Le Pen, coulisses de l'heure de vérite

  • il y a 17 ans
Tous les coups sont permis pour le système UMPS, qui tente de déstabiliser Jean-Marie Le Pen avant son entrée sur le plateau de l'émission l'« heure de vérité ». Mais cet incident n'est rien pour Jean-Marie Le Pen et le Front National, qui subissent les persécutions du système depuis plus de 30 ans.

= Liste récapitulative des persécutions totalitaires contre le FN =

== 1. Persécutions par l'État ==

- Modification incessante des modes de scrutin pour écarter le Front National (http://www.frontnational.com) des assemblées. Le FN qui représente au moins 15% des électeurs n'a aucun député à l'Assemblée Nationale, grâce à l'introduction de seuils arbitraires de voix pour passer le second tour, et aux alliances électorales UMPS, les fronts ripoublicains. Le Front National est alors amputé du financement public calculé sur le nombre de députés, soit plusieurs millions d'euros. Il est également privé de temps d'antenne pour les campagnes officielles, calculés également sur le nombre de députés.
- Durcissement incessant du processus de recueil des parrainages pour la candidature à l'élection présidentielle.
- Pressions et menaces à l'encontre des Maires qui « osent » donner leurs signatures à Jean-Marie Le Pen. Jean-Christophe Cambadélis, député PS de Paris, inventera pour cela la stratégie du « harcèlement démocratique », qui consiste à téléphoner la nuit chez les gens, à les menacer.
- Refus répété de location de salles de réunion, y compris en période électorale, de mise à disposition de bureaux pour nos élus dans les collectivités locales, alors qu'il s'agit là d'obligations légales.
- Refus de l'état de financer des journaux de Droite Nationale, comme il le fait avec l'Humanité, au nom du pluralisme de la Presse. Le groupe Lagardère également finance l'Humanité, sous le même pretexte.
- Comble du cynisme : alors que les réunions du Front National sont attaquées depuis vingt ans et que le Front National n'a jamais attaqué celles de ses adversaires, on ose demander la dissolution de son service d'ordre (le DPS), et l'on instaure une commission d'enquête parlementaire... qui n'a rien trouvé.
- Harcèlement administratif de nos municipalités comme des exécutifs régionaux désignés avec le concours de nos élus.
- Diffamations d'État : Pierre Joxe en mai 1990 (Carpentras), Jacques Chirac en mars 1998.
- Refus régulier des hommes politiques de débattre avec le FN comme par exemple Chirac entre les deux tours de la présidentielle, alors que c'est une tradition démocratique de la Vème République.
- Insultes systématiques et accusations non argumentées dans les débats de la part des politiques de la bande des quatres (fasciste, raciste etc...).
- Perturbation des conseils régionaux où siègent les élus FN.

