Quelques mois après avoir quitté le gouvernement, Jean-Louis Borloo sort de son silence. Chef de file du centre, le président du Parti radical montre ses muscles face aux "dérives" de certains députés UMP. Il vient d'infliger avec ses alliés centristes un camouflet à l'assemblée nationale en s'opposant à la déchéance de la nationalité. L'ancien ministre marque ses positions sur le débat sur l'identité nationale qu'il n'aurait pas mené comme l'équipe de Fillon. Il prévient: dans les mois qui viennent avant la présidentielle, "le débat ne peut pas se résumer à la peur, au pessimisme, à la dénonciation des autres... " Pour lui, il faut des "projets très clairs".
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