La chaise de Van Gogh où tu ne t’assieds pas Cette vieille chanson et puis la mer de Chine Les vaisseaux d’Ulysse sur la mare nostrum Ce guerrier en déroute qui te tendit l’épée
Mattea depuis longtemps s’en est allée Pour ces mondes aux mille ballades Mais ma voix s’élève et ira toujours plus haut S’il faut dire, embrasser ou dénoncer Avec toi
Les années s’amoncèlent aux portes du temps Mais mes rêves d’enfants sont toujours présent Car persiste toujours dans mon esprit La volonté de me battre sans jamais renoncer Avec toi
Voici venu le temps de la fuite des jours Mais toujours au fond de mon être Brulent les feux Et celui qui vient en visite chez nous Si son cœur est sincère la porte est grande ouverte Pour toi
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