Lucie muir para siempe

  • il y a 13 ans
De ce côté ci du miroir, elle demeurerait une immense pleine aride où ne prolifèrerait que l’ennui ; elle s’y sentait seule mais n’imaginait pas d’alternative à sa solitude, une terre stérile où ne pousse que le dégoût. Mais désormais elle savait avec certitude que de l’autre côté, l’humus était tendre et attendait sa semence pour que prolifèrent les fantômes en forêts majestueuses... Lucie Muir

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