Nous nous sommes lancées un défi: réaliser une vidéo sur l'autonomisation de la femme en une minute (y compris les génériques de début et de fin). Défi rélévé.
Fatoumata Chérif et Aminata Doumbouya vous présentent: M'Balia, une femme pleine de vie.
Synopsis:
Français: M'balia, une femme pleine de vie
M’Balia, la trentaine, est cheffe mécanicienne dans un garage situé en banlieue de Conakry, capitale de la République de Guinée. Chaque matin, après avoir déposé ses enfants à l’école, M'Balia se dirige vers son lieu de travail où elle retrouve ses collègues dans une bonne ambiance. Elle se met en tenue de travail, et commence à s'occuper des voitures avec professionnalisme.
Après le boulot, M’Balia se rend au marché de produits frais pour faire des courses pour le diner. Une fois à la maison, M’Balia reprend son rôle de mère et d’éducatrice afin d'assurer un bon avenir à ses enfants.
Le message véhiculé par ce film est qu’à travers les métiers qualifiés de ‘’métiers d’homme’’ comme la mécanique, les femmes peuvent s’autonomiser et trouver un équilibre entre vie professionnelle, vie familiale et vie sociale.
Anglais: Mbalia, a committed and an active woman
The idea of the film is to focus on the daily life of a widow, mother of two who is trying hard, to make ends meet.
M'Balia, in her thirties, is a chief mechanic in a garage on the outskirts of Conakry, the capital of the Republic of Guinea. Every morning, after dropping off her children at school, M'Balia heads to her workplace where she meets her colleagues in a good atmosphere. She gets into work clothes and starts looking after cars professionally.
After work, M'Balia goes to the fresh produce market to shop for dinner. Once home, M'Balia resumes her role as a mother and educator to ensure a good future for her children.
The message conveyed by this film is that through occupations known as 'men's trades' such as mechanics, a woman can empower herself and find a balance between work, family and social life.
NB: Cette oeuvre est une fiction. Elle a été produite sur fonds propres par deux jeunes vidéastes guinéennes dans le but d'apporter leur contribution à la Campagne des 16jours d'Activisme. Elle promeut l'autonomisation de la femme guinéenne.
