Jerôme Chartier : "Est-ce qu’on pense que Nicolas Sarkozy est coupable d’abus de faiblesse ? (...) Qui peut croire ça ? Personne. "
- il y a 11 ans
L'invité politique
Le 22 mars 2013 à 8h15 sur Public Sénat et Radio Classique,
Jérôme Chartier, député UMP du Val d’Oise
Invité de Guillaume Durand et de Perrine Tarneaud
Extraits
A propos de la mise en examen de Nicolas Sarkozy et de la réaction de François Fillon :
« Aujourd’hui, la question, c’est : est-ce qu’on pense que Nicolas Sarkozy est coupable d’abus de faiblesse [auprès] de Mme Bettencourt ? Qui peut croire ça ? Personne. (…) C’est inimaginable. (…) François Fillon (…) sera sans l’ombre d’un doute l’un de ceux qui vont défendre l’honneur de Nicolas Sarkozy. (…) Qu’il y ait une concurrence [entre les deux], peut-être, mais le moment venu (2017). »
A propos de la motion de censure déposée par Jean-François Copé :
« La motion de censure, c’est un fait d’un groupe parlementaire, ce n’est pas le fait d’une personne. »
A propos du travail en France :
« Ce qui se passe est très grave. Le fait qu’aujourd’hui, lorsque vous grandissez au quinzième étage d’une tour de Sarcelles, et que n’avez comme seul horizon que de pouvoir devenir agent de sécurité de la plateforme aéroportuaire de Roissy, c’est très grave. (…) L’économie, c’est d’abord l’initiative privée, il faut l’encourager, et vous ne pouvez pas dire que vous l’encourager et en même temps sanctionner en permanence les gens qui entreprennent, qui prennent des risques et qui gagnent de l’argent. (…) Il faut retrouver la raison entre les salaires et la valeur ajoutée produite. (…) Il faut que ce soit transparent (…) et intelligent. »
Le 22 mars 2013 à 8h15 sur Public Sénat et Radio Classique,
Jérôme Chartier, député UMP du Val d’Oise
Invité de Guillaume Durand et de Perrine Tarneaud
Extraits
A propos de la mise en examen de Nicolas Sarkozy et de la réaction de François Fillon :
« Aujourd’hui, la question, c’est : est-ce qu’on pense que Nicolas Sarkozy est coupable d’abus de faiblesse [auprès] de Mme Bettencourt ? Qui peut croire ça ? Personne. (…) C’est inimaginable. (…) François Fillon (…) sera sans l’ombre d’un doute l’un de ceux qui vont défendre l’honneur de Nicolas Sarkozy. (…) Qu’il y ait une concurrence [entre les deux], peut-être, mais le moment venu (2017). »
A propos de la motion de censure déposée par Jean-François Copé :
« La motion de censure, c’est un fait d’un groupe parlementaire, ce n’est pas le fait d’une personne. »
A propos du travail en France :
« Ce qui se passe est très grave. Le fait qu’aujourd’hui, lorsque vous grandissez au quinzième étage d’une tour de Sarcelles, et que n’avez comme seul horizon que de pouvoir devenir agent de sécurité de la plateforme aéroportuaire de Roissy, c’est très grave. (…) L’économie, c’est d’abord l’initiative privée, il faut l’encourager, et vous ne pouvez pas dire que vous l’encourager et en même temps sanctionner en permanence les gens qui entreprennent, qui prennent des risques et qui gagnent de l’argent. (…) Il faut retrouver la raison entre les salaires et la valeur ajoutée produite. (…) Il faut que ce soit transparent (…) et intelligent. »