Il parait plus rassurant de monter un poney, ou un double poney car ils sont effectivement moins haut qu'un cheval - 1,60 m au garot minimum. C'est l'hiver et nos amis les chevaux ont moins de liberté, ont besoin de cracher leur feu certes, mais ces dernières semaines je n'ai vu que des poneys récalcitrants et imprévisibles : morsures, batailles, ruades et "vas-y que je te vire mon cavalier !".... Ce 1er février, j'y serais bien allée .... ça me démangeait. La cravache, c'est bien quelquefois mais avec Loorie, c'est encore pire; elle se cabre. L'équitation cela parait facile, ce ne l'est pas toujours mais c'est un apprentissage constructif : comprendre, s'adapter, apprivoiser, donner pour recevoir. Attention quand même, les chevaux ne sont pas des "pluches"; dimanche, lors du concours de dressage alors que j'attendais mon tour, en selle, devant le manège, des gamins tournaient autour du cheval et passaient derrière; je n'étais pas tranquille, un cheval rue et il est ferré, les parents il faut faire attention aux normes de sécurité; c'est comme leur donner une friandise, c'est la main à plat. Une fois qu'on le sait, il est vrai que c'est une grande école de patience, de partage et d'amour.
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