La France visée par un attentat en Libye
- il y a 11 ans
Le ministre libyen des Affaires étrangères, Mohammed Abdel Aziz, a condamné l'attentat à la voiture piégée mardi, contre l'ambassade de France à Tripoli. Il l'a qualifié "d'acte terroriste".
"Nous condamnons fermement cet acte que nous considérons comme un acte terroriste contre un pays frère qui a appuyé la Libye durant la révolution" de 2011 qui a renversé le régime Kadhafi, a déclaré le ministre présent sur les lieux de l'attentat.
Pour l'heure, toujours pas de revendication. "La Libye est un pays où rien n'est réglée" rappelle Olivier Ravanello, spécialiste des questions internationales sur i>TELE. "La violence y est extrêmement présente, qui ressemble à un pays en guerre de manière interne... la question de la présence de groupes terroristes liés notamment à Aqmi Al-Qaïda, n'est pas réglée" ajoute-t-il.
Deux gendarmes mobiles français ont été blessés dans l'attentat. Le premier a été sérieusement blessé mais "son pronostic vital n'est pas engagé", précise la direction de la
"Nous condamnons fermement cet acte que nous considérons comme un acte terroriste contre un pays frère qui a appuyé la Libye durant la révolution" de 2011 qui a renversé le régime Kadhafi, a déclaré le ministre présent sur les lieux de l'attentat.
Pour l'heure, toujours pas de revendication. "La Libye est un pays où rien n'est réglée" rappelle Olivier Ravanello, spécialiste des questions internationales sur i>TELE. "La violence y est extrêmement présente, qui ressemble à un pays en guerre de manière interne... la question de la présence de groupes terroristes liés notamment à Aqmi Al-Qaïda, n'est pas réglée" ajoute-t-il.
Deux gendarmes mobiles français ont été blessés dans l'attentat. Le premier a été sérieusement blessé mais "son pronostic vital n'est pas engagé", précise la direction de la