Chantal Sébire est morte le 19 mars 2008 après avoir ingéré une forte dose de barbituriques, deux jours après que le tribunal de Dijon a refusé d'accéder à sa "demande exceptionnelle d'euthanasie".
Son visage a défitivement marqué l'histoire de l'euthanasie en France. Mais cette ancienne institutrice de 52 ans, qui souffrait d'un esthésioneuroblastome, une tumeur évolutive des sinus très rare et incurable, a aussi fait preuve d'une très grande maîtrise dans l'utilisation des médias pour faire passer son message.
Comment les journalistes en contact avec elle ont-ils géré ce cas particulier ? Ont-ils eu la tentation de l'empathie et de l'investissement personnel ?
Ann-Gaëlle Matoksy, journaliste à France 3 Bourgogne, et Cécile Prieur, journaliste au Monde, sont les invitées d'@si.
Son visage a défitivement marqué l'histoire de l'euthanasie en France. Mais cette ancienne institutrice de 52 ans, qui souffrait d'un esthésioneuroblastome, une tumeur évolutive des sinus très rare et incurable, a aussi fait preuve d'une très grande maîtrise dans l'utilisation des médias pour faire passer son message.
Comment les journalistes en contact avec elle ont-ils géré ce cas particulier ? Ont-ils eu la tentation de l'empathie et de l'investissement personnel ?
Ann-Gaëlle Matoksy, journaliste à France 3 Bourgogne, et Cécile Prieur, journaliste au Monde, sont les invitées d'@si.
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