nadine de hair

@nadinedehair
Rencontrer la baronne Nadine de Hair, icône du savoir-vivre, relève du jeu de piste. Vous la croyez séjournant au sud du Botswana occupée par sa fondation pour les enfants touchés par les mines anti-personnelle : « la tête sans les jambes », alors qu’elle préside à Moscou un gala de charité en faveur de la réinsertion des anciens communistes lors de la soirée « qui vivra vodka », c’est finalement à Genève qu’elle vous donne rendez-vous dans son chenil pension « le crépuscule doré » où elle recueille de vieilles personnes abandonnées par leurs animaux de compagnie.

Bonjour madame la baronne de Hair et merci de nous recevoir dans notre intimité, de me laisser pénétrer votre mystère.
(Elle rit)

Merci à vous jeune homme, tant d’hommes s’y sont essayés avant vous sans jamais y parvenir… Mais ne m’appelez pas madame la baronne, moi aussi je suis une femme comme les autres, j’ai un prénom : Nadine. (Elle rougit).

Une femme comme les autres certes, mais qui ne mâche pas ces mots ; c’est certainement cela qui a forgé votre incroyable destin, qui pour le coup, vous différencie de la gente féminine, racontez-vous un peu…

Que dire sans trop lever le voile… ( suite dans le blog)