Le politologue refute catégoriquement la théorie de la "noyade collective" selon laquelle tous les congolais sont responsables de la situation actuelle. Il incrimine exclusivement l'élite politique prébendière et rentière qui dirige le pays depuis l'indépendance. Par conséquent, il n'entrevoit aucun changement majeur dans la destinée du pays, malgré l'accord récent avec le FMI.
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