CAP D'AGDE - 2015 - Divorce à L'ADEC - Le président MIJA Révoqué !
- il y a 9 ans
Mija «révoqué» par l’Adec
Bisbille ❘ Le président de l’association de commerçants a été écarté.
L’Adec (Association pour le dé- veloppement économique et culturel du Cap-d’Agde) qui compte 164 commerçants adhérents et organise ou coorganise la grande braderie de septembre, le rassemblement de corvettes Capvettada, la venue des Brescoudos... connaît en ce moment des remous, en interne.
Président depuis un an et demi, Michel Martin, dit Mija, a reçu en fin de semaine dernière une lettre recommandée lui signifiant sa «révocation» votée par le conseil d’administra tion de l’association.
En cause, selon les membres du conseil : des divergences de points de vue quant à la gestion de l’Adec et l’attitude de Mija qui prendrait «ses pro- pres décisions sans tenir compte du groupe », explique en substance Didier Leroy, le trésorier. Avant d’ajouter : « J’ai réalisé un bilan prévisionel pour 2015 qui ne leur plaisait pas, ils m’ont viré », lâche ce dernier, amer.
Invité à de nouvelles réunions de l’Adec, Mija ne s’est pas déplacé. La rupture était consommée. «Mais je continuerai à travailler, je suis un bénévole, ils pensent ce qu’ils veulent, je fais partie de l’Adec », fait-il remarquer, surpris par la tournure des événements. « C’est ridicule. »
Désormais, il y a deux options exposées par Didier Leroy : «Soit on élit un nouveau pré- sident au sein du conseil d’ad- ministration actuel soit on réunit une assemblée généra- le extraordinaire mais il y a un délai de 21 jours et on arri- ve en pleine saison... » L’Adec a tout intérêt à vite retrouver un climat serein pour avancer. D’autant qu’il y a derrière les manifestations dont elle a les clés quelques enjeux finan- ciers et le rayonnement de la cité.
Méliassa ALCOLEA
Bisbille ❘ Le président de l’association de commerçants a été écarté.
L’Adec (Association pour le dé- veloppement économique et culturel du Cap-d’Agde) qui compte 164 commerçants adhérents et organise ou coorganise la grande braderie de septembre, le rassemblement de corvettes Capvettada, la venue des Brescoudos... connaît en ce moment des remous, en interne.
Président depuis un an et demi, Michel Martin, dit Mija, a reçu en fin de semaine dernière une lettre recommandée lui signifiant sa «révocation» votée par le conseil d’administra tion de l’association.
En cause, selon les membres du conseil : des divergences de points de vue quant à la gestion de l’Adec et l’attitude de Mija qui prendrait «ses pro- pres décisions sans tenir compte du groupe », explique en substance Didier Leroy, le trésorier. Avant d’ajouter : « J’ai réalisé un bilan prévisionel pour 2015 qui ne leur plaisait pas, ils m’ont viré », lâche ce dernier, amer.
Invité à de nouvelles réunions de l’Adec, Mija ne s’est pas déplacé. La rupture était consommée. «Mais je continuerai à travailler, je suis un bénévole, ils pensent ce qu’ils veulent, je fais partie de l’Adec », fait-il remarquer, surpris par la tournure des événements. « C’est ridicule. »
Désormais, il y a deux options exposées par Didier Leroy : «Soit on élit un nouveau pré- sident au sein du conseil d’ad- ministration actuel soit on réunit une assemblée généra- le extraordinaire mais il y a un délai de 21 jours et on arri- ve en pleine saison... » L’Adec a tout intérêt à vite retrouver un climat serein pour avancer. D’autant qu’il y a derrière les manifestations dont elle a les clés quelques enjeux finan- ciers et le rayonnement de la cité.
Méliassa ALCOLEA