Nicolas De La Casinière, pigiste à la Lettre à Lulu, Nantes

  • il y a 15 ans
Depuis que les étudiants ont rejoint leurs enseignants dans la lutte, de concert ils ont lancé une "université populaire". Cela a d'abord été une prof d'informatique donnant un cour sur le vote électronique, puis un étudiant sur le Népal actuel, dont il est revenu, une projection d'un film Argentin décrivant comment leur pays fut vendu à des grands groupes, dont France Télécom et Areva, un débat sur la décroissance ...

Le 9 février à 16h, toujours dans l'amphi C du Tertre, l'un des bâtiments des Sciences Humaines (Archéo, Histoire, Géo, Philo et Psycho), nous avons un échange avec Nicolas De La Casinière, qui se définit comme "pigiste et dessinateur", même si sa plaque professionnelle portait "grand reporter".

Refusant toute prééminence il s'installe parmi nous dans les rangées de tables, ce qui explique le bruit blanc de ma vidéo, car j'ai dû monter le son, et que je me sois finalement collé près de lui. Il se raconte brièvement : son travail à Libé, son éviction à Saint Nazaire pour avoir parlé de l'exploitation, digne de Bolkestein, d'indiens et de polonais par les chantiers navals de Saint Nazaire. La vidéo s'ouvre à ce moment.

Il évoquera ce qu'est La Lettre à Lulu, irrégulomadaire satirique nantais fondé en 1995, comment il a pu connaître des pressions de la part des politiques, des magistrats, de la police. Il évoquera enfin, quelques ficelles de la Presse du PPA, pour jouer avec la déontologie et le people. Du BEAU journalisme.