J’aimais un homme à tête de squelette, à tête démesurée. Performance de Nathalie Hauwelle, d’après « Le bain » de Jean Luc Lagarce (Édition les solitaires intempestifs). Une histoire d’amour entre deux êtres, entre deux univers, plus qu’entre deux hommes. La présence de la mort déjà tangible, la présence de la maladie au jour le jour. L’amour - explosante fixe-, aiguisée par la mort. La fin de cette histoire d’amour, aiguisée par la mort, qui porte en elle la fin de toutes les histoires.

Dans « le bain », il y a cette tension, toujours, entre le désir d’être ensemble, de vivre l’amour et le désir d’être ailleurs (travail, voyage, amants, …) Il y a le couple et « le dehors ». Cette tension intérieure appelle à faire des choix, toujours, toujours.
Choisir, choisir, choisir.