Dans cette ville du sud-est de la Turquie, où la guerre dure depuis 83 jours, beaucoup dénoncent une punition collective des autorités turques à l'encontre des Kurdes en marge des combats entre l'armée et le PKK. Un quotidien difficile qui relance le débat de l'identité kurde dans ce pays. "On croit appartenir à un état mais si celui-ci nous fait face avec des tanks, des obus et des armes, alors en réalité on se sent pire que rejetés", témoigne Erdal, un habitant de Diyarbakir.
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