Avec la Salers, le vêlage n’est plus une « affaire d’état »

  • l’année dernière
Séduit par la facilité d’élevage de la race Auvergnate, Yves Bulleux a troqué ses charolaises contre des salers au début des années 90. Rejoint par son fils Cyril en 2020, tous deux apprécient la rusticité de la vache aux longs poils frisés, qui permet de laisser la vêleuse au placard.

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