Médine
@medine-dinn
Originaire du Havre et âgé seulement de 24 ans, Médine est déjà l’auteur de deux albums solos et d’un mini album très remarqué par les médias.
Sortis à quelques mois d’intervalle, «11 Septembre ou le récit du Onzième jour» et «Jihad, le plus grand combat est contre soi-même» renferment des textes d’une profondeur et d’une intelligence rares derrière leurs titres provocants.
Médine intrigue. Médine dérange. Et c’est tant mieux : interloqué par son image et ses Il choisit d’utiliser des titres d’albums chocs, voire polémiques, qui, à première vue, peuvent faire peur mais qui ouvrent le débat.
Avec si peu de temps entre ces projets, il élargit le champ de ses compétences et aiguise ses armes en enchaînant les apparitions dans des compilations à succès (Hostile 2006, Illegal Radio, Taxi 4) et sort en Novembre 2006 le mini-album Hors série « Table d’écoute ».
Cet enragé de l’écriture est à l’image du tigre qu’il a dans la gorge. Son discours s’adresse bien évidement au public « rap de quartier », mais a aussi en lui une dimension universelle. Il le montre d’ailleurs dans son second album, « Jihad : le plus grand combat est contre soi-même » en incarnant dans un morceau le personnage de Petit Cheval : histoire tragique d’un Indien d’Amérique témoin de l’assassinat de son peuple, ou en faisant revivre des leaders comme Massoud et Malcolm X dans le titre « Du Panshjir à Harlem ».
Son but premier est de poser des questions souvent difficiles à entendre, de faire réagir, d’amener le débat. Véritable porte-voix de toute une génération de jeunes issus de l’immigration, il bouscule l’auditeur et dénonce tous les amalgames faits sur l’Islam. Lui-même musulman pratiquant, il n’est d’ailleurs jamais tendre avec sa propre communauté, ce qui renforce d’autant le poids de ses mots.
Son 3 ème album, « Arabian Panthers » est sorti en 2008 chez Because Music.
Sortis à quelques mois d’intervalle, «11 Septembre ou le récit du Onzième jour» et «Jihad, le plus grand combat est contre soi-même» renferment des textes d’une profondeur et d’une intelligence rares derrière leurs titres provocants.
Médine intrigue. Médine dérange. Et c’est tant mieux : interloqué par son image et ses Il choisit d’utiliser des titres d’albums chocs, voire polémiques, qui, à première vue, peuvent faire peur mais qui ouvrent le débat.
Avec si peu de temps entre ces projets, il élargit le champ de ses compétences et aiguise ses armes en enchaînant les apparitions dans des compilations à succès (Hostile 2006, Illegal Radio, Taxi 4) et sort en Novembre 2006 le mini-album Hors série « Table d’écoute ».
Cet enragé de l’écriture est à l’image du tigre qu’il a dans la gorge. Son discours s’adresse bien évidement au public « rap de quartier », mais a aussi en lui une dimension universelle. Il le montre d’ailleurs dans son second album, « Jihad : le plus grand combat est contre soi-même » en incarnant dans un morceau le personnage de Petit Cheval : histoire tragique d’un Indien d’Amérique témoin de l’assassinat de son peuple, ou en faisant revivre des leaders comme Massoud et Malcolm X dans le titre « Du Panshjir à Harlem ».
Son but premier est de poser des questions souvent difficiles à entendre, de faire réagir, d’amener le débat. Véritable porte-voix de toute une génération de jeunes issus de l’immigration, il bouscule l’auditeur et dénonce tous les amalgames faits sur l’Islam. Lui-même musulman pratiquant, il n’est d’ailleurs jamais tendre avec sa propre communauté, ce qui renforce d’autant le poids de ses mots.
Son 3 ème album, « Arabian Panthers » est sorti en 2008 chez Because Music.
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