Document La Provence : "J'ai de la peine pour mon agresseur", le professeur juif témoigne
- il y a 8 ans
Nous avons rencontré Benjamin Amsellem, le professeur de confession juive frappé lundi matin, sur le bd Paul Claudel (9e) à coups de machette par un adolescent musulman radicalisé, depuis interpellé, mis en examen et écroué.
Il se confie sur cet acte qui marquera sa vie à jamais, sur les sentiments qui l'habitent et sur la polémique qu'a suscité l'appel de Zvi Ammar, le président du consistoire israélite de Marseille, à ne plus porter la kippa dans la rue. Benjamin, accompagné de son avocat Me Fabrice Labi, assure ne nourrir aucune colère et "avoir de la peine" pour son agresseur.
Il se confie sur cet acte qui marquera sa vie à jamais, sur les sentiments qui l'habitent et sur la polémique qu'a suscité l'appel de Zvi Ammar, le président du consistoire israélite de Marseille, à ne plus porter la kippa dans la rue. Benjamin, accompagné de son avocat Me Fabrice Labi, assure ne nourrir aucune colère et "avoir de la peine" pour son agresseur.