de-C
@de-C
Les montagnes qui plongent dans le Lac donnent vite le goût, à ce natif
d’Annecy, pour les contrastes et les reliefs.
Plusieurs écoles parisiennes, ont précédé et accompagné le parcours
professionnel pour parfaire la maîtrise technique ; tout s’agence pour cette
quête de la lumière sur les volumes.
Les voyages et leurs histoires en Europe, Asie, outre-Atlantique sont matières
et apportent, eux aussi, densité et sens.
« Peindre comme on sculpte » pourrait résumer son travail. Donner du corps,
accentuer le trait, creuser le mouvement, découper la lumière jouant sur les
volumes.
Toute démarche picturale nait d’études préparatoires, croquis et dessins sur
site cherchant le sens et les structures du sujet. A l’atelier, sont privilégiés le
choix des gammes chromatiques, les tensions sur le mouvement et les densités
des contrastes.
Les toiles sont toutes appuyées, balayées, malmenées comme s’il fallait passer
au travers, dépasser le support pour chercher le sens, là et ailleurs. Le
mouvement sur la toile répond à celui de l’artiste, plus à l’aise sur grand format
pour un travail qui cherche l’élan et visant l’illusion de « tourner autour du sujet
» pour mieux se l’approprier.
Actif , l’envie d’aller plus loin il y a quelques années le pousse à prendre un
atelier pour y travailler peintures et sculptures.
d’Annecy, pour les contrastes et les reliefs.
Plusieurs écoles parisiennes, ont précédé et accompagné le parcours
professionnel pour parfaire la maîtrise technique ; tout s’agence pour cette
quête de la lumière sur les volumes.
Les voyages et leurs histoires en Europe, Asie, outre-Atlantique sont matières
et apportent, eux aussi, densité et sens.
« Peindre comme on sculpte » pourrait résumer son travail. Donner du corps,
accentuer le trait, creuser le mouvement, découper la lumière jouant sur les
volumes.
Toute démarche picturale nait d’études préparatoires, croquis et dessins sur
site cherchant le sens et les structures du sujet. A l’atelier, sont privilégiés le
choix des gammes chromatiques, les tensions sur le mouvement et les densités
des contrastes.
Les toiles sont toutes appuyées, balayées, malmenées comme s’il fallait passer
au travers, dépasser le support pour chercher le sens, là et ailleurs. Le
mouvement sur la toile répond à celui de l’artiste, plus à l’aise sur grand format
pour un travail qui cherche l’élan et visant l’illusion de « tourner autour du sujet
» pour mieux se l’approprier.
Actif , l’envie d’aller plus loin il y a quelques années le pousse à prendre un
atelier pour y travailler peintures et sculptures.