Présidentielle 2020: Agbéyomé Kodjo révendique toujours sa victoire
- il y a 4 ans
Hier jeudi à Lomé, le candidat de la dynamique Mgr Kpodzro et toute son équipe de campagne ont animé une rencontre avec leurs militants. L’occasion pour Dr Agbéyomé Kodjo de revenir sur les cas de fraudes dont il serait victime lors du scrutin.
L’ancien Premier ministre ne se reconnait pas dans le score de 18% à lui attribuer par la Commission Electorale Nationale Indépendant à l’issue de la présidentielle du 22 février 2020. Dr Agbéyomé Kodjo réclame toujours la vérité des urnes.
« Cette rencontre c’est pour assurer les populations qui sont impatientes que la réponse n’est pas vite, c’est-à-dire que nous ne rentrons pas vite dans notre victoire. Il fallait les rassurer que nous ne dormons pas, nous entreprenons des démarches diplomatiques, les résultats commencent par tomber et je suis sûr que dans les jours ou semaines à venir, la CENI reprendra sa copie. Parce que dans le monde entier, tout le monde sait que c’est Agbéyomé Kodjo de la dynamique Kpodzro qui a gagné les élections », a-t-il déclaré.
Le député dit avoir déjà saisi la Cour Constitution pour « l’annulation du scrutin dans un certain nombre de préfectures où la fraude a fait exploser les chiffres ».
L’ancien Premier ministre ne se reconnait pas dans le score de 18% à lui attribuer par la Commission Electorale Nationale Indépendant à l’issue de la présidentielle du 22 février 2020. Dr Agbéyomé Kodjo réclame toujours la vérité des urnes.
« Cette rencontre c’est pour assurer les populations qui sont impatientes que la réponse n’est pas vite, c’est-à-dire que nous ne rentrons pas vite dans notre victoire. Il fallait les rassurer que nous ne dormons pas, nous entreprenons des démarches diplomatiques, les résultats commencent par tomber et je suis sûr que dans les jours ou semaines à venir, la CENI reprendra sa copie. Parce que dans le monde entier, tout le monde sait que c’est Agbéyomé Kodjo de la dynamique Kpodzro qui a gagné les élections », a-t-il déclaré.
Le député dit avoir déjà saisi la Cour Constitution pour « l’annulation du scrutin dans un certain nombre de préfectures où la fraude a fait exploser les chiffres ».