Cette deuxième partie de la narration du Commandant de la garde Beylicale Mohamed Ben Slama présente les péripéties de sa vie durant la décennie des années 20.
Elle passe en revue ses expériences à Tunis, au Tramways et aux chemins de fer, depuis 1910 jusqu'à 1915, date de son arrestation à Béjà en raison de son inculpation de désertion du service militaire manigancée par l'un de ses oncles.
Après son engagement forcé dans la garde beylicale en 1915 jusqu'à 1921, il décida de revenir à sa ville natale Ksour Essaf (gouvernorat de Mahdia) pour régler la partition de l'héritage de son père et assainir la situation avec ses oncles fraudeurs. De 1921 à 1931, il exerça le métier d'agriculteur dans une atmosphère asphyxiante causée par la crise économique que connaissait le pays à cette époque et la vague intermittente de la faim.