"Je ne vais pas bien": les frères Farisi et Oussama Krayem quittent la pièce, smail sous l'emprise d
- l’année dernière
#BRIEF #PROCèSDESATTENTATSàBRUXELLES #JUDICIAIRE #ATTENTAT
https://gotopnews.com/post/1353761
Smail et Ibrahim Farisi sont les deux seuls accusés à apparaître gratuits lors du procès. Ils sont accusés d'avoir fourni une logistique aux terroristes le 22 mars 2016. Ma santé vacille, vraiment même." Il a ajouté qu'il était "forcé" à boireDeux bières le matin pour venir à son procès. Le cocktail est fou", a-t-il dit. "L'acte d'accusation indique. Témoignages poignants lors du procès des attaques: "Le nom de Maelbeek me donne toujours des frissons" "En principe, les accusés assistent aux témoignages", a déclaré le président de la cour d'assise Laurence Massart. Elle a demandé à la Croix-Rouge d'aider Samil Farisi, qui est finalement parti avec les sauveteurs, ajoutant "merci et désolé". Enfin, depuis la boîte accusée, Osama Krayem a décidé de quitter la pièce et de retourner au cellulaire, son interprète ajoutant qu'il ne voulait pas s'exprimer. L'autre accusé a assisté au public, consacré jeudi aux premiers tâches d'enquête liées aux deux explosions de l'aéroport de Zaventem. Les enquêteurs ont commencé la présentation de leurs découvertes grâce aux données de téléphonie peu avant 10h00. La téléphonie a permis d'identifier un triangle de cachettes L'analyse des données téléphonie mobile a permis d'identifier un "triangle de cachettes" des terroristes, il émerge la présentation du commissaire Kris Meert devant la cour d'assise. La cachette de Rue Max Roos, la cellule sur l'avenue des casernes dans Etterbeek, et le cache de la rue du dries était ainsi connecté. Les terroristes ont acheté téléphones "bon marché" en série ainsi que des cartes prépayées.Le temps faits, a expliqué le commissaire Meert. Les enquêteurs ont commencé avec numéro utilisé pour appeler le taxi qui a emmené commando à l'aéroport de Zaventem. Ils ont ensuite pu mettre la main sur l'emballage des téléphones et un appareil. En analysant les appels passés, ils ont découvert que, le matin du 22 mars,2016, le commando Zaventem et celui la station de métro Maelbeek ont essayé, sans réussir, se rejoindre. Premièrement, la partie de la rue Max Roos a peu probable celle de "Maelbeek". Puis, c'est la cellule "Maelbeek" qui essaie d'atteindre celle Zaventem.Adgordant à un SMS envoyé par la boîte messagerie, un message est laissé par le"Maelbeek" à l'autre commando, et ceci après les explosions l'aéroport Zaventem. Ce message vocal n'a jamais pu être trouvé et écouté. "Ils ne pourront jamais se joindre", a noté la juge enquêteur Berta Bernardo Mendes. Les enquêteurs ont classé numéros de téléphone en trois catégories: utilisés pour contacts d'urgence entre différents lieux d'hébergement; ceux de la location et la surveillance des logements et utilisés pour exécuter attaques .
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Smail et Ibrahim Farisi sont les deux seuls accusés à apparaître gratuits lors du procès. Ils sont accusés d'avoir fourni une logistique aux terroristes le 22 mars 2016. Ma santé vacille, vraiment même." Il a ajouté qu'il était "forcé" à boireDeux bières le matin pour venir à son procès. Le cocktail est fou", a-t-il dit. "L'acte d'accusation indique. Témoignages poignants lors du procès des attaques: "Le nom de Maelbeek me donne toujours des frissons" "En principe, les accusés assistent aux témoignages", a déclaré le président de la cour d'assise Laurence Massart. Elle a demandé à la Croix-Rouge d'aider Samil Farisi, qui est finalement parti avec les sauveteurs, ajoutant "merci et désolé". Enfin, depuis la boîte accusée, Osama Krayem a décidé de quitter la pièce et de retourner au cellulaire, son interprète ajoutant qu'il ne voulait pas s'exprimer. L'autre accusé a assisté au public, consacré jeudi aux premiers tâches d'enquête liées aux deux explosions de l'aéroport de Zaventem. Les enquêteurs ont commencé la présentation de leurs découvertes grâce aux données de téléphonie peu avant 10h00. La téléphonie a permis d'identifier un triangle de cachettes L'analyse des données téléphonie mobile a permis d'identifier un "triangle de cachettes" des terroristes, il émerge la présentation du commissaire Kris Meert devant la cour d'assise. La cachette de Rue Max Roos, la cellule sur l'avenue des casernes dans Etterbeek, et le cache de la rue du dries était ainsi connecté. Les terroristes ont acheté téléphones "bon marché" en série ainsi que des cartes prépayées.Le temps faits, a expliqué le commissaire Meert. Les enquêteurs ont commencé avec numéro utilisé pour appeler le taxi qui a emmené commando à l'aéroport de Zaventem. Ils ont ensuite pu mettre la main sur l'emballage des téléphones et un appareil. En analysant les appels passés, ils ont découvert que, le matin du 22 mars,2016, le commando Zaventem et celui la station de métro Maelbeek ont essayé, sans réussir, se rejoindre. Premièrement, la partie de la rue Max Roos a peu probable celle de "Maelbeek". Puis, c'est la cellule "Maelbeek" qui essaie d'atteindre celle Zaventem.Adgordant à un SMS envoyé par la boîte messagerie, un message est laissé par le"Maelbeek" à l'autre commando, et ceci après les explosions l'aéroport Zaventem. Ce message vocal n'a jamais pu être trouvé et écouté. "Ils ne pourront jamais se joindre", a noté la juge enquêteur Berta Bernardo Mendes. Les enquêteurs ont classé numéros de téléphone en trois catégories: utilisés pour contacts d'urgence entre différents lieux d'hébergement; ceux de la location et la surveillance des logements et utilisés pour exécuter attaques .