L'INSEE a publié une note concernant le mode de calcul de l'impôt sur le revenu. Selon l'institut, la prise en compte des ressources et des charges familiales à l’échelle du foyer fiscal, profite davantage aux ménages les plus aisés. Cette minoration de l'impôt à payer est due à deux dispositifs, souvent coexistants :
le quotient familial, qui restitue des parts fiscales et le quotient conjugal qui réduit la base imposable des couples mariés ou pacsés. Ces dispositifs ont engendré "des gains moyens annuels de 2 000 € par an (2018)." 5 % des ménages les plus aisés reçoivent près de 20 % des gains (5,8 milliards d’euros). De plus, les 25 % des ménages les plus riches jouissent de 50 % des gains résultants des quotients conjugal et familial. L’ensemble de ces ménages paient la quasi totalité (86 %) de l’impôt sur le revenu.
le quotient familial, qui restitue des parts fiscales et le quotient conjugal qui réduit la base imposable des couples mariés ou pacsés. Ces dispositifs ont engendré "des gains moyens annuels de 2 000 € par an (2018)." 5 % des ménages les plus aisés reçoivent près de 20 % des gains (5,8 milliards d’euros). De plus, les 25 % des ménages les plus riches jouissent de 50 % des gains résultants des quotients conjugal et familial. L’ensemble de ces ménages paient la quasi totalité (86 %) de l’impôt sur le revenu.
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