== 2. Persécutions par le système médiatique ==

- Refus des médias d'accorder du temps d'antenne au FN, sauf le minimum requis par le loi durant les campagnes électorales. En outre, les présentateurs du système comme Ardisson, Drucker ou Fogiel n'ont jamais invité un seul membre du Front National.
- Refus des médias de diffuser les communiqués de presse du FN.
- Désinformation quasi-systèmatique des grands médias, seuls certains journaux régionaux restent objectifs.
- Refus des médias de couvrir correctement et objectivement les manifestations politiques du FN comme ils le font avec les autres partis. Il suffit de comparer la couverture qui est faite des BBR ou de la fête Jeanne d'Arc du premier mai avec celle qui est faite de la fête de l'Humanité.
- Refus des médias de citer la presse proche du FN dans les revues de presse. Par exemple la revue de presse de l'émission Télématin ne cite jamais les journaux de Droite Nationale.
- Refus des médias d'accorder des droits de réponse au FN. Ils l'obligent à passer par la voie judiciaire, ce qui est impossible à gérer pour un petit parti.
- Manipulation des images et des discours dans des émissions de pure Propagandastaffel (Envoyé spécial, Droit de savoir, « Vrai journal »...).
- Unanimité des médias qui organisent de véritables campagnes de diabolisation sur des petites phrases pourtant anodines, mais totalement sorties de leur contexte et dont on fait dire ce qu'elles n'ont pas dit. Les membres du FN ne sont alors jamais invité pour se défendre, seuls ses adversaires politiques et tous les éditorialistes unanimes s'expriment.
- « Mise au placard » d'un journaliste de Radio-France au motif qu'il avait cité dans sa revue de presse un titre de la « presse nationale », suppression des subventions publiques destinées à la presse d'opinion à cette même presse (mais le gouvernement s'entend avec de puissants groupes capitalistes pour éponger la dette de L'Humanité et renflouer le quotidien communiste en perdition, faute de lecteurs...).
- Persécution administrative des cadets du Cercle National des Combattants. Association de combattants proche du FN qui est d'ailleurs la seule à ne pas être financée par l'État, alors qu'elle comptait en 2004 26 commandeurs, 85 officiers et 250 chevaliers de la Légion d'honneur, 180 médaillés de la Résistance, 480 médaillés militaires pour faits de guerre, 1230 décorés de la Croix de guerre 39-45 ou TOE, et 780 de la Valeur mili­taire.

== 3. Persécutions fiscales ==

- Harcèlement fiscal pour les chefs d'entreprise connus pour leur engagement national (tel entrepreneur a été l'objet de 18 vérifications de situation fiscale en 15 ans !), refus de prêts bancaires pour les mêmes motifs.
- Harcèlement fiscal contre les élus FN. Par exemple Jean-Marie Le Pen fait l'objet d'un redressement pour avoir, entre 1989 et 1996, tandis que sa maison était sous le régime des Sociétés civiles immobilières, payé un loyer trop bas par rapport au marché. Or c'est parfaitement mirobolant et injuste puisqu'il s'agit de sa propre maison.

== 4. Persécutions judiciaires ==

- Création de lois dites « antiracistes », qui sous prétexte de racisme, sont destinées à empêcher le Front National (et d'autres) de critiquer sérieusement le dogme immigrationniste et mondialiste, et à harceler financièrement ses élus.
- Campagnes renouvelées du Syndicat de la Magistrature, organisation politisée, à l'encontre du Front National, au mépris de l'obligation de réserve.
- Poursuites judiciaires et perquisitions sans lendemain mises en scène à grand renfort médiatique, harcèlement judiciaire constant à propos de dessins, de tracts, d'imprimés électoraux, d'articles de journaux, soit sur plainte des associations prétendues antiracistes, soit sur citation directe du Parquet aux ordres du gouvernement.

== 5. Autres ==

- Refus des banques de prêter de l'argent pour la campagne électorale.
- Refus de vente et d'achat aux entreprises dirigées par des militants FN.
- Persécution religieuse : refus d'un évêque d'admettre au baptême un catéchumène au motif qu'il serait sympathisant du Front National.
- Persécution à l'école des enfants de membres du Front National.
- Multiplication des ouvrages injurieux ou diffamatoires, voire romancés et fictifs, écrits par de médiocres plumitifs, des intellectuels de carrière ou des chercheurs-bidon qui exploitent un filon commercial.
- Refus des éditeurs d'imprimer et de diffuser nos livres, saccage du stand de National Hebdo au Salon du livre de la porte de Versailles.
- Agressions multiples (8 morts et un millier de blessés depuis 1986) contre les élus, les candidats, les militants, les réunions, les cortèges, attentats contre les locaux et Jean-Marie Le Pen (voir ici (http://www.veritesurlefn.org/modules/xfsection/article.php?articleid=132) ici (http://www.veritesurlefn.org/modules/xfsection/article.php?articleid=181) et ici (http://www.veritesurlefn.org/modules/xfsection/article.php?articleid=59)).
- Organisation de milices impunies chargées d'agresser les militants FN et les colleurs d'affiches comme les milices fascistes de ras'lfront.

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