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"Il est faux de dire que la nature est bien faite, il est juste de dire qu'elle est bien adaptée"

Ce n'est pas à un ministre de décider ce qui est bien et ce qui n'est pas bien.

Là, on est bien, on est bien !

qu est ce qu'on est bien quand on est completement plein !!! c est la fête 500-126.com

Eric Fiat : "ce n'est pas parce qu'on est entré dans le métier d'aide soignant par vocation qu'on le fera toujours bien, et ce n'est pas parce qu'on est entré dans ce métier par hasard qu'on le fera toujours mal"

"On est surpris par sa discrétion. On comprend bien que le maire est mal à l'aise. En matière de péril, c'est le maire qui est responsable dans une ville", estime la députée LREM à Marseille

"Il aurait été plus respectueux (...) de dire que dans le cas de Nicolas Hulot il y a prescription (...) la justice est éteinte, et dans l'affaire Darmanin, la justice est saisie, elle est au travail, on verra bien ce qu'il en sortira" Audrey Pulvar

Solidays fête ses 20 ans : "On est là, on est debout, on est trop bien", s'enthousiasment les fans

Peut peut ne pas Tout bien est est est animal de compagnie inquiéter votre

“Ils savent ce qui est bien et pas bien“

[Succès] "Tout est bien qui finit bien" de Vanquish

Tout est bien qui finit bien

Tout est bien qui finit bien...?

Jean Echenoz : "Un livre, c'est chaque fois relancer les dés, on ne sait pas ce qui va sortir"

Jean Echenoz : "Je ne crois pas que ce soit une parodie de polar ! C'est un roman noir, que je peux traiter avec un peu de distance qui donne cette impression, mais je suis très fidèle au roman noir."

Jean Echenoz : "Pourquoi serait-on obligé, sous prétexte qu'on fait des choses publiques, de donner un avis qui risque de ne pas être intéressant ?"

Jean Echenoz : "Je ne crois pas que mon livre soit engagé. Ce n'est pas parce qu'on met en scène des personnages qui sont du monde politique qu'on prend une position particulière."

Jean Echenoz : "Un livre, c'est à chaque fois relancer les dés, on ne sait pas ce qui va sortir. Se prendre au sérieux, ce serait s'empêcher d'avancer."

Jean Echenoz : "Ce sont des choses qui remontent aux mouvements des années 70. Il y avait des choses, au nom d’une certaine liberté, qui étaient intolérables mais qui passaient."