L'algérino a adoré tirer à bout portant dans son clip "Banderas"
- il y a 7 ans
Interview réalisée par Tiffany Szadek
L'Algérino revient sur le devant de la scène avec un nouvel album ! L'interprète du "Prince de la ville" est de retour avec son album "Banderas" !
L’Algérino est de retour ! Ce 28 octobre sortira son nouvel opus intitulé « Banderas » ! En attendant, L’Algérino répond à toutes nos questions…
L’ALGÉRINO EST FAN D’ANTONIO BANDERAS !
Tu as appelé ton album « Banderas », c’est un clin d’oeil à l’acteur Antonio Banderas ?
J’aime beaucoup cet acteur, Antonio Banderas, je trouve qu’il a une classe internationale, comme je dis dans le son. J’ai sorti un single au mois de mai qui s’appelle « Banderas », qui a bien cartonné et j’ai décidé, tout simplement, d’appeler mon album « Banderas ».
Les titres « Banderas », « Panama » et « Si tu savais » sont déjà dévoilés, quels sont les premiers retours ?
Les retours sont très bons ! J’ai la chance de tourner, faire beaucoup de concerts et de showcases, donc je vois directement la réaction du public. Les morceaux prennent bien. Je trouve qu’on a envoyé trois signaux forts pour cet album là et je suis très très content.
L’ALGÉRINO REVIENT SUR LES TROIS TITRES DÉJÀ DÉVOILÉS…
Dans le clip « Banderas », tu te mets en scène. Peux-tu nous raconter cette expérience ?
J’aime bien le côté « cinéma » que je ramène à mes clips. J’écris tout, je scénarise tout et je me régale à jouer ! Je ne pense pas que je suis un acteur de fou mais au moins j’ai de bonnes idées et j’écris des scénarios. Dans « Banderas » je me suis vraiment amusé. Tirer à bout portant sur le FBI pour des sauces algériennes, je trouvais ça marrant.
Dans le clip « Panama », tu es dans les clubs maghrébins, peux-tu nous raconter ce tournage ?
A la base je voulais pas faire un clip, je voulais faire juste un reportage sur la tournée que je faisais pendant tout l’été. Il y avait un bon feeling, il y avait le temps qui était bien, il y avait des spots que j’aimais bien, des terrains de golf, la Bentley, etc. Et je me suis chauffé et j’ai commencé à faire des playbacks et c’est devenu un clip.
Dans le clip « Si tu savais », on voit Elvis Presley, c’est un personnage qui t’inspire ?
Un jour je prends le taxi à Paris et le taxi me fait « Wow Elvis Presley ! ». Donc c’est un accident. J’ai fait cette coupe et les gens m’ont comparé à Elvis. En même temps, c’est un grand artiste et moi je suis dans l’auto-dérision donc ça me dérange pas qu’on me compare à Elvis. Donc on a fait un petit clin d’oeil aussi dans le clip « Si tu savais ». Mais c’était pas le premier clin d’oeil qu’on faisait sur Elvis. Je l’avais déjà fait sur « Le Prince de la ville ».
L’ALGÉRINO S’INSPIRE DE MUSIQUES TRÈS DIFFÉRENTES !
Enfin, quelles sont tes influences musicales ?
Je voyage beaucoup et à chaque fois ce que je fais dans j’arrive dans un pays c’est, je mets la radio locale et j’écoute ce qu’il se fait. Donc je peux écouter de la musique africaine, du rap américain, de la musique hindou, de la musique de l’Europe de l’Est, de la variété française, de la musique orientale aussi par rapport à mes origines. Ce qui donne un peu d’originalité dans ma musique c’est que, vraiment, je ne me fixe aucune limite et je m’inspire de tout ça pour faire ma musique à moi. Et là, je pense qu’à l’heure actuelle on peut dire que quand on écoute un son on peut dire « Ça c’est L’Algérino », et je pense que c’est une grande victoire quand tu fais de la musique et qu’on peut identifier ta musique.
Site internet : http://www.mcetv.fr
Facebook : https://www.facebook.com/machainetudiante
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L’ALGÉRINO EST FAN D’ANTONIO BANDERAS !
Tu as appelé ton album « Banderas », c’est un clin d’oeil à l’acteur Antonio Banderas ?
J’aime beaucoup cet acteur, Antonio Banderas, je trouve qu’il a une classe internationale, comme je dis dans le son. J’ai sorti un single au mois de mai qui s’appelle « Banderas », qui a bien cartonné et j’ai décidé, tout simplement, d’appeler mon album « Banderas ».
Les titres « Banderas », « Panama » et « Si tu savais » sont déjà dévoilés, quels sont les premiers retours ?
Les retours sont très bons ! J’ai la chance de tourner, faire beaucoup de concerts et de showcases, donc je vois directement la réaction du public. Les morceaux prennent bien. Je trouve qu’on a envoyé trois signaux forts pour cet album là et je suis très très content.
L’ALGÉRINO REVIENT SUR LES TROIS TITRES DÉJÀ DÉVOILÉS…
Dans le clip « Banderas », tu te mets en scène. Peux-tu nous raconter cette expérience ?
J’aime bien le côté « cinéma » que je ramène à mes clips. J’écris tout, je scénarise tout et je me régale à jouer ! Je ne pense pas que je suis un acteur de fou mais au moins j’ai de bonnes idées et j’écris des scénarios. Dans « Banderas » je me suis vraiment amusé. Tirer à bout portant sur le FBI pour des sauces algériennes, je trouvais ça marrant.
Dans le clip « Panama », tu es dans les clubs maghrébins, peux-tu nous raconter ce tournage ?
A la base je voulais pas faire un clip, je voulais faire juste un reportage sur la tournée que je faisais pendant tout l’été. Il y avait un bon feeling, il y avait le temps qui était bien, il y avait des spots que j’aimais bien, des terrains de golf, la Bentley, etc. Et je me suis chauffé et j’ai commencé à faire des playbacks et c’est devenu un clip.
Dans le clip « Si tu savais », on voit Elvis Presley, c’est un personnage qui t’inspire ?
Un jour je prends le taxi à Paris et le taxi me fait « Wow Elvis Presley ! ». Donc c’est un accident. J’ai fait cette coupe et les gens m’ont comparé à Elvis. En même temps, c’est un grand artiste et moi je suis dans l’auto-dérision donc ça me dérange pas qu’on me compare à Elvis. Donc on a fait un petit clin d’oeil aussi dans le clip « Si tu savais ». Mais c’était pas le premier clin d’oeil qu’on faisait sur Elvis. Je l’avais déjà fait sur « Le Prince de la ville ».
L’ALGÉRINO S’INSPIRE DE MUSIQUES TRÈS DIFFÉRENTES !
Enfin, quelles sont tes influences musicales ?
Je voyage beaucoup et à chaque fois ce que je fais dans j’arrive dans un pays c’est, je mets la radio locale et j’écoute ce qu’il se fait. Donc je peux écouter de la musique africaine, du rap américain, de la musique hindou, de la musique de l’Europe de l’Est, de la variété française, de la musique orientale aussi par rapport à mes origines. Ce qui donne un peu d’originalité dans ma musique c’est que, vraiment, je ne me fixe aucune limite et je m’inspire de tout ça pour faire ma musique à moi. Et là, je pense qu’à l’heure actuelle on peut dire que quand on écoute un son on peut dire « Ça c’est L’Algérino », et je pense que c’est une grande victoire quand tu fais de la musique et qu’on peut identifier ta musique.
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