" Une Odyssée gauloise " - Exposition au musée de Bibracte (Morvan-Bourgogne)
- il y a 10 ans
Teaser de l'exposition "Une Odyssée gauloise "
Au musée de Bibracte (Morvan – Bourgogne) du 16 mars au 7 septembre 2014
www.bibracte.fr – info@bibracte.fr
Une invitation à suivre la trace de bijoux en bronze de femmes gauloises le long d’un itinéraire qui, de la Bourgogne à la Sicile grecque, en passant par les côtes du Languedoc, unit les extrémités du monde connu des Grecs.
Vers 650-600 avant notre ère, Gaulois et Grecs se rencontrent pour la première fois. Au cœur de leurs échanges, les bijoux en bronze de femmes d’exception traversent la Gaule puis la Méditerranée : en Sicile, ils se parent de la magie qu’inspirent les limites du monde connu... À cette époque, les femmes des communautés qui peuplaient la Gaule bénéficiaient d’un statut particulier, perceptible à travers l’incroyable richesse des parures qu’elles arboraient, et la place centrale qu’elles occupaient dans les nécropoles. Débarquant sur les côtes gauloises, découvrant des femmes couvertes de parures de bronze, les explorateurs grecs croyaient peut-être contempler des descendantes du Soleil. Les bijoux de ces femmes exceptionnelles, ils les rapportaient en Sicile. C’est le fabuleux voyage de ces fragments de bijoux féminins que l’exposition se propose de retracer.
Au musée de Bibracte (Morvan – Bourgogne) du 16 mars au 7 septembre 2014
www.bibracte.fr – info@bibracte.fr
Une invitation à suivre la trace de bijoux en bronze de femmes gauloises le long d’un itinéraire qui, de la Bourgogne à la Sicile grecque, en passant par les côtes du Languedoc, unit les extrémités du monde connu des Grecs.
Vers 650-600 avant notre ère, Gaulois et Grecs se rencontrent pour la première fois. Au cœur de leurs échanges, les bijoux en bronze de femmes d’exception traversent la Gaule puis la Méditerranée : en Sicile, ils se parent de la magie qu’inspirent les limites du monde connu... À cette époque, les femmes des communautés qui peuplaient la Gaule bénéficiaient d’un statut particulier, perceptible à travers l’incroyable richesse des parures qu’elles arboraient, et la place centrale qu’elles occupaient dans les nécropoles. Débarquant sur les côtes gauloises, découvrant des femmes couvertes de parures de bronze, les explorateurs grecs croyaient peut-être contempler des descendantes du Soleil. Les bijoux de ces femmes exceptionnelles, ils les rapportaient en Sicile. C’est le fabuleux voyage de ces fragments de bijoux féminins que l’exposition se propose de retracer.