Nouvelle enquête ! La chasse en enclos infiltrée par One Voice
Dans les enclos, la chasse ne laisse aucune chance d’en réchapper aux animaux. De fait, ils sont enfermés et ne peuvent fuir nulle part. Nos enquêteurs ont infiltré ce milieu à l’hiver 2020-2021. Malgré le COVID-19, les parties de chasse ont perduré. Les euros ont tinté dans les bourses des éleveurs, propriétaires ou locataires de propriétés fermées. Ces lieux réservés à la chasse qui font payer à la journée et/ou à l’animal tiré. Ces derniers sont abattus sans pitié, jour après jour, par des groupes de chasseurs pour le plaisir desquels tout a été organisé. Nous appelons le ministère de l’Écologie à y mettre fin.
Avec les images que nos enquêteurs infiltrés parmi les chasseurs en enclos ont rapportées de la saison hivernale qui prend fin, nous exposons plus encore l’étendue de l’horreur subie par les animaux concernés par cette traque sans merci, que même des chasseurs aguerris désapprouvent. Parmi ceux-ci, le premier d’entre eux, le président de la Fédération Nationale des chasseurs, Willy Schraen lui-même, qui tient des propos inédits devant la caméra de nos enquêteurs infiltrés (cf vidéo iédite le 13/04). (L’horreur de la chasse en enclos a déjà été abordée dans les médias français et par l’ASPAS, première association à l’avoir dévoilée.)
Muriel Arnal, présidente fondatrice de One Voice, déclare :
« La chasse en enclos, c’est la chasse en boite made in France!
Nos enquêteurs en infiltration ont vu les chasseurs traquer des animaux qui étaient en confiance, et pour cause, des humains les élèvent, les nourrissent, pour les vendre aux carabines. Quelle ultime trahison ! Des laies pleines sont traquées sans merci. Chevreuils, biches, daims fuient terrorisés sous les balles. Des marcassins orphelins sont abandonnés à une mort certaine.
Le ball-trap sur animaux vivants a pris fin il y a plus d’un siècle car jugé honteux. Nous demandons au ministère de l’Ecologie l’interdiction immédiate de la chasse en enclos. »
Des fœtus de marcassins sortis des laies lors du banquet de fin de battue
Des humains les élèvent, les relâchent dans des parcs encerclés de murs ou de grillage, et organisent des chasses d’où ils ne peuvent sortir vivants. Les discours sont révélateurs.
« De toute façon, les animaux sont enfermés. Le but, c’est de satisfaire tout le monde. » Ailleurs : « Y’a assez de beaux sangliers dans le parc pour se faire plaisir », et « Si y’a une laie pleine ce soir qui fait 130 kilos au tableau, y’a pas de souci. Ça s’arrose. Si elle est dans le parc, c’est qu’elle est bonne à tuer. Aujourd’hui, toutes les laies sont pleines, donc automatiquement, si y’a une laie qui est pleine, c’est pas grave. Y’a pas d’amende, y’a pas de taxe d’abattage, y’a pas tout ça. C’est votre journée, point. » Car « si y’a des laies là, dans le parc, c’est que nous à l’élevage, on n’en veut plus... Donc on les fait tuer. »
Et en effet, nos enquêteurs ont pu filmer des laies se faire découper en fin de
Dans les enclos, la chasse ne laisse aucune chance d’en réchapper aux animaux. De fait, ils sont enfermés et ne peuvent fuir nulle part. Nos enquêteurs ont infiltré ce milieu à l’hiver 2020-2021. Malgré le COVID-19, les parties de chasse ont perduré. Les euros ont tinté dans les bourses des éleveurs, propriétaires ou locataires de propriétés fermées. Ces lieux réservés à la chasse qui font payer à la journée et/ou à l’animal tiré. Ces derniers sont abattus sans pitié, jour après jour, par des groupes de chasseurs pour le plaisir desquels tout a été organisé. Nous appelons le ministère de l’Écologie à y mettre fin.
Avec les images que nos enquêteurs infiltrés parmi les chasseurs en enclos ont rapportées de la saison hivernale qui prend fin, nous exposons plus encore l’étendue de l’horreur subie par les animaux concernés par cette traque sans merci, que même des chasseurs aguerris désapprouvent. Parmi ceux-ci, le premier d’entre eux, le président de la Fédération Nationale des chasseurs, Willy Schraen lui-même, qui tient des propos inédits devant la caméra de nos enquêteurs infiltrés (cf vidéo iédite le 13/04). (L’horreur de la chasse en enclos a déjà été abordée dans les médias français et par l’ASPAS, première association à l’avoir dévoilée.)
Muriel Arnal, présidente fondatrice de One Voice, déclare :
« La chasse en enclos, c’est la chasse en boite made in France!
Nos enquêteurs en infiltration ont vu les chasseurs traquer des animaux qui étaient en confiance, et pour cause, des humains les élèvent, les nourrissent, pour les vendre aux carabines. Quelle ultime trahison ! Des laies pleines sont traquées sans merci. Chevreuils, biches, daims fuient terrorisés sous les balles. Des marcassins orphelins sont abandonnés à une mort certaine.
Le ball-trap sur animaux vivants a pris fin il y a plus d’un siècle car jugé honteux. Nous demandons au ministère de l’Ecologie l’interdiction immédiate de la chasse en enclos. »
Des fœtus de marcassins sortis des laies lors du banquet de fin de battue
Des humains les élèvent, les relâchent dans des parcs encerclés de murs ou de grillage, et organisent des chasses d’où ils ne peuvent sortir vivants. Les discours sont révélateurs.
« De toute façon, les animaux sont enfermés. Le but, c’est de satisfaire tout le monde. » Ailleurs : « Y’a assez de beaux sangliers dans le parc pour se faire plaisir », et « Si y’a une laie pleine ce soir qui fait 130 kilos au tableau, y’a pas de souci. Ça s’arrose. Si elle est dans le parc, c’est qu’elle est bonne à tuer. Aujourd’hui, toutes les laies sont pleines, donc automatiquement, si y’a une laie qui est pleine, c’est pas grave. Y’a pas d’amende, y’a pas de taxe d’abattage, y’a pas tout ça. C’est votre journée, point. » Car « si y’a des laies là, dans le parc, c’est que nous à l’élevage, on n’en veut plus... Donc on les fait tuer. »
Et en effet, nos enquêteurs ont pu filmer des laies se faire découper en fin de
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