et ensuite, là, j'ai fait fondre mes économies,

01:21 j'ai investi parce qu'il fallait.

01:25 Et au final, tout ça pour dire

01:26 qu'on a beau être exposé médiatiquement,

01:28 ça ne veut rien dire.

01:29 Si vraiment il y a une crise, elle touche tout le monde.

01:31 - C'est la galère. - Et surtout,

01:32 j'ai voulu garder à tout prix les boutiques,

01:34 j'ai voulu garder tout ouvert, j'ai voulu garder mes employés.

01:37 Donc là, j'ai dû prendre des décisions un petit peu lourdes.

01:40 Il faut savoir quand se retirer.

01:42 Et là, voilà, il y a des choses qui changent.

01:44 J'ouvre un nouveau business.

01:46 Je me lance dans un autre business

01:47 parce que du coup, la restauration, j'arrête.

01:49 Et donc j'ouvre un bar LGBTQ...

01:53 - Génial ! - Ouais.

01:55 Friendly.

01:56 Donc du coup, je suis content

01:57 parce que c'est quelque chose que je sais faire,

01:59 c'est quelque chose que j'aime faire.

02:00 C'était mon rêve d'enfant d'ouvrir un bar un petit peu comme ça,

02:04 avec des spectacles où moi, je vais me donner...

02:06 Moi, je vais faire des spectacles aussi.

02:07 Je vais venir tester mes blagues, je vais venir en Nadine.

02:09 - Il y a des amis... - Nadine, c'est votre personnage.

02:11 Mon personnage de femme.

02:12 Il y a des gens qui vont venir faire des spectacles.

02:14 Énormément de nouvelles dans cette émission avec Nicolas.

02:17 Parce que le chien, ça, c'est une émission...

02:19 On vous livre tout en direct.

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