Jacques Malaterre nous parle du Plus Beau Pays du Monde
- il y a 10 ans
Tourné en partie en Deux-Sèvres, le premier film nature en 3D de Jacques Malaterre et Frédéric Fougea a été diffusé pour la première fois le mardi 17 décembre 2013 à 20h45 sur France 2.
Produit par la société Boréales, le nouveau "docu-réel" de Jacques Malaterre (L'Odyssée de l'espèce, Homo sapiens et Le Sacre de l'homme) explore les milieux naturels et les rapports entre les êtres vivants qui doivent coopérer pour assurer leur survie et leur reproduction. La montagne, les forêts, la campagne mais aussi les rivières, les fleuves, les marais et les côtes… La France recèle de multiples écosystèmes, véritables réservoirs de biodiversité.
Parmi les régions de France mises en valeur dans le documentaire, la Région Poitou-Charentes figure en bonne place avec de nombreuses images du Marais poitevin.
On rencontre également des personnalités locales bien connues comme la soigneuse bénévole Marie Barbancey, qui recueille depuis des années des animaux sauvages blessés à Échiré.
Pour ses prises de vue, le réalisateur a fait appel à de jeunes cadreurs deux-sévriens formés à l'IFFCAM de Ménigoute (l'une des trois écoles mondiales de cinéma animalier) et a reçu le soutien de Poitou-Charentes Cinéma.
Produit par la société Boréales, le nouveau "docu-réel" de Jacques Malaterre (L'Odyssée de l'espèce, Homo sapiens et Le Sacre de l'homme) explore les milieux naturels et les rapports entre les êtres vivants qui doivent coopérer pour assurer leur survie et leur reproduction. La montagne, les forêts, la campagne mais aussi les rivières, les fleuves, les marais et les côtes… La France recèle de multiples écosystèmes, véritables réservoirs de biodiversité.
Parmi les régions de France mises en valeur dans le documentaire, la Région Poitou-Charentes figure en bonne place avec de nombreuses images du Marais poitevin.
On rencontre également des personnalités locales bien connues comme la soigneuse bénévole Marie Barbancey, qui recueille depuis des années des animaux sauvages blessés à Échiré.
Pour ses prises de vue, le réalisateur a fait appel à de jeunes cadreurs deux-sévriens formés à l'IFFCAM de Ménigoute (l'une des trois écoles mondiales de cinéma animalier) et a reçu le soutien de Poitou-Charentes Cinéma.