Trois combats en un match: une soirée frustrante pour le Canadien
- l’année dernière
#Troiscombats #match #soiréefrustrante
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Il y avait de l'animosité dans l'air pour cette visite aux Panthers du Bell Center. Rarement dans l'histoire récente des Canadiens, nous avons assisté à trois combats au cours du même match. "Nous étions frustrés. Il est également le fait que leurs joueurs ont pris des libertés sur les nôtres. Il ne faisait aucun doute que nous nous sommes assis à ne rien faire. Parfois, cela signifie lancer des gants si nécessaire", a déclaré Arber Xhekaj, qui a décédé avec Givani Smith. La frustration, les joueurs de tricolor avaient contre leurs adversaires, mais aussi envers eux-mêmes.Nous pouvons les comprendre. Après une très bonne première période, ils ont saboté leurs chances gagner en visitant le banc de punition répétition. "Le fait de ne pas avoir pu rester loin du banc de la punition nous a beaucoup fait du mal. Ils ont permis à leur attaque massive marquer quatre buts", a déclaré Josh Anderson, qui était dans le donjon lors de l'un ces quatre buts. Cinq des six punitions appelées dans les deux secondes étaient contre le Canadien. Il y a des entraîneurs qui auraient perdu de la patience envers les hommes rayés.Après le match de mardi à Toronto. "Il est difficile de critiquer les arbitres. La première punition est ma faute et les deux suivantes, c'est parce que nous avions trop de joueurs sur la glace. Nous sommes entrés dans le pied nous-mêmes", a déclaré l'entraîneur canadien après la réunion. Une zone grise Ni Martin St-Louis ni ses joueurs ne voulaient blâmer les officiels. Ils n'auraient très bien pu le faire étant donné que Jake Brenk et Ghislain Hebert, les deux arbitres du match, ont été très près de perdre le contrôle du jeu. Ajoutez à cela, l'objectif accordé à Sam Reinhart, tandis que Matthew Tkachuk semblait en effet avoir nui au travail de Samuel Montembeault. "Je ne sais pas comment cela fonctionne. Il ne semble parfois pas être obstruéDonnez l'objectif ", a déclaré Arber Xhekaj. Le problème est que chaque situation dépend de la discrétion des fonctionnaires en place. Cela cède la place à une zone grise impossible à définir. "C'est compliqué de savoir quelles sont les règles. Je sais que ce sont des décisions difficiles, mais nous aimerions plus de cohérence", a déclaré Mike Matheson. Se battre jusqu'à la fin Au moins, encore une fois, Montréalais a refusé de lâcher prise. Ensuite, tout le monde en a profité pour régler un peu ses comptes. "Je suis content que nous ayons été détenus dans un match frustrant. Nous avions la mentalité de pack. J'ai adoré", a déclaré St-Louis. Des mots qui ont trouvé écho à ceux de Xhekaj. "Cela montre que tenons en groupe et protégeons. Nous jouons tous pour le Canadien. C'est ce que nous avons démontré ce soir", a-t-il fait l'éloge.
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Il y avait de l'animosité dans l'air pour cette visite aux Panthers du Bell Center. Rarement dans l'histoire récente des Canadiens, nous avons assisté à trois combats au cours du même match. "Nous étions frustrés. Il est également le fait que leurs joueurs ont pris des libertés sur les nôtres. Il ne faisait aucun doute que nous nous sommes assis à ne rien faire. Parfois, cela signifie lancer des gants si nécessaire", a déclaré Arber Xhekaj, qui a décédé avec Givani Smith. La frustration, les joueurs de tricolor avaient contre leurs adversaires, mais aussi envers eux-mêmes.Nous pouvons les comprendre. Après une très bonne première période, ils ont saboté leurs chances gagner en visitant le banc de punition répétition. "Le fait de ne pas avoir pu rester loin du banc de la punition nous a beaucoup fait du mal. Ils ont permis à leur attaque massive marquer quatre buts", a déclaré Josh Anderson, qui était dans le donjon lors de l'un ces quatre buts. Cinq des six punitions appelées dans les deux secondes étaient contre le Canadien. Il y a des entraîneurs qui auraient perdu de la patience envers les hommes rayés.Après le match de mardi à Toronto. "Il est difficile de critiquer les arbitres. La première punition est ma faute et les deux suivantes, c'est parce que nous avions trop de joueurs sur la glace. Nous sommes entrés dans le pied nous-mêmes", a déclaré l'entraîneur canadien après la réunion. Une zone grise Ni Martin St-Louis ni ses joueurs ne voulaient blâmer les officiels. Ils n'auraient très bien pu le faire étant donné que Jake Brenk et Ghislain Hebert, les deux arbitres du match, ont été très près de perdre le contrôle du jeu. Ajoutez à cela, l'objectif accordé à Sam Reinhart, tandis que Matthew Tkachuk semblait en effet avoir nui au travail de Samuel Montembeault. "Je ne sais pas comment cela fonctionne. Il ne semble parfois pas être obstruéDonnez l'objectif ", a déclaré Arber Xhekaj. Le problème est que chaque situation dépend de la discrétion des fonctionnaires en place. Cela cède la place à une zone grise impossible à définir. "C'est compliqué de savoir quelles sont les règles. Je sais que ce sont des décisions difficiles, mais nous aimerions plus de cohérence", a déclaré Mike Matheson. Se battre jusqu'à la fin Au moins, encore une fois, Montréalais a refusé de lâcher prise. Ensuite, tout le monde en a profité pour régler un peu ses comptes. "Je suis content que nous ayons été détenus dans un match frustrant. Nous avions la mentalité de pack. J'ai adoré", a déclaré St-Louis. Des mots qui ont trouvé écho à ceux de Xhekaj. "Cela montre que tenons en groupe et protégeons. Nous jouons tous pour le Canadien. C'est ce que nous avons démontré ce soir", a-t-il fait l'éloge.