Lili Fantosi, artiste plasticienne
- il y a 12 ans
Elisa Fantozzi a commencé sur les planches à Paris avec l’école du Passage de Niels Arestrup, puis le Théâtre Aleph d’Oscar Castro .
Après trois années de théâtre, Elisa s’est mise à son propre compte en tant qu’artiste plasticienne et voyage durant sept ans entre N-Y et le sud de la France.
Aujourd’hui installée à Sète, elle y a ouvert son atelier .
C’est en jouant sur la passerelle entre le théâtre et la création plastique qu’Elisa nous propose sa propre mise en scène .
Un travail mêlant l’intime et la société de consommation.
Au travers d’une installation Elisa déambule, ses œuvres plastiques deviennent physiques, jouent d’effets immédiats,
fait du public un complice, va et vient entre l’objet et le corps, le virtuel et le corps .
Images poétiques ou espiègles, profondément imprégnées du réel et d’un réalisme sans fard
nourrie d’une réflexion personnelle qui laisse cependant la place aux variations de notre propre imaginaire.
Elisa Fantozzi repousse ses limites et les nôtres, celle de l’incompréhension et de l’intolérance, du doute, du flou .(...)
Mais l’artiste est aussi un électron libre, un trublion qui choisi de faire rêver et sourire.
Les meilleures armes d’Elisa Fantozzi sont pour cela l’humour et la poésie, parfois choc pour certains, mais qui nous étonnent et nous asticotent pour mieux nous consoler de la morosité devenue chronique et nous extraire de l’indifférence ambiante.
Jean-Pierre Wolmer, 2005
Source : http://www.cest-a-sete.fr/
D'autres reportages sur www.thautv.net
Après trois années de théâtre, Elisa s’est mise à son propre compte en tant qu’artiste plasticienne et voyage durant sept ans entre N-Y et le sud de la France.
Aujourd’hui installée à Sète, elle y a ouvert son atelier .
C’est en jouant sur la passerelle entre le théâtre et la création plastique qu’Elisa nous propose sa propre mise en scène .
Un travail mêlant l’intime et la société de consommation.
Au travers d’une installation Elisa déambule, ses œuvres plastiques deviennent physiques, jouent d’effets immédiats,
fait du public un complice, va et vient entre l’objet et le corps, le virtuel et le corps .
Images poétiques ou espiègles, profondément imprégnées du réel et d’un réalisme sans fard
nourrie d’une réflexion personnelle qui laisse cependant la place aux variations de notre propre imaginaire.
Elisa Fantozzi repousse ses limites et les nôtres, celle de l’incompréhension et de l’intolérance, du doute, du flou .(...)
Mais l’artiste est aussi un électron libre, un trublion qui choisi de faire rêver et sourire.
Les meilleures armes d’Elisa Fantozzi sont pour cela l’humour et la poésie, parfois choc pour certains, mais qui nous étonnent et nous asticotent pour mieux nous consoler de la morosité devenue chronique et nous extraire de l’indifférence ambiante.
Jean-Pierre Wolmer, 2005
